Des moteurs qui trafiqueraient les chiffres, des annonceurs qui fausseraient le système... Certaines pratiques frauduleuses remettent aujourd'hui en cause l'économie du Web basée sur les liens sponsorisés.
Google a lancé un site web en guise de «centre de ressources» centré sur l'épineuse question de la fraude aux clics, que beaucoup considèrent comme une menace à la principale source de revenus du géant de Mountain View : la publicité en paiement-par-clic ou «pay-per-click».
Google a lancé un site web en guise de «centre de ressources» centré sur l'épineuse question de la fraude aux clics, que beaucoup considèrent comme une menace à la principale source de revenus du géant de Mountain View : la publicité en paiement-par-clic ou «pay-per-click».
D'après la société d'étude Outsell, 15% des clics sur les liens sponsorisés seraient bidons. Pour les annonceurs américains, cela représente 800 millions de dollars qui partent en fumée. De quoi remettre en cause l'une des plus belles machine à cash de l'Internet.
Google recense environ 10% de fraude aux clics sur ses liens sponsorisés et affirme en bloquer la quasi-totalité. Il a renforcé son système de contrôle pour se concentrer sur les 0,02% de clics frauduleux qui passent encore à travers.
La justice de l'Arkansas examine cette semaine le compromis proposé par Google dans son procès pour fraude aux clics.
La part des clics frauduleux sur des bandeaux publicitaires augmente, passant au dernier trimestre 2008 à 17,1 % des clics. Près du tiers est réalisé depuis des ordinateurs piratés.
Yahoo, Google, Microsoft et d’autres ont créé un groupe de travail, avec l’IAB, afin de fournir des normes de calcul des clics sur les liens sponsorisés. L’objectif est de dénombrer de façon fiable les clics valides en les distinguant des frauduleux.
Google devra faire face à un nouveau procès portant sur la fraude aux clics, que les plaignants souhaitent de type class-action .
La fraude aux clics est une escroquerie utilisant le système très répandu de facturation au clic des publicités diffusées sur le web. Elle consiste à...
Près de 15 % des clics sur des liens sponsorisés sont frauduleux. Véritable menace pour le search engine marketing (SEM) ou problématique mineure ? Le point avec eMarketer.
Google recense environ 10% de fraude aux clics sur ses liens sponsorisés et affirme en bloquer la quasi-totalité. Il a renforcé son système de contrôle pour se concentrer sur les 0,02% de clics frauduleux qui passent encore à travers.
Google sort du silence, des concurrents malveillants ont notamment utilisé des robots automatisés pour cliquer sur ces liens, afin de grossir indument la facture marketing d’une société. Par ailleurs, les éditeurs membres du réseau AdSense (https://www.google.com/adsense/login/fr/), qui acceptent contre rémunération de faire apparaître des publicités sur leur site, peuvent aussi être enclins à cliquer de façon abusive sur ces liens, pour acc......... (http://blog.prouver.fr/liens-sponsorises-google-renforce-son-action-contre-la-fraude-aux-clics/)
Selon une étude du cabinet Outsell, plus de 14% des clics sur liens sponsorisés, facturés aux annonceurs, sont frauduleux. Google et ses concurrents minimisent l’ampleur du phénomène, tout en cherchant à lutter contre.
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Sony a changé en urgence une publicité vantant les mérites de sa nouvelle console PlayStation 3. En effet, la campagne mettait en scène un client et un vendeur, où ce dernier évoquait la fameuse fraude 4-1-9 dans son discours. Aussi appelée arnaque nigériane, cette escroquerie ne met guère en valeur la population nigériane. Et le gouvernement local n'a évidemment pas apprécié cette énième attaque contre la réputation du pays. [Lire la suite]
Des blogueurs sud-coréens se sont faits arrêter pour avoir eu recours à un logiciel de clics automatiques qui augmente le nombre de clics sur leurs articles. Cette fraude a eu pour conséquence de donner l'impression que leurs écrits aient été lus plus de 130 000 fois.