Faire appel aux internautes, les faire voter, créer des pochettes, écrire des textes... C'est la nouvelle tendance Web du côté des maisons de disques. Petit tour d'horizon des dernières initiatives.
Non, l'industrie musicale ne se porte pas si mal. Non, le piratage n'est pas en train de ruiner la filière. De tous les acteurs de l'industrie, seules les maisons de disques qui vivent sur l'enregistrement de la musique souffrent de la transition technologique et de l'évolution des modèles économiques. Les majors s'adaptent et deviendront rapidement des maisons de la musique et non plus des maisons de disques...
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Les téléchargements de musique (musique et sonneries) devraient générer en 2005 un chiffre d'affaires de 30 à 35 millions d'euros en France. 20 millions de titres ont été téléchargés, mais le syndicat des maisons de disques entend maintenir la pression sur les pirates.
LOS ANGELES (Reuters) - Les grandes maisons de disques américaines ont décidé vendredi d'abandonner les poursuites à l'encontre des internautes...
Le procureur général de l'Etat de New York vient de lancer une nouvelle enquête. Il veut vérifier l'existence d'un supposé accord secret entre les grandes maisons de disques sur le prix de la musique en ligne.
La rédaction a choisi de revisiter, à travers vos commentaires, les faits d'actualité qui vous ont abondamment fait réagir en 2004. Retour sur la polémique déclenchée par la campagne de répression des maisons de disques contre les adeptes du peer-to-peer.
Comme ses petites soeurs la RIAA ou le SNEP, la Fédération Internationale de l'Industrie Phonographique (IFPI) se protège toujours derrière le respect et la défense des artistes pour justifier ses actions de terreur à l'encontre des internautes, quand bien même ce sont en fait les maisons de disques qu'elles représentent. Or plus que jamais, les maisons de disques et leurs artistes ont des intérêts antagonistes. Les premières veulent continuer à vendre des albums et en revendre davantage, alors que les seconds veulent surtout que leur musique soit écoutée par le plus grand nombre, pour qu'elle draine du monde dans leurs concerts. Souvent, les associations de maisons de disques attaquent les internautes au nom des artistes, là où les artistes les auraient laissé en paix. [Lire la suite]
La fédération américaine des maisons de disques a annoncé vendredi qu'elle ne poursuivrait plus en justice les internautes qui téléchargent de la musique illégalement sur le Web. Elle laisse cette responsabilité aux FAI !
En appelant les maisons de disques à abandonner les DRM pour le téléchargement de musique, le PDG d'Apple souhaite allumer un contre-feu au débat sur l'interopérabilité. Mais il ne fait pas illusion.
«Les maisons de disques ont aujourd'hui vraiment fermé leurs portes aux musiciens et ceux qui jouent sans passer par la Star Ac' et autre émission du genre n'ont désormais aucune chance...
Vendre de la musique à l'unité n'est probablement pas un modèle économique adapté à l'ère numérique. Les majors doivent faire preuve de plus d'imagination, ce qu'elles commencent à faire. Elles proposent notamment des licences de leur musique pour des jeux vendus sur l'iPhone, à l'image de EMI qui s'associe cette semaine à Tapulous pour lancer Tap Tap Dance. Petit tour d'horizon. [Lire la suite]
Selon l'agence Reuters, Facebook, réseau social sur internet, aurait approché des maisons de disques pour proposer un service de musique en ligne.
L'âge d'or des maisons de disques est bien révolu : aujourd'hui, ce sont les internautes qui découvrent, lancent, voire produisent les artistes.
L'entreprise a indiqué être en discussion avec les grandes maisons de disques pour proposer à ses abonnés en France le téléchargement de musique illimité. (ARGENT)
Le syndicat des principales maisons de disques en France veut imposer un filtrage direct des réseaux de téléchargement sur les ordinateurs des particuliers pirates.