10/07/2007 - Une faible consommation alimentaire de type européen avec un contrôle du poids pourrait, selon les auteurs, protéger la population asiatique traditionnellement à faible risque de cancer du sein
10/07/2007 - Une faible consommation alimentaire de type européen avec un contrôle du poids pourrait, selon les auteurs, protéger la population asiatique traditionnellement à faible risque de cancer du sein
La consommation de soja par l'alimentation semble associée à une faible réduction du risque de cancer du sein, mais il (...)
En partant du constat que le risque de cancer du sein (KS) est plus faible dans la population hispanique que non-hispanique des Etats-Unis (proportion de 2 vs 3), alors que l'incidence de l'obésité y est supérieure, les auteurs...
Évaluer au mieux le risque de cancer du sein d'une femme constitue l'étape préalable à sa prise en charge adaptée. Cette notion de risque de cancer du sein est à distinguer de la probabilité pour une femme d'être porteuse...
Réduire les apports alimentaires en graisses diminue le risque de récidive de cancer du sein chez les femmes qui ont été traitées par un cancer du sein peu avancé, selon un essai clinique relaté dans le « Journal of the National Cancer Institute ».
Le lipidome, en reflétant les interactions des lipides consommés, pourrait permettre d'évaluer le risque de cancer du sein associé à (...)
Depuis ces 50 dernières années, les relations entre hormones sexuelles et cancer du sein ont été l'objet de nombreuses hypothèses souvent contradictoires. Le doute a été levé en 2002, quand une équipe internationale (Endogenous Hormones and Breast Cancer Collaborative Group, 2002) a montré que des taux élevés d'hormones sexuelles (oestrogènes et androgènes) sont associés à une augmentation du risque du cancer du sein chez la femme en post-ménopause.
24/10/2007 - Les femmes n'ayant pas pris de traitement hormonal substitutif et qui avaient grossi entre 35 et 50 ans ont présenté une majoration du risque de 1,4 fois de développer un cancer du sein
24/10/2007 - Les femmes n'ayant pas pris de traitement hormonal substitutif et qui avaient grossi entre 35 et 50 ans ont présenté une majoration du risque de 1,4 fois de développer un cancer du sein
Les facteurs génétiques sont au premier plan des facteurs de risque du cancer du sein (KS) et les gènes BRCA1 et BRCA2 n?en représentent qu'un modeste exemple. On sait également que le risque de cancer du sein bilatéral (KSB)...
On savait déjà que la présence de grandes quantités d'oestrogènes (hormone) dans le corps de la femme est associée à de plus grands risques de développement d'un cancer du sein. Il s'avère maintenant que le poids est aussi un facteur. ...
Le fait d'adopter un régime alimentaire pauvre en graisses ne réduit que très légèrement le risque de cancer du sein et n'exerce aucun impact sur le risque de cancer colorectal ou de maladie cardiovasculaire chez les femmes ménopausées, suggèrent de nouvelles données issues de l'étude Women's Health Initiative (WHI), faisant l'objet de trois articles publiés dans le « Journal of the American Medical Association » (JAMA).
Une prise de poids élevée entre la première grossesse et la ménopause augmenterait le risque de cancer du sein chez les femmes ménopausées, selon les résultats d'une étude publiée dans la revue « International Journal of Cancer ».
Toutes les femmes ne sont pas confrontées à un risque équivalent de cancer du sein. Les cancers du sein sont des processus multifactoriels complexes, parmi lesquels se trouvent des « facteurs » génétiques. Les études de cohortes...