Des chercheurs ont identifié une variation génétique qui permettrait de pronostiquer les chances de survie de femmes atteintes de cancer, en particulier après un traitement comprenant une chimiothérapie courante, selon la revue spécialisée Nature Genetics.
Une équipe de chercheurs de 18 pays a identifié une prédisposition génétique au cancer du poumon après l'examen des variants d'ADN chez plus de 15 000 personnes, selon une étude publiée dimanche dans Nature Genetics, revue spécialisée du groupe britannique Nature.
Une équipe de chercheurs a découvert qu'une variation génétique courante serait à l'origine du développement du cancer de la prostate et que le gène incriminé est déjà connu pour jouer un rôle dans le fonctionnement de cette glande, selon des travaux parus lundi.
Le gain de survie obtenu par les progrès thérapeutiques dans le cancer du sein (KS) au cours des dernières décennies a augmenté la probabilité de survenue d'un autre cancer, surtout en cas de facteurs de risques (génétique,...
Environ 15 % des femmes atteintes de cancer du sein ont moins de 45 ans. Si le traitement, et notamment la chimiothérapie (CT) permet une survie à 10 ans de 70 % d'entre elles, il réduit le capital d'ovocytes et donc la fertilité....
Des milliers de femmes atteintes de cancer du sein pourraient échapper à la chimiothérapie ou recevoir des formes plus légères de ce traitement sans pour autant réduire leurs chances de combattre la maladie, selon de nouvelles études américaines.
Des chercheurs ont identifié la base génétique de deux formes distinctes de perte héréditaire des cheveux, ouvrant la voie à de nouveaux traitements potentiels de la calvitie, selon deux études publiées dimanche en ligne dans la revue Nature Genetics.
Les patients cancéreux belges présentent davantage de chances de survie que la moyenne européenne. Les chiffres de survie belges sont plus élevés que la moyenne européenne pour quasi tous les types de cancers. C'est ce qui ressort de données d'Eurocare diffusées mardi. Selon cette enquête sur les chances de survie des patients cancéreux en Europe, 55,8 pc des Européennes et 47,3 pc des Européens vivent toujours 5 ans après le diagnostic du cancer, indiquait mardi un article du Morgen. Il ressort également que la moyenne de survie des Belges souffrant d'un cancer de l'estomac (32,7 pc) est plus élevée que la moyenne européenne (24,9 pc). Même constat pour le cancer du poumon: la moyenne de survie belge atteint 16,3 pc contre 10,9 pc pour la moyenne européenne. C'est aussi le cas notamment pour le cancer du sein, du col de l'utérus, de l'intestin et du foie. Néanmoins, la moyenne de survie européenne est plus élevée que la belge pour les cancers de la thyroïde, de la peau et des testicules.
Quatre nouveaux gènes jouant un rôle dans la transmission génétique du cancer du sein ont été identifiés, améliorant la connaissance d'un des cancers les plus meurtriers pour les femmes, annonce la revue britannique Nature.
Des chercheurs ont développé un nouveau traitement contre le cancer du sein qui protège davantage des rechutes, indique un communiqué de l'Hôpital universitaire de Gand qui se réfère à la plus importante et la plus longue étude internationale menée auprès de plus de 9.000 femmes ménopausées atteintes d'un cancer du sein précoce. Les résultats de l'étude ont été présentés au congrès annuel consacré au cancer du sein à San Antonio (Texas) et semblent prometteurs. Le nouveau traitement réduirait considérablement le risque de rechute du cancer du sein, même plusieurs années après l'arrêt du traitement. Le nouveau traitement stoppe la production d'oestrogènes, des hormones féminines qu'on considère responsables du développement de cellules cancéreuses chez certaines femmes. Les effets positifs du nouveau traitement hormonal semblent durer plus longtemps que ceux des traitements hormonaux classiques. Le cancer du sein touche chaque année 9.000 femmes belges et environ 2.500 femmes meurent chaque année de cette maladie dans notre pays.
Des chercheurs ont développé un nouveau traitement contre le cancer du sein qui protège davantage des rechutes, indique un communiqué de l'Hôpital universitaire de Gand qui se réfère à la plus importante et la plus longue étude internationale menée auprès de plus de 9.000 femmes ménopausées atteintes d'un cancer du sein précoce. Les résultats de l'étude ont été présentés au congrès annuel consacré au cancer du sein à San Antonio (Texas) et semblent prometteurs. Le nouveau traitement réduirait considérablement le risque de rechute du cancer du sein, même plusieurs années après l'arrêt du traitement. Le nouveau traitement stoppe la production d'oestrogènes, des hormones féminines qu'on considère responsables du développement de cellules cancéreuses chez certaines femmes. Les effets positifs du nouveau traitement hormonal semblent durer plus longtemps que ceux des traitements hormonaux classiques. Le cancer du sein touche chaque année 9.000 femmes belges et environ 2.500 femmes meurent chaque année de cette maladie dans notre pays.
La chimiothérapie adjuvante après chirurgie pour cancer du sein est associée dans la plupart des cas à un allongement de la survie globale ou sans rechute de ces patientes. Cette thérapie adjuvante peut être aujourd'hui utilisée...
Il est admis que la réponse tumorale à la chimiothérapie est corrélée à la survie à long terme ; il en est ainsi, dans le cancer du sein (KS), aussi bien de la réponse histologique complète (RHC) avec disparition de toute trace...
Jusqu'à récemment, on disait qu'une femme porteuse des gènes BRCA1 ou BRCA2 a 80% de chances d'avoir le cancer du sein avant l'âge de 70 ans. Au point où plusieurs femmes, après un test génétique, décident de se faire enlever les seins, dans l'espoir que cela élimine tout risque.
Les enfants qui développent dans leur vie le même cancer qu'un de leurs parents pourraient aussi partager un taux de survie similaire, selon une étude suédoise publiée dans l'édition de novembre de The Lancet Oncology. Le Dr Linda Lindström (Institut Karolinska, Stockholm) et son équipe ont utilisé une base de données incluant trois millions de familles et plus d'un million d'individus atteints d'un cancer. Ils ont établi que les enfants développant le même cancer que leur père ou mère et dont le parent était mort dans les 10 ans suivant le diagnostic, montraient une survie significativement moins bonne, comparativement à ceux dont le parent avait survécu plus longtemps. Selon les chercheurs, l'augmentation du risque de décès pour les enfants de parents à la faible survie était de 75% pour le cancer du sein, 107% pour le cancer de la prostate, 44% pour le cancer colorectal et 39% pour le cancer du poumon. La découverte pourrait se vérifier aussi pour d'autres cancers, mais seuls ces quatre types étaient représentés en nombre suffisant pour être statistiquement significatifs, selon les chercheurs. Elle suggère que la survie d'un patient à un cancer peut être prévisible à partir de la survie parentale à un même type de cancer, concluent-ils. (VAD)