Nous avons déjà abordé la question du méthane dans le réchauffement climatique. Second responsable du processus de l'effet de serre après le CO2, le méthane est rejeté par des marais, des rizières et par les ruminants. Une étude montre que les plantes en rejettent également. ...
On sait que le méthane a un impact sur le réchauffement climatique. Son origine est diverse : humaine mais aussi naturelle. Or une étude récente indique que le méthane contenu dans les gisements de pétrole aurait eu un rôle majeur dans deux anciens épisodes de réchauffement global. ...
L'Institut de recherche Rowett d'Aberdeen (Royaume-Uni) a mis au point une méthode dont il espère qu'elle permettra de réduire les émissions de méthane produites par les vaches et autres animaux. Puissant gaz à effet de serre, le méthane a un impact sur le réchauffement planétaire 32 fois supérieur au dioxyde de carbone. Une vache peut produire jusqu'à 500 litres de méthane par jour, principalement par éructation du gaz.
Un pavé dans la mare a été jeté par 3 chercheurs ( Benjamin Dessus, Bernard Laponche et Hervé Letreut ), on se focalise sur le CO2 pour le réchauffement climatique, sans se préoccuper d'un gaz bien courant, le méthane (CH4), produit lui par les ruminants, les décharges et les déjections animales. Le traitement des décharges notamment aurait bien plus d'effet sur le réchauffement climatique que 3 EPR construits, 400 000 logements réhabilités chaque année, tout en valorisant une ressource méprisée...
La contribution du méthane océanique à l'effet de serre serait grandement sous-estimée, selon une étude publiée dimanche dans la revue spécialisée Nature Geoscience.
Des chercheurs de la NASA annoncent avoir détecté des variations saisonnières d'émissions de méthane à certains endroits de la surface de Mars. La présence de méthane implique des processus géologiques, potentiellement même biologiques, et les quantités de méthane observées sur la planète rouge sont comparables à celles de certains sites actifs sur Terre.
En cause, l'extension des zones humides continentales, tels les marécages en milieu boréal dont les émissions de méthane étaient quasiment nulles durant le maximum glaciaire. Plus étonnant, les émissions de méthane associées aux feux de végétation seraient restées constantes lors de cette transition climatique majeure. Publiés dans la revue Nature le 17 avril 2008, ces résultats permettent de mieux cerner les mécanismes pouvant amplifier dans le futur les émissions naturelles de méthane, un gaz à effet de serre hautement incriminé dans le réchauffement climatique.
Les carottes de glace constituent la seule archive disponible pour reconstruire avec précision la composition de l'atmosphère dans le passé, notamment les teneurs en gaz à effet de serre comme le méthane. Il s'agit du second gaz à effet de serre d'origine humaine après le gaz carbonique. Les teneurs en méthane ont augmenté de plus de 150% au cours des dernières 200 années, en relation avec les émissions anthropiques (agriculture, exploitation du gaz naturel, …).
S'appuyant sur l'analyse de deux forages profonds réalisés en Antarctique, certains scientifiques impliqués dans le consortium européen EPICA ont cherché à mieux comprendre les variations naturelles du méthane atmosphérique dans le temps. C'est en analysant les gaz piégés dans les carottes de glace que ces spécialistes ont obtenu la toute première évolution détaillée d...
En cause, l'extension des zones humides continentales, tels les marécages en milieu boréal dont les émissions de méthane étaient quasiment nulles durant le maximum glaciaire. Plus étonnant, les émissions de méthane associées aux feux de végétation seraient restées constantes lors de cette transition climatique majeure. Publiés dans la revue Nature le 17 avril 2008, ces résultats permettent de mieux cerner les mécanismes pouvant amplifier dans le futur les émissions naturelles de méthane, un gaz à effet de serre hautement incriminé dans le réchauffement climatique.
Les carottes de glace constituent la seule archive disponible pour reconstruire avec précision la composition de l'atmosphère dans le passé, notamment les teneurs en gaz à effet de serre comme le méthane. Il s'agit du second gaz à effet de serre d'origine humaine après le gaz carbonique. Les teneurs en méthane ont augmenté de plus de 150% au cours des dernières 200 années, en relation avec les émissions anthropiques (agriculture, exploitation du gaz naturel, …).
S'appuyant sur l'analyse de deux forages profonds réalisés en Antarctique, certains scientifiques impliqués dans le consortium européen EPICA ont cherché à mieux comprendre les variations naturelles du méthane atmosphérique dans le temps. C'est en analysant les gaz piégés dans les carottes de glace que ces spécialistes ont obtenu la toute première évolution détaillée d...
Le méthane est le deuxième GES le plus important parmi les six inclus dans le protocole de Kyoto. À court terme, une stratégie spécifique au méthane renforcerait l'efficacité des politiques de réduction des émissions de GES. Explications.
D'après un communiqué de l'Agence de Protection de l'Environnement (EPA) américaine du 24 septembre, le partenariat public-privé ''Methane to markets'', destiné à réduire les émissions de méthane grâc...
L'Institut de recherche Rowett d'Aberdeen (Royaume-Uni) a mis au point une méthode dont il espère qu'elle permettra de réduire les émissions de méthane produites par les vaches et autres animaux....
Les preuves montrant que les gisements de méthane sous forme de clathrates en Arctique sont en train de se déstabiliser se multiplient. Une récente campagne océanographique a découvert pas moins de 250 suintements de méthane dans cette région du globe. La menace d'une accélération brutale du réchauffement climatique se précise donc.
Cela fait des dizaines d'années que les géologues et les océanographes savent qu'il existe en bordure des continents de gigantesques zones où s'accumulent des cl...
Comme chacun sait, les animaux produisent une énorme quantité de méthane, lequel est l'un des gaz qui participe à l'effet de serre. Il est donc important de le brûler, de le consommer, pour lutter contre le réchauffement de la planète. La glace de la banquise fond et le méthane qui était piégé dans (...)
Les gaz à effet de serre comme le dioxyde de carbone qui contribuent au réchauffement climatique ont atteint des niveaux records en 2006, a annoncé vendredi l'Organisation météorologique mondiale.L'augmentation des émissions dioxyde de carbone ou CO2 est essentiellement due à la combustion des combustibles fossiles, notamment dans les centrales à charbon, souligne l'OMM.Depuis 2005, la concentration de CO2 dans l'atmosphère terrestre s'est accrue de 0,53%, et celle de protoxyde d'azote (N2O) de 0,25%, poursuit l'organisation dans le dernier Bulletin des gaz à effet de serre.Le CO2 demeure le plus important des gaz à effet de serre, en constituant près des deux tiers (environ 63%), ajoute l'OMM.Les émissions de méthane sont en revanche restées plutôt stables, la progression n'étant que de 0,06%.
Alors qu'avec l'arrivée de la saison froide le sol recommence à geler, de considérables émissions de méthane, un gaz à effet de serre, sont dégagées par les terres de la toundra arctique, selon une équipe de scientifiques de l'Université de Lund. ...