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Cancer: le Canada dans les premiers pour les taux de survie
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Actualités
Voici une compilation des sources d'information sur ce sujet :
Le Canada se classe continuellement parmi les premiers pour les taux de survie sur cinq ans chez les patients atteints de cancer, révèle une vaste étude internationale.
Paris, le 17 juillet. Une enquête mondiale a comparé dans 31 pays le taux de survie après un cancer et fait apparaître d'importants écarts. L'étude publiée sur le site de la revue The Lancet Oncology révèle que le système...
Un taux de graisse corporelle important ainsi qu'un manque d'activité physique en amont du diagnostic, seraient associés à une survie réduite chez les patients atteints de cancer colorectal, selon une étude publiée dans « Gut ».
Les taux de survie des malades du cancer s'améliorent en Europe, et les écarts entre les différents pays semblent amorcer une réduction, selon des résultats publiés mardi d'une étude Eurocare-4 menée dans 23 pays. L'analyse, porte sur 2,7 millions de cas diagnostiqués chez des adultes entre 1995 et 1999. Les malades ont été suivis jusque fin 2003. La Belgique se situe au-dessus de la moyenne européenne Les conclusions révèlent un taux de survie moyen de 52% dans les cinq ans suivant le diagnostic, avec un total d'environ 1,3 million de décès. La Norvège, la Suède et la Finlande sont les pays les mieux placés avec un taux de survie moyen à 5 ans de 57%. Les chiffres de survie belges sont plus élevés que la moyenne européenne.Le cancer du poumon se guérit malLe taux de survie moyen à 5 ans varie en fonction de l'organe atteint: inférieur à 10% pour le pancréas et le foie, il dépasse 90% pour le cancer des lèvres ou des testicules. Pour le cancer du poumon (plus de 343.000 cas), il reste inférieur à 13%. Il atteint 54% pour le cancer colorectal, 76% pour le cancer de la prostate et 79% pour le cancer du sein. Les pays de l'est rattrapent leur retardAlors que la précédente étude Eurocare-3 publiée en 2003 évoquait un fossé se creusant entre les pays de l'Est et de l'Ouest, les résultats d'Eurocare-4 laissent entrevoir un réduction des différences géographiques, principalement due à l'amélioration des services de santé dans les pays ayant précédemment un faible taux de survie....
Pour la première fois, une enquête mondiale a comparé dans trente et un pays sur les cinq continents le taux de survie après un cancer. Le système de santé français apparaît comme l'un des plus efficaces en termes de dépistage et de traitement.
Pour la première fois, une enquête mondiale a comparé dans trente et un pays sur les cinq continents le taux de survie après un cancer. Le système de santé français apparaît comme l'un des plus efficaces en termes de dépistage et de traitement.
Les taux de survie des malades du cancer s'améliorent en Europe, et les écarts entre les différents pays semblent amorcer une réduction, selon des résultats publiés mardi d'une étude Eurocare-4 menée dans 23 pays. L'analyse, porte sur 2,7 millions de cas diagnostiqués chez des adultes entre 1995 et 1999. Les malades ont été suivis jusque fin 2003. La Belgique se situe au-dessus de la moyenne européenne Les conclusions révèlent un taux de survie moyen de 52% dans les cinq ans suivant le diagnostic, avec un total d'environ 1,3 million de décès. La Norvège, la Suède et la Finlande sont les pays les mieux placés avec un taux de survie moyen à 5 ans de 57%. Les chiffres de survie belges sont plus élevés que la moyenne européenne.Le cancer du poumon se guérit malLe taux de survie moyen à 5 ans varie en fonction de l'organe atteint: inférieur à 10% pour le pancréas et le foie, il dépasse 90% pour le cancer des lèvres ou des testicules. Pour le cancer du poumon (plus de 343.000 cas), il reste inférieur à 13%. Il atteint 54% pour le cancer colorectal, 76% pour le cancer de la prostate et 79% pour le cancer du sein. Les pays de l'est rattrapent leur retardAlors que la précédente étude Eurocare-3 publiée en 2003 évoquait un fossé se creusant entre les pays de l'Est et de l'Ouest, les résultats d'Eurocare-4 laissent entrevoir un réduction des différences géographiques, principalement due à l'amélioration des services de santé dans les pays ayant précédemment un faible taux de survie....
Les enfants qui développent dans leur vie le même cancer qu'un de leurs parents pourraient aussi partager un taux de survie similaire, selon une étude suédoise publiée dans l'édition de novembre de The Lancet Oncology. Le Dr Linda Lindström (Institut Karolinska, Stockholm) et son équipe ont utilisé une base de données incluant trois millions de familles et plus d'un million d'individus atteints d'un cancer. Ils ont établi que les enfants développant le même cancer que leur père ou mère et dont le parent était mort dans les 10 ans suivant le diagnostic, montraient une survie significativement moins bonne, comparativement à ceux dont le parent avait survécu plus longtemps. Selon les chercheurs, l'augmentation du risque de décès pour les enfants de parents à la faible survie était de 75% pour le cancer du sein, 107% pour le cancer de la prostate, 44% pour le cancer colorectal et 39% pour le cancer du poumon. La découverte pourrait se vérifier aussi pour d'autres cancers, mais seuls ces quatre types étaient représentés en nombre suffisant pour être statistiquement significatifs, selon les chercheurs. Elle suggère que la survie d'un patient à un cancer peut être prévisible à partir de la survie parentale à un même type de cancer, concluent-ils. (VAD)
Les taux de survie des malades du cancer en Europe s'améliorent, les écarts entre les pays se réduisent.
Les taux de survie des malades du cancer en Europe s'améliorent, les écarts entre les pays se réduisent.
Selon cette nouvelle étude, qui a porté sur la survie des personnes dont le cancer a été diagnostiqué entre 1995 et 1999 dans 23 pays européens (83 registres, 2,7 millions de cas de cancers inclus), le taux de survie relatif à cinq ans atteint 44,8 % pour les hommes et 54,6 % pour les femmes tous cancers confondus, soit 51,9 % en moyenne.
Comparés aux résultats d'EUROCARE-3 qui portait sur les cancers diagnostiqués entre 1990 et 1994, les taux de survie relative s'améliorent pour toutes les localisations étudiées, estiment les responsables de l'étude.
Plus concrètement, les progressions les plus notables sont observées pour le cancer de la prostate avec des taux qui sont passés de 61,4 % (EUROCARE-3) à 73,9 % (EUROCARE-4) soit une différence de 12,5 %. En revanche, elles sont les plus modestes pour les cancers du poumon qui sont passés de 9,2 % à 10,2 % et pour les cancers du testicule pour lesquels les taux sont passés de 94,6 % à 95,5 %.
Les pays d'Europe du Nord et d'Europe centrale dont la France ont leurs meilleurs taux de survie relative. La France se situe au-dessus des moyennes européennes pour les principaux cancers : 57,5 % pour le cancer colorectal (53,5 en moyenne), 12,8 % pour les cancers du poumon (10,2 %), 79,1 % pour le cancer de la prostate (73,9 %) et 82,7 % pour le cancer du sein (79,5 %).
Survival for eight major cancers an...
04/06/2007 - Les résultats révèlent, selon les chercheurs, un nouveau standard de soins de première ligne du cancer du foie
Légumes et vitamine C augmentent les chances de survie des patients souffrant d'un cancer du larynx et de l'hypopharynx tandis que le tabac les réduit, suggère une étude épidémiologique française publiée dans l'« International Journal of Cancer ».
Les patients cancéreux belges présentent davantage de chances de survie que la moyenne européenne. Les chiffres de survie belges sont plus élevés que la moyenne européenne pour quasi tous les types de cancers. C'est ce qui ressort de données d'Eurocare diffusées mardi. Selon cette enquête sur les chances de survie des patients cancéreux en Europe, 55,8 pc des Européennes et 47,3 pc des Européens vivent toujours 5 ans après le diagnostic du cancer, indiquait mardi un article du Morgen. Il ressort également que la moyenne de survie des Belges souffrant d'un cancer de l'estomac (32,7 pc) est plus élevée que la moyenne européenne (24,9 pc). Même constat pour le cancer du poumon: la moyenne de survie belge atteint 16,3 pc contre 10,9 pc pour la moyenne européenne. C'est aussi le cas notamment pour le cancer du sein, du col de l'utérus, de l'intestin et du foie. Néanmoins, la moyenne de survie européenne est plus élevée que la belge pour les cancers de la thyroïde, de la peau et des testicules.
Le Canada a mis en place, en 2001, des recommandations pour le dépistage du cancer colorectal (CCR).
Cette étude avait comme objectif d'évaluer le taux de participation à ce programme de dépistage, ainsi que les facteurs prédictifs...
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