Comme on a un peu de mal à modifier les comportements alimentaires dans le but (...)
Fin 2005, alors que certaines mutuelles annonçaient le remboursement d'aliments enrichis en phytostérols et/ou phytostanols dans un but de prévention des maladies cardiovasculaires, la revue Prescrire se penchait sur le bien fondé de la consommation de ces produits...
Les personnes soucieuses de prévention cardiovasculaire ont plus intérêt à suivre un régime dit « méditerranéen » que de consommer des aliments enrichis en phytostérols, préconise la revue indépendante « Prescrire » dédiée aux médecins généralistes, dans sa dernière livraison de novembre.
Les aliments issus d'organismes génétiquement modifiés (OGM) ne présenteraient pas plus de risque de provoquer des allergies alimentaires que les autres aliments, selon un article fondé sur le rapport « OGM et allergies alimentaires » à paraître très prochainement et publié d'ores et déjà par l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) dans sa lettre d'information.
L'augmentation rapide de la prévalence de surpoids et d'obésité chez les enfants et les adolescents les désignent comme des cibles importantes de prévention. La promotion d'habitudes alimentaires saines devrait contribuer à prévenir la survenue du surpoids et de l'obésité. Afin de prévenir efficacement ou de modifier les habitudes alimentaires obésogènes, il est essentiel de bien comprendre les facteurs qui déterminent ces comportements.
Une motivation de nature financière peut-elle modifier un comportement alimentaire ? Quatre essais américains randomisés et contrôlés ont été retenus parmi diverses études montrant l'intérêt d'une motivation pécuniaire sur des changements de consommations alimentaires conduisant à une perte de poids.
Manger des carottes est bon pour la vue. Le thé réduit les risques de cancer. On connaît quelques-unes des propriétés bénéfiques de certains aliments. Mais les capacités médicinales de ces aliments étaient connues par bon nombre de peuples avant nous.
L'étude des situations de pauvreté et de leurs effets sur les comportements alimentaires et la santé peut être approchée par l'analyse de l'alimentation des personnes ayant recours à l'aide alimentaire. (...)
Les produits alimentaires à bas prix ou vendus en hard discount ne sont pas moins bons que les autres, selon une enquête de l'association Consommation logement et cadre de vie (CLCV).Les aliments bon marché sont aussi bons que les autres
A un moment où les discussions sur la législation en matière d'étiquetage des aliments en Europe sont nombreuses, le Conseil Européen d'Information sur l'Alimentation (EUFIC) a réalisé un podcast (en anglais) qui rassemble des aperçus sur la manière dont les informations présentes sur les emballages sont utilisées par les consommateurs aux quatre coins du monde...
5 500 personnes invitées à répondre sur leurs habitudes en matière d'alimentation : 3.700 adultes et 1.800 enfants vivant en France métropolitaine, sélectionnés à partir du recensement INSEE, vont être invités à décrire leurs consommations alimentaires pendant une semaine dans le cadre de la seconde étude individuelle nationale sur les comportements alimentaires (INCA 2).
Selon le Baromètre santé nutrition 2008 de l'INPES, les achats alimentaires sont surtout effectués dans les grandes et moyennes surfaces (GMS) : 83,7 % des personnes âgées de 15 à 75 ans s'y sont rendues au moins une fois au cours des quinze jours précédant l'enquête (*). Viennent ensuite la boulangerie (79,1 %), les autres commerces de proximité (47,3 %) et le marché (38,2 %). Les autres formes d'achats alimentaires sont peu pratiquées : 8,1 % en commandant par téléphone ou sur Internet, et 5,3 % dans la rue ou auprès d'un vendeur ambulant.
Cet indice vise à encourager la consommation d'aliments à teneur élevée en nutriments bénéfiques.
Depuis 1981, le syndicat français des aliments de l'enfance réalise tous les huit ans une enquête auprès de mères de nourrissons et d'enfants en bas âge. La dernière enquête (2005), menée chez plus de 700 mamans de bambins âgés de 0 à 3 ans, montre que les comportements alimentaires s'améliorent.
L'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (AFSSA) mène actuellement l'étude individuelle et nationale sur les consommations alimentaires (INCA 2). Depuis décembre 2005, les consommations alimentaires de 5 500 personnes - adultes et enfants en France métropolitaine - sont enregistrées et seront analysées en 2007.