Les personnes traitées pour un cancer demeurent à haut risque d'être à nouveau touchées par la maladie au cours des années qui suivent. (Journal de Montréal)
Les personnes qui ont été traitées pour un mélanome, la forme la plus grave de cancer de la peau, voient leurs risques de développer une autre forme de cancer doubler, selon une étude britannique publiée mercredi.
Réduire les apports alimentaires en graisses diminue le risque de récidive de cancer du sein chez les femmes qui ont été traitées par un cancer du sein peu avancé, selon un essai clinique relaté dans le « Journal of the National Cancer Institute ».
L'Union internationale contre le cancer (UICC) lance une campagne mondiale de sensibilisation afin d'informer le grand public sur l'importance de la prévention du cancer et sur la nécessité d'adopter un comportement sain pour réduire les risques de développer la maladie. Baptisée « Prévenir le cancer c'est aussi possible », cette campagne mondiale se traduit par la mise à disposition d'informations gratuites pour le grand public.
Viandes rouges et graisses triplent le risque de récidives du cancer
Le fait d'adopter un régime alimentaire pauvre en graisses ne réduit que très légèrement le risque de cancer du sein et n'exerce aucun impact sur le risque de cancer colorectal ou de maladie cardiovasculaire chez les femmes ménopausées, suggèrent de nouvelles données issues de l'étude Women's Health Initiative (WHI), faisant l'objet de trois articles publiés dans le « Journal of the American Medical Association » (JAMA).
LES RAPPORTS sur le cancer se suivent mais ne se ressemblent pas. Ainsi, celui que vient de publier le Fonds mondial de recherche contre le cancer (World Cancer Research Fund, WCRF) est consacré aux liens entre cancers et activité physique, alimentation et nutrition...
Selon une nouvelle recherche de l'EPIC (European Prospective Investigation of Cancer - Étude prospective européenne sur le cancer) publiée dans la revue International Journal of Cancer, la consommation quotidienne d'un grand verre de vin ou de bière augmente le risque de développer un cancer intestinal de 10 %.
Malgré le caractère souvent salvateur de la chirurgie du cancer de l'?sophage (KO), elle n?empêche pas les récidives et n?assure que 40 % de survies à 3 ans. Au-delà de ce délai, les récidives deviennent rares et les patients...
Une supplémentation en vitamine E et en bêta-carotène n'apporte pas de protection contre le risque de cancer de la prostate, suggèrent les résultats d'une étude publiée dans le « Journal of the National Cancer Institute » (JNCI).
Le cancer du pancréas est la quatrième cause de décès par cancer. Dépister le cancer du pancréas est un enjeu majeur pour améliorer le pronostic de cette maladie. Cela revient à définir une population à risque. Plusieurs travaux...
Le gain de survie obtenu par les progrès thérapeutiques dans le cancer du sein (KS) au cours des dernières décennies a augmenté la probabilité de survenue d'un autre cancer, surtout en cas de facteurs de risques (génétique,...
Le risque de survenue d'un cancer colorectal (CCR) apparaît globalement réduit pendant au moins les dix années qui suivent une coloscopie de dépistage normale. Le but de ce travail était de déterminer l'incidence du CCR proximal...
Consommer du vin ou de la bière tous les jours, même en petite quantité, accroît les risques de cancer intestinal, selon une étude publiée mardi en Grande-Bretagne.Boire deux grands verres de vin ou deux pintes de bière par jour (soit quatre unités d'alcool) accroît les risques de développer cette maladie d'environ 25%, selon cette étude parue dans l'International Journal of Cancer. Un verre de vin ou une pinte de bière augmentent le risque de 10 %. Les recherches montrent très clairement que plus on boit d'alcool, plus on augmente le risque de cancer intestinal, explique le professeur Tim Key, de l'institut Cancer Research UK, dans les colonnes du Daily Telegraph.L'étude a été menée auprès de 478.000 personnes suivies dans dix pays européens sur six ans, dont 1.800 ont développé un cancer intestinal.
14/09/2007 - Les chercheurs ont montré que le risque de cancer fut de 12 % plus faible chez les femmes ayant pris la pilule pendant 8 ans. Le risque réduit le cancer du côlon, du rectum, de l'endomètre (corps de l'utérus) et des ovaires de manière statistiquement significative