Les principales organisations professionnelles du cinéma annoncent leur volonté d'aboutir très rapidement à un accord sur le raccourcissement du délai légal de diffusion des films sur internet, pour lutter contre le piratage.
La lutte contre le piratage passe aussi par l'utilisation de la technologie. Après la saga des DRM, voilà que l'institut national de recherche japonais, en association avec Sharp, a mis au point un dispositif très particulier pour lutter contre l'enregistrement illégal des films projetés au cinéma : la diffusion de flashs infrarouges à travers l'écran. Un système dont l'efficacité n'est pas certaine, mais dont le coût sera gigantesque s'il faut le déployer partout dans le monde. [Lire la suite]
Interrogé par Le Monde, Francis Ford Coppola tient un discours très original sur la meilleure manière de lutter contre le piratage, et donc de le concurrencer. Pour lui, il faut revenir aux sources du cinéma, et profiter de l'évolution des technologies pour offrir davantage d'interactivité mélangé à une sorte de cinéma vivant. [Lire la suite]
Plusieurs sociétés et associations représentant différents métiers du cinéma --ARP, SACD, BLIC, BLOC-- se sont félicitées vendredi de l'intervention de Christine Albanel demandant au fournisseur d'accès Free de lutter plus activement contre le piratage.
Outre-Atlantique, la question du piratage touchant l'industrie de la musique et du cinéma fait également débat avec un durcissement de la loi à ce sujet.
Plus de 6,1 milliards de dollars, c’est la somme que les studios américains estiment avoir perdu en 2005 à cause de la contrefaçon de vidéos et de DVD, ainsi que du piratage internet.
Deux ans après la publication d'une étude, le représentant de l'industrie du cinéma américain fait son mea culpa et concède une erreur dans ses chiffres sur le piratage.
La quasi-totalité de l'industrie du jeu vidéo aimerait bien que le piratage lui dise adieu. Malheureusement, cela ne se fera pas sans une lutte acharnée, et à ce propos, Ubisoft prépare son arme qui devrait lui être des plus utiles.
Que restera-t-il à pirater ? Bonne question ! Cette question est inscrite sur une affiche placardée dans beaucoup de cinéma en France. Pour dénoncer le piratage, pour dénoncer que le CONsommateur va trop loin et va tuer l'industrie complète du cinéma. Les ayants droit, via le gouvernement, veut faire culpabiliser le cinéphile avec cette nouvelle campagne.
Pour lutter contre le piratage, plusieurs options s’offrent aux majors. Entre autres, on peut, passer par la RIAA et risquer de devenir impopulaire,...
Les fabricants de jeux vidéo, également victimes du piratage, réagissent en ciblant les distributeurs de produits contrefaits, contrairement aux industries du cinéma et de la musique qui cherchent surtout à sensibiliser l'utilisateur final.
A ne lire que les communiqués de presse des lobbys du cinéma et les articles de presse des organes qui leur sont proches, rien n'irait plus pour l'industrie du cinéma. Or celle-ci vient à nouveau de battre un record de fréquentation cet été aux Etats-Unis, malgré un piratage toujours croissant. Pourquoi ce décalage entre discours et réalité ?
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C'est un peu comme les avertissements anti-piratage sur les DVD commerciaux. Au final, c'est le consommateur lambda qui risque d'être pénalisé par la décision de Sony de rendre les batteries inamovibles sur la PSP Go, la prochaine console portable de l'entreprise. [Lire la suite]
Dans un secteur qui n'a pas encore mesuré l'étendue du piratage sur le Net, l'éditeur de BD se veut «constructif». Il propose une charte de bonne conduite aux sites amateurs, et passe des licences pour le téléchargement payant de ses personnages.
Christine Albanel, actuelle Ministre de la Communication, a récemment fait savoir qu'elle exhortait le fournisseur d'accès Free à lutter de façon plus active contre le piratage. Le concept du service...