DES CHERCHEURS français viennent d'expliquer comment un tout petit nombre de patients (moins de 1 % des séropositifs) réussissent à bloquer naturellement, sans le moindre traitement, la multiplication du virus dans leur sang et sont donc protégés contre ses effets pathogènes...
Des chercheurs de l'Institut de génétique moléculaire de Montpellier (France) ont trouvé un nouveau moyen de bloquer la multiplication du virus du sida lors de tests en laboratoire, selon une étude publiée vendredi par la revue gratuite en ligne Plos Pathogens.
Des chercheurs de l'Institut de génétique moléculaire de Montpellier (France) ont trouvé un nouveau moyen de bloquer la multiplication du virus du sida lors de tests en laboratoire, selon une étude publiée vendredi par la revue gratuite en ligne Plos Pathogens.
Une approche entièrement nouvelle pour bloquer l'infection par le HIV-1 (la forme la plus répandue du virus du sida chez l'homme) vient d'être mise au point par des chercheurs du CNRS et de...
Des chercheurs de l'Institut de génétique moléculaire de Montpellier ont trouvé un nouveau moyen de bloquer la multiplication du virus du sida lors de tests en laboratoire, selon une étude publiée vendredi par la revue gratuite en ligne Plos Pathogens. Ils ont développé une molécule chimique s'attaquant aux mécanismes cellulaires qu'utilise le VIH (virus de l'immunodéficience humaine) pour se multiplier, alors que les médicaments anti-sida actuels visent des mécanismes propres au virus lui-même, précise le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) dans un communiqué. Au lieu d'attaquer les composants que le virus amène avec lui, nous visons ceux qu'il utilise dans la cellule, a expliqué à l'AFP le professeur Jamal Tazi (Institut de génétique moléculaire/Université de Montpellier/CNRS). Cette approche entièrement nouvelle devrait permettre d'éviter que le VIH, au fil de mutations-adaptations successives, trouve le moyen de résister à l'action du médicament qui le vise.
Les séropositifs ayant des concentrations élevées du virus dans le sang et traités avec le cocktail d'antirétroviraux Epzicom ont deux fois plus de risques de développer le sida que ceux traités avec le traitement concurrent Truvada, selon une étude publiée mardi.
Une étude sur une stratégie anti-sida vient de montrer qu’un traitement antirétrovirale des séropositifs entraînerait en 10 ans une réduction de 95 % du nombre de personnes infectées. Les chercheurs se sont basés sur des modèles informatiques pour faire leurs prévisions. Enrayer l’épidémie du Sida, c’est possible.
L’étude publiée dans la revue The Lancet rappelle d’abord [...]