27/03/2008 - Selon les auteurs, bien que des études additionnelles soient nécessaires, la recherche indique que le resveratrol a un futur prometteur comme partie du traitement du cancer
Le cancer de la prostate est un risque majeur pour les hommes, notamment les plus de 60 ans. On arrive à traiter ce cancer dans beaucoup de cas, cependant sans savoir vraiment pourquoi certains cancers ne peuvent être stoppés et provoquent une issue fatale. Une agence du cancer au Canada vient de faire une avancée importante dans le traitement des cancers récalcitrants de la prostate. ...
01/08/2006 - Selon les auteurs, des études rigoureuses additionnelles sont nécessaires pour identifier les traitements qui sont sains et effectifs
18/11/2008 - Selon les auteurs, l'ensemble des résultats indique que l'inflammation chronique induite par la viande rouge peut contribuer au risque de cancer
Des chercheurs américains ont travaillé sur des nanoparticules pour aider au traitement des cancers du pancréas et du foie, des cancers les plus souvent mortels aujourd'hui.
11/06/2007 - Cette technique pourrait donc permettre de traiter d'autres cancers actuellement exclus des thérapies utilisant ces anticorps ( plus de 60 % des cancers du sein par exemple)
03/10/2008 - Les auteurs rappellent que la mastectomie est généralement le traitement indiqué lors d'une récidive d'un cancer étant donné que les irradiations des seins, qui typiquement accompagnent les tumorectomies ne sont pas habituellement recommandées deux fois dans la vie
La consommation de vin pourrait aider à réduire le risque de cancer de la prostate, selon une étude rendue publique vendredi aux Etats-Unis.
Ces résultats confirment d'autres études similaires publiées auparavant.
Des chercheurs de l'université UAB de Birmingham ont découvert qu'en incorporant à la nourriture de souris mâles du resvératrol, une molécule présente en abondance dans le vin, ces rongeurs avaient 87% moins de risque de développer un cancer de la prostate.
En outre, les souris ayant ingéré du resvératrol et atteintes d'un cancer ont développé une forme moins grave de la maladie que leurs congénères qui n'ont pas bénéficié de cette molécule présente dans la peau du raisin rouge.
Je bois un verre de vin chaque soir car je crains de développer un cancer de la prostate. Cette maladie est fréquente dans ma famille, a expliqué dans un communiqué le professeur Coral Lamartiniere, principal auteur de cette étude et professeur au département de pharmacologie et de toxicologie à l'UAB.
Une autre étude de l'UAB a montré que le resvératrol pouvait également aider à réduire le risque de cancer du sein chez des souris femelles.
Un des problèmes de l'étude sur le cancer de la prostate est que la quantité de resvératrol administré aux souris équivaut pour un humain à la consommation d'une bouteille de vin par jour. La consommation de vin ne devrait pas dépasser deux verres par jour pour un homme et un verre pour une femme, ont souligné l...
Rien n\'indique que le lycopène, le pigment donnant la couleur rouge vif aux tomates, réduit le risque de la plupart des cancers, à l\'exception peut-être de celui de la prostate, selon une étude de l\'Agence fédérale américaine des médicaments (FDA) publiée mardi.De nombreuses études affirment qu\'il y a une relation entre la consommation de tomates riches en lycopène, un anti-oxydant, et une diminution du risque de certains cancers.\Il n\'y a pas d\'indication solide\ montrant que le lycopène abaisse le risque de cancer du poumon, du sein, de colon et du col de l\'utérus, conclut le Dr Claudine Kavanaugh, du Centre de sécurité alimentaire et de nutrition appliquée de la FDA (Food and Drug Administration), principal auteur de ce rapport.Ce médecin a toutefois dit avoir noté \des indications scientifiques préliminaires très limitées\ selon lesquelles le lycopène pourrait contribuer à diminuer les risques de cancer de la prostate, de l\'estomac, des ovaires et du pancréas.\Bien qu\'il pourrait être prématuré de dire avec certitude qu\'une consommation accrue de tomate ou de lycopène pris sous forme de complément alimentaire empêcherait le cancer de la prostate, ce champ de recherche reste prometteur\, estime le Dr Edward Giovannucci de la faculté de médecine de Harvard (Massachusetts, nord-est).Il explique qu\'aujourd\'hui un grand nombre de cancers de la prostate sont dépistés très tôt grâce au test sanguin PSA qui mesure une substance produite par la glande.Or les études aya...
Le traitement du cancer du col utérin est aujourd'hui en grande partie standardisé. Les Standards ? Options ? Recommandations (SOR)(1) en expliquent et en donnent les grandes lignes. On distingue les cancers dits « précoces...