En difficulté sur ses marchés actuels, Alcatel-Lucent tente de préparer l'avenir en misant sur les réseaux du futur. C'est le but du laboratoire commun créé par l'équipementier télécoms avec l'Institut national de recherche en informatique et automatique (Inria) en fin d'année dernière, mais...
Dans le cadre d'un partenariat industriel, le groupe français et l'institut ont mis sur pied un centre de recherche commun.... Alcatel-Lucent et l'INRIA ouvrent un laboratoire commun&link=http://www.journaldunet.com/solutions/breve/acteurs/29026/alcatel-lucent-et-l-inria-ouvrent-un-laboratoire-commun.shtml target=_blank>
Le numéro un mondial des logiciels a choisi l'institut scientifique français pour ouvrir un laboratoire de recherche fondamentale, cofinancé à parité par les deux acteurs. La propriété intellectuelle sera également partagée.
Dans le cadre d'un partenariat industriel, le groupe français et l'institut ont mis sur pied un centre de recherche commun.... Alcatel-Lucent et l'INRIA ouvrent un laboratoire commun&link=http://www.journaldunet.com/solutions/breve/acteurs/29026/alcatel-lucent-et-l-inria-ouvrent-un-laboratoire-commun.shtml target=_blank> Alcatel-Lucent et l'INRIA ouvrent un laboratoire commun&link=http://www.journaldunet.com/solutions/breve/acteurs/29026/alcatel-lucent-et-l-inria-ouvrent-un-laboratoire-commun.shtml target=_blank>
L'éditeur et l'Institut scientifique français joignent leurs efforts dans le cadre de la recherche fondamentale en informatique. En janvier 2006, ils ouvriront un laboratoire près de Paris, qui accueillera une trentaine de chercheurs.
L'accord a été annoncé le 26 avril 2005 par François d'Aubert, Ministre délégué à la Recherche, et Steve Ballmer, Président Directeur Général de Microsoft, mais ne sera signé qu'en octobre.
D'après un communiqué de l'Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique (INRIA), « le nouveau laboratoire se focalisera essentiellement sur les progrès en matière de sécurité et de fiabilité informatiques et sur le développement de nouveaux outils informatiques pour les scientifiques »
S'il s'agit du deuxième laboratoire ouvert dans le cadre de l'Initiative Scientifique Européenne de Microsoft annoncée en février 2005 par Bill Gates, c'est pour Microsoft le premier partenariat avec un organisme de recherche public.
On peut se demander si ce n'est pas un échec pour les logiciels libres. En outre, certains s'inquiètent de l'emprise de la firme américaine sur un prestigieux institut de recherche public.
Pour Gilles Kahn, PDG de l'INRIA, qui ne manque pas de souligner l'opportunité de cette collaboration, « il ne faut pas se focaliser sur cette question de la propriété intellectuelle » puisqu'il ne s'agit que de recherche fondamentale dont les résultats n'ont pas vocation à être commercialisés.
Bernard Ourghanlian, directeur technique de Microsoft France précise : « nous demeurons farouchement opposés à la GPL qui oblige un acteur à reverser ses travaux à la communauté. De notre point de vue, les travaux issus du centre de recherche pourront être commercialisés de tout...
Les chercheurs de Microsoft et de Novell travailleront conjointement dans un nouveau laboratoire à Cambridge (USA) dédié à l'amélioration de l'interopérabilité entre Windows Server et SUSE Linux Enterprise.
L'accord a été annoncé le 26 avril 2005 par François d'Aubert, Ministre délégué à la Recherche, et Steve Ballmer, Président Directeur Général de Microsoft, mais ne sera signé qu'en octobre.
D'après un communiqué de l'Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique (INRIA), « le nouveau laboratoire se focalisera essentiellement sur les progrès en matière de sécurité et de fiabilité informatiques et sur le développement de nouveaux outils informatiques pour les scientifiques »
S'il s'agit du deuxième laboratoire ouvert dans le cadre de l'Initiative Scientifique Européenne de Microsoft annoncée en février 2005 par Bill Gates, c'est pour Microsoft le premier partenariat avec un organisme de recherche public.
On peut se demander si ce n'est pas un échec pour les logiciels libres. En outre, certains s'inquiètent de l'emprise de la firme américaine sur un prestigieux institut de recherche public.
Pour Gilles Kahn, PDG de l'INRIA, qui ne manque pas de souligner l'opportunité de cette collaboration, « il ne faut pas se focaliser sur cette question de la propriété intellectuelle » puisqu'il ne s'agit que de recherche fondamentale dont les résultats n'ont pas vocation à être commercialisés.
Bernard Ourghanlian, directeur technique de Microsoft France précise : « nous demeurons farouchement opposés à la GPL qui oblige un acteur à reverser ses travaux à la communauté. De notre point de vue, les travaux issus du centre de recherche pourront être commercialisés de tout...
D'abord le Dubin Core puis l'INRIA
Il ne s'agit pas d'une progression de carrière, mais du calendrier à propos des métadonnées, sujet commun à 2 manifestations organisées par ces 2 structures :
du 29 septembre au 3 octobre pour le séminaire INRIA IST 2008 à Dijon, avec comme sujet...
L'INRIA applique la déclaration de Berlin
Fin mars 2005, l'INRIA (Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique) avait renouvellé son soutien au projet pour un libre accès à...
Comme attendu, les deux éditeurs américains du monde Windows et Linux ont mis en place un service commun de développement avec pour mission l'amélioration de l'interopérabilité entre Windows Server et SUSE Linux Enterprise.
François Merand (MS) annonce sur son blog : "Laurent REVEILLEIRE (LaBRI/INRIA) et Gilles MULLER (EMN) organisent avec l'ASF et le soutien de Microsoft France une journée sur le thème "Systèmes et Langages" le 26 Mars prochain avec la participation exceptionnelle de Galen Hunt et Manuel Fähndrich de Microsoft Research (USA). Une occasion unique de venir découvrir le projet SINGULARITY, de Microsoft Reasearch, projet qui préfigure ce que sera peut-être le futur OS de Microsoft. " Certaines conférences méritent le déplacement. Galen Hunt et Manuel Fahndrich ont dans leurs mains l'avenir de Microsoft en terme de système d'exploitation. A ne manquer sous aucun prétexte...
L’INRIA Sophia Antipolis a choisi de mettre en lumière ses chercheurs primés en 2006 en les faisant dialoguer avec des industriels et des décideurs politiques. L’INRIA qui fête cette année ses 40 ans d’existence, mais dont la naissance s’est un peu réalisée aux forceps.
L'Inria a décidé d'accélérer les opérations de transfert technologique à destination des PME innovantes. Gérard Giraudon, directeur de l'Inria Sophia Méditerranée et Marc Barret responsable de la valorisation, présentent cette nouvelle stratégie et ses déclinaisons régionales.
