Plusieurs sociétés sont soupçonnées d'avoir contribué à blanchir les déchets toxiques d'une filiale dunkerquoise d'ArcelorMittal en les...
En septembre dernier, le site sidérurgique Sollac, filiale du groupe Arcelor Mittal à Dunkerque (Nord), est soupçonné d'avoir blanchi plusieurs millions de tonnes de déchets de fioul naphtalisé entre ...
Sollac, filiale d'Arcelor Mittal à Dunkerque, est soupçonnée d'avoir blanchi plusieurs millions de tonnes de déchets de fioul naphtalisé qui, au lieu d'être retraités, auraient été revendus comme carburant en Belgique.
Plusieurs sociétés sont soupçonnées d'avoir contribué à blanchir les déchets toxiques d'une filiale dunkerquoise d'ArcelorMittal en les revendant comme carburant en Belgique, selon des informations de presse confirmées mercredi par le parquet.
Trafigura,
l'affréteur du cargo Probo Koala qui a
déchargé des déchets toxiques en 2006 en
Côte d'Ivoire, le capitaine, la ville d'Amsterdam et
une société de retraitement de déchets sont
assignés à comparaître fin juin à La
Haye, a-t-on appris mardi de source judiciaire.
Non coupable. C'est ainsi que se résume la ligue de défense de Trafigura, dans l'affaire du déversement des déchets toxiques à Abidjan. Les avocats de Trafigura ont nié en bloc la responsabilité de leur client dans les dégâts et les pertes en vies humaines occasionnés par les odeurs des déchets toxiques.
L'affréteur du bateau qui a déversé les déchets toxiques à Abidjan, en août 2006, est convoqué par la justice néerlandaise. Selon une information diffusée ce mardi par l'Agence France presse (AFP), le groupe Trafigura a reçu depuis hier une convocation pour se présenter les 26 et 27 juin prochain devant un juge qui devra décider d'un éventuel procès.
L'affréteur du bateau qui a déversé les déchets toxiques à Abidjan, en août 2006, est convoqué par la justice néerlandaise. Selon une information diffusée ce mardi par l'Agence France presse (AFP), le groupe Trafigura a reçu depuis hier une convocation pour se présenter les 26 et 27 juin prochain devant un juge qui devra décider d'un éventuel procès.
La cour d'assises enregistre ce matin la comparution de 13 personnes, accusées de crime d'empoisonnement, de tentative d'empoisonnement et de complicité d'empoisonnement, dans l'affaire du déversement de 500 tonnes de déchets toxiques dans la ville d'Abidjan en août 2006.
La cour d'assises enregistre ce matin la comparution de 13 personnes, accusées de crime d'empoisonnement, de tentative d'empoisonnement et de complicité d'empoisonnement, dans l'affaire du déversement de 500 tonnes de déchets toxiques dans la ville d'Abidjan en août 2006.
Une ONG gabonaise a réclamé jeudi une commission d'enquête sur l'affaire de l'éventuel enfouissement de déchets toxiques à Mounana (sud-est du Gabon), ancien site d'uranium exploité par un sous-traitant de la Comuf, filiale du groupe français Areva.
Plusieurs dizaines d'habitants d'Abidjan ont brièvement manifesté mardi matin pour protester contre le montant, jugé trop faible, des indemnisations décidées par la présidence ivoirienne dans l'affaire des déchets toxiques, a rapporté un journaliste de l'AFP.
Plus de 90 plaignants ont adressé une plainte collective à IBM expliquant que les déchargements de déchets toxiques près d'Endicott, dans l'Etat de New York, ont causé des malformations congénitales ainsi que d'autres problèmes de santé chez les habitants des alentours.
La cour d'assises de Côte d'Ivoire a rendu mercredi soir un verdict contrasté dans l'affaire du déversement en août 2006 des déchets toxiques du...
En septembre 2006, un navire pétrolier grec, le Probo Kaola, déversait sur une zone de décharge à Abidjan en Côte d'Ivoire, plus de cinq cents tonnes de déchets toxiques. Une catastrophe environnementale sans précédant dans la capitale économique ivoirienne, qui a causé le décès de 17 personnes et occasionné une intoxication de plusieurs milliers d'autres.