Le président de la République confirme dans le JDD. Il souhaite que DSK soit candidat au FMI. Et que Jack Lang participe à une commission sur la réforme des institutions politiques.
La France souhaite proposer un candidat à la tête du FMI, la place étant vacante • Après avoir laissé planer le doute sur Fabius et Strauss-Kahn, c'est finalement ce dernier que l’Elysée soutiendra •
Alors que le texte sur la réforme des institutions revient en seconde lecture au Sénat, le chef de l'Etat a mis en garde les députés UMP : " De toute façon, moi, je resterai président de la République. Cette réforme, c'est comme le bac, on passe de meilleures vacances si on l'a que si on l'a pas." Une dizaine de parlementaires UMP affirment vouloir voter contre la réforme.
Bamako, Mali - Le gouvernement malien a décidé de soutenir la candidature de l'ancien ministre français de l'Economie, Dominique Strauss-Kahn au poste de directeur général du Fonds monétaire international (FMI), annonce un communiqué du minstère des Affaires étrangères parvenu vendredi à la PANA.
A cet égard, le communiqué note que le président malien a souligné le souhait de la République du Mali de voir le directeur général du FMI prendre toujours en charge les préoccupations des pays en développement, en particulier ceux d'Afrique.
Bamako - 27/07/2007
Panapress
Le président de la République a estimé lors du Conseil des ministres que le vote du député PS en faveur de la réforme des institutions lors du Congrès de Versailles lundi "valide sa stratégie d'ouverture", selon le porte-parole du gouvernement, Luc Chatel.
Le leader d'extrême droite juge positivement les premières semaines du Président et souhaite qu'un membre du FN siège à la commission de réforme des institutions.
Dans une lettre au président de la République, Jack Lang invite Nicolas sarkozy à accomplir le geste clair, fort et constructif qui permettrait d'emporter l'adhésion générale en conférant un véritable statut à l'opposition. Il le presse aussi d'entrouvrir une porte à une évolution future de l'élection des sénateurs.
Le président de la République demande à l'assurance maladie d'"intensifier la lutte contre les gaspillages, les abus et les fraudes". Il souhaite un retour à l'équilibre en 2011. Nicolas Sarkozy s'est aussi déclaré favorable à "une politique d'intéressement du personnel médical et paramédical" dans les hôpitaux.
Parmi les mesures et propositions pour le logement présentées hier par Nicolas Sarkozy, la plus commentée concerne le logement en HLM (habitation à loyer modéré), que le président de la République souhaite encadrer.
« Désormais la situation de chaque ménage devra être réexaminée...Date de publication : Mercredi 12 décembre 2007 à 11:46
Nicolas Sarkozy souhaite une réforme du mode d’indexation des loyers.
Lors de son intervention, jeudi soir, sur TF1 et France 2, le Président de la République a souhaité que les loyers soient indexés sur l’indice des prix à la consommation (IPC), et plus sur l’indice de référence des loyers (IRL) comme c’est...Date de publication : Vendredi 30 novembre 2007 Ã 11:54
Soutenu par les pays membres de l'UE, DSK a confirmé qu'il postulait au Fonds monétaire international. Une candidature qui avait été proposée par Sarkozy.
Jeudi, à Epinal, le chef de l'Etat s’est présenté en héritier du fondateur de la Ve République • Lançant le chantier de la réforme des institutions, il a exposé ses pistes: une présidence «responsable» et sans domaine réservé, un Parlement qui soit un contre-pouvoir avec une opposition parlementaire dotée d’un véritable statut.
"L'oecuménime a ses limites", a lancé le président du groupe UMP au Sénat, Josselin de Rohan, qui a reproché à Nicolas Sarkozy "d'introduire dans une équipe des ferments de division". Le sénateur s'est également opposé à la réforme institutionnelle. "Nous refusons que soit remise en cause la Constitution de la Ve République"
A la veille de la présentation officielle des treize membres du comité de réflexion sur les institutions, Nicolas Sarkozy lance la réforme en consultant les partis politiques.
Quand le fils veut réhabiliter le père - Dans son discours d'investiture prononcé, comme à l'accoutumée, sur le registre de l'élève mal inspiré qui cherche laborieusement ses mots, le président ATT a cru bien faire d'unir, dans un même hommage, Modibo Kéïta, président de la Première République, Moussa Traoré, président de la Deuxième République et Alpha Oumar Konaré, Premier président de la Troisième République . C'est mélanger la bonne graine et l'ivraie et, dans ce cas précis, l'ivraie, c'est Moussa Traoré.