COMMENT absorber une partie du gaz carbonique rejeté en excès dans l'atmosphère par les activités humaines et limiter ainsi le réchauffement climatique ...
Une idée proposée en 1995 pour lutter contre le réchauffement climatique causé par les émissions humaines de CO2 est à nouveau étudiée sérieusement par quelques scientifiques, avec le soutien de la compagnie pétrolière Shell. Ces chercheurs proposent de déverser de la chaux dans les océans pour absorber l'excès de gaz carbonique...Même en réduisant drastiquement les émissions de gaz à effet de serre de l'humanité, c'est-à-dire essentiellement du CO2 relâché massivement dans l'atmosphère par la combustion des sources d'énergies fossiles, la température m...
La capacité de la forêt boréale canadienne à absorber le gaz carbonique serait réduite par le réchauffement climatique. (LCN)
?Les activités humaines' ne sont pas responsables du ?réchauffement climatique?. Une fois n'est pas coutume, de manière tout à fait inattendue, les scientifiques nous ont épargné ?les conneries qui plaisent aux riches' (1). Oui il est bien écrit : ?Le réchauffement climatique? n'est pas lié aux ?activités humaines'. Les carottes ...
En croissance exponentielle, les émissions de gaz carbonique (CO2) dues aux activités humaines ont...
Outre le réchauffement climatique, les émissions de gaz carbonique sont à l'origine d'un autre...
Pour combattre le réchauffement climatique, des chercheurs américains et britanniques ont imaginé une solution qui consiste à faire naviguer dans les océans une flotte de bateaux-robots autonomes pulvérisant de l'eau salée dans l'atmosphère. ...
Décidément, les coraux sont attaqués de toutes parts : le réchauffement climatique, la pollution marine, l’acidification des océans, les activités humaines… Même la crème solaire s’y met! ...
La concentration de dioxyde de carbone dans l'atmosphère augmente beaucoup plus vite que prévu en raison de la croissance économique et de la difficulté des forêts et des océans à absorber ce gaz à effet de serre, selon une étude publiée lundi.L'augmentation de la quantité de dioxyde de carbone dans l'atmosphère a été supérieure de 35% à ce qui était attendu depuis 2000, a expliqué, dans un communiqué, le British Antarctic Survey (BAS), qui a participé à l'étude publiée dans les annales de l'Académie nationale des Sciences américaine.Selon les chercheurs, les carburants polluants sont responsables de 17% de cette augmentation, tandis que les 18% restant sont dus à un déclin de la capacité des puits naturels comme les forêts ou les océans à absorber le gaz carbonique.Il y a 50 ans, pour chaque tonne de CO2 émise, 600 kg étaient absorbés par les puits naturels. En 2006, seulement 550 kg par tonne ont été absorbés, et cette quantité continue à baisser, a expliqué l'auteur principal de l'étude, Pep Canadell, du Global Carbon Project.Près de 10 milliards de tonnes de dioxyde de carbone ont été émises en 2006, soit une augmentation de 35% par rapport à 1990, relève l'étude, alors que le protocole de Kyoto prévoyait qu'en 2012, ces émissions responsables du réchauffement climatique devaient avoir baissé de 5% par rapport à 1990.Les améliorations dans l'intensité carbonique de l'économie mondiale stagnent depuis 2000, après 30 ans de progrès, ce qui a provoqué cette croissance inatte...
L'augmentation continue du CO2 dans l'atmosphère entraîne le réchauffement de la planète mais aussi l'acidification des océans. Certains organismes marins commencent déjà à en souffrir sérieusement.
Réunis à Paris du 29 janvier au 2 février, les experts du Groupe Intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) ont rendu public leur dernier diagnostic : pour les scientifiques, le réchauffement climatique se dessine de plus en plus précisément et il ne fait plus guère de doute que les activités humaines en sont la cause.
Le réchauffement climatique aux pôles peut être attribué directement aux activités de l'Homme, révèle une nouvelle étude à paraître en ligne jeudi sur le site de la revue américaine Nature Géoscience.
Des scientifiques d'universités américaines, d'ONG et d'agences du gouvernement fédéral américain ont construit une carte mondiale de l'impact des activités humaines sur les océans. ...
Les récifs de corail, qui abritent un tiers des espèces marines et protègent les côtes des raz-de-marée, sont menacés par l'acidification des océans et les activités humaines, ont mis en garde des scientifiques réunis cette semaine à Papeete.
Réunis à Bangkok au début du mois de mai, les 400 délégués du GIEC ont approuvé un rapport sur les moyens à mettre en oeuvre dans la lutte contre le changement climatique. Pour ces spécialistes, limiter le réchauffement de la planète est techniquement et financièrement possible. À condition de s'y atteler rapidement.