La Libye et Cécilia Sarkozy seront jeudi au coeur des débats de l'Assemblée, qui devrait autoriser la création d'une commission d'enquête sur les conditions de la libération des soignants bulgares détenus en Libye et d'éventuelles contreparties consenties à Tripoli.
Elle se penchera sur les conditions de la libération des soignants bulgares détenus en Libye. La grande inconnue reste l'identité de son rapporteur.
Elle se penchera sur les conditions de la libération des soignants bulgares détenus en Libye. La grande inconnue reste l'identité de son rapporteur.
Cela fait maintenant huit ans que cinq infirmières bulgares et un médecin palestinien sont détenus en Libye. Le 6 mai 2004, ces soignants ont été condamnés à la peine de mort pour une première fois.
La Cour suprême libyenne devrait rendre mercredi son verdict dans le procès en appel des infirmières et du médecin bulgares condamnés à mort en Libye pour propagation volontaire du sida, alors qu'un règlement de l'affaire butte encore sur les compensations financières.
Le verdict dans le procès en appel des cinq infirmières bulgares et du médecin palestinien condamnés à mort en Libye sous l'accusation d'avoir inoculé le virus du sida à des enfants sera prononcé mercredi, a dit à un journal italien Seif Al-Islam, fils de Mouammar Kadhafi.
La commission d'enquête parlementaire sur la Libye a entendu jeudi le groupe nucléaire Areva, qui a affirmé n'avoir joué aucun rôle dans le processus de libération des soignants bulgares, alors qu'un accord signé juste après sur un réacteur nucléaire avait jeté le soupçon.
Le procureur a requis, avant-hier, la confirmation de la peine de mort à l'encontre de cinq infirmières et d'un médecin bulgares jugés en appel devant la Cour suprême de Libye.
Le médecin et les infirmières bulgares détenus pendant plus de huit ans en Libye ont été torturés durant leur captivité, a reconnu le fils du numéro un libyen Mouammar Kadhafi, Seif al-Islam Kadhafi, dans un entretien à la chaîne de télévision panarabe Al-Jazira. Le médecin et les infirmières bulgares, arrêtés en Libye en 1999, ont été condamnés à mort sous l'accusation d'avoir délibérément inoculé le virus du sida à plus de 400 enfants libyens. Les six soignants ont été relâchés le 24 (...)
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Actualité
A l'issue de cinq jours de débats, parfois très techniques, difficile de dire qui a pris l'avantage entre les deux parties. Le verdict des juges ne tombera pas avant plusieurs mois.
Appelé à témoigner devant la commission d'enquête parlementaire sur la Libye, le secrétaire général de l'Elysée a répété qu'il n'y avait pas eu de contreparties à la libération des soignants.
Le président français se rend à Sofia ce jeudi. Il a souligné le travail remarquable de sa femme, qui ne l'accompagne pas, dans les négociations pour la libération des soignants détenus en Libye.
Le procureur de la cour suprême de Libye a requis mercredi la confirmation de la peine de mort à l'encontre de cinq infirmières et d'un médecin bulgares condamnés pour contamination d'enfants par le sida, et qui avaient fait appel.
Puteaux-Suresnes
LE VERDICT de la cour d'assises des Hauts-de-Seine a déclenché la colère des proches de certains accusés. Vers 1 h 30 du matin, hier, après l'énoncé des condamnations infligées aux sept hommes jugés pour le braquage d'un dabiste à Suresnes en décembre...
Publié le 28.11.07
Composée de trente députés, dont 17 UMP, la commission chargée d'enquêter sur les conditions de la libération des soignants bulgares et des éventuelles contreparties à la Libye a été adoptée.