Risque de cancer pour les femmes au tour de taille supérieur à 90 cm
Si vous voulez vivre longtemps, surveillez votre tour de taille
Le tour de taille est un signal d'alerte de l'état de santé. En effet, les femmes dont le tour de taille est égal ou supérieur à 80 cm (contre 94 cm ou plus pour les hommes) courent un risque élevé de voir leur santé se dégrader. Heureusement pour vous, http:\\www.montourdetaille.be est là pour vous aider.
Les hommes et les femmes ayant un fort tour de taille sont susceptibles d'encourir un risque accru de cancer du colon, selon les conclusions d'une étude prospective européenne sur le cancer, les maladies chroniques, la nutrition et le mode de vie financée par l'UE.
L'obésité viscérale, évaluée par le tour de taille, est chez l'adulte un facteur important de prédiction du risque cardiovasculaire car elle est corrélée à la résistance à l'insuline et aux perturbations des lipides...
L'obésité guette près d'un Français sur 5. Le tour de taille des Français s'est élargi en 20 ans de 5 centimètres de tour de taille. Les Français ont pris en moyenne de 3 kg. Les femmes et les personnes en situation de précarité sont les plus touchées.
Les risques sont importants : cholestérol, accidents cardio-vasculaires, diabète, [...]
Un Belge sur trois est en surcharge pondérale. Une grande campagne nationale vient donc d'être lancée sur le thème du tour de taille. En effet, le tour de taille peut être considéré comme un signal d'alerte de l'état de santé. Les personnes dont le t[...]
Surveillez votre tour de taille afin de contre-carrer le danger que représente l'obésité au niveau mondial. Peu de Français connaissent le lien entre obésité et cancer. D'après un récent...
Le rapport tour de taille/tour de hanche constitue un meilleur outil de prédiction du risque de mortalité associée au surpoids et/ou à l'obésité chez les personnes âgées que l'indice de masse corporelle (IMC), selon une étude publiée dans l'« American Journal of Clinical Association ».
La pratique régulière d'une activité physique diminuerait le risque de diabète de type 2 chez les personnes avec un tour de taille élevé, suggère une étude finlandaise publiée dans « Diabetic Medicine ».
La graisse abdominale serait liée à une augmentation de la mortalité.
Après 45 ans, la mesure du tour de taille s'avère aussi intéressante que l'indice de masse corporelle pour déterminer notamment (...)
L'adiposité abdominale corrélée au risque de décès
La grande étude de cohorte européenne EPIC, portant sur plus de 350?000 adultes suivis en moyenne pendant dix ans, suggère que l'adiposité générale et l'adiposité abdominale sont indépendamment corrélées au risque de décès. Les résultats plaident pour utiliser à la fois le tour de taille (TT), ou le rapport tour de taille sur tour de hanche (TT/TH) et l'indice de masse corporelle (IMC) pour prédire le risque de décès, en particulier chez les personnes ayant un faible IMC.
L'OBÉSITÉ EST généralement mesurée par l'indice de masse corporelle (IMC) dont la valeur s'obtient en divisant le poids en kg par le carré de la taille en mètres. L'IMC ne tient pas compte des variations importantes dans la répartition de la graisse corporelle d'un sujet à l'autre.
Or, l'obésité abdominale est plus étroitement associée au risque de certaines maladies chroniques (maladies cardio-vasculaires et diabète) que l'obésité au niveau des fesses et des cuisses. Et de grandes études ont suggéré que le tour de taille (TT) ou le rapport tour de taille sur tour de hanche (TT/TH), qui sont des indicateurs d'obésité abdominale, seraient de meilleurs déterminants du risque de maladies que l'IMC.
Il est recommandé actuellement de mesurer le tour de taille chez les adultes ayant un excès de poids modéré (IMC compris entre 25 et 34,9) afin de détecter une obésité abdominale (TT ? 102 cm chez l'homme et 88 cm chez la femme) et d'identifier les sujets qui s...
Des études récentes ayant suggéré que la taille des vêtements serait un bon indicateur de l'adiposité et pourrait être utilisée en épidémiologie comme substitut de l'obésité et de la graisse abdominale, des auteurs néerlandais...
Les femmes qui manquent de vitamine D ont plus de risque de métastases