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Banquise en danger
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Actualités
Voici une compilation des sources d'information sur ce sujet :
Une hausse des températures de moins de deux degrés à l'échelle mondiale suffirait à déclencher la fonte des banquises du Groenland et de l'Arctique, avertit jeudi l'organisation de protection de l'environnement World Wildlife Fund (WWF, Fonds mondial pour la nature).
Alors que s'ouvre le 1er décembre à Poznan (Pologne) la conférence internationale sur le climat, l'organisation environnementale WWF prévient qu'une hausse des températures de moins de deux degrés à l...
La température moyenne cet automne dans l'Arctique se situe 5 degrés Celsius au-dessus de la normale, un record, selon un rapport de l'Agence américaine des océans et de l'atmosphère (NOAA) qui attribue ce phénomène à une forte diminution de la banquise sous l'effet du réchauffement.
L'inaction persistante de la communauté internationale en matière de lutte contre le réchauffement climatique menace d'extinction les ours polaires, a averti lundi l'organisation de protection de la nature WWF. Cet avertissement intervient après la publication vendredi d'une série de rapports de l'Institut géologique américain indiquant que la fonte de la banquise arctique en raison du réchauffement climatique pourrait réduire de deux-tiers la population des ours polaires d'ici 50 ans. Nous avons la confirmation officielle que nous allons assister à l'extinction du plus gros prédateur terrestre de notre époque, a déclaré le Dr. Neil Hamilton, le directeur du programme pour l'Arctique du Fonds mondial pour la nature (WWF), dans un communiqué. Les ours polaires ont besoin de la banquise pour chasser les phoques, leur nourriture de base. Mais cette dernière se réduit en Arctique en raison du réchauffement climatique. Selon les prévisions du WWF, les ours polaires pourraient perdre 42% de leur habitat dans le bassin polaire en été, une période vitale de chasse et de reproduction, d'ici le milieu du siècle, précisent les études.
La Chine a publié mercredi son premier rapport sur les changements climatiques. Les scientifiques de Pékin estiment que leur pays subira d'ici 2020 une hausse des températures comprise entre 1,3 et 2,1 degrés, par rapport ...
Vous n'êtes pas s'en savoir que depuis 30 ans, les températures en Arctique ont grimpé d'un demi degré Celsius, ce qui a de grande conséquences sur la fonte des glaces et la décroissance du volume de glace dans les océans. Certains experts prédisent qu'avec les niveaux actuels de gaz à effet de serre, la terre pourrait à terme se réchauffer de 5 degrés Celsius. Cela ramènerait le climat à celui q ...
Des échantillons d'ADN de plantes et d'insectes extraits des parties les plus profondes de la calotte glaciaire du Groënland témoignent de l'existence d'une flore et faune riches au cours du million d'années passées, selon une étude publiée jeudi dans la revue Science.Les auteurs de l'étude ont prélevé ces fragments d'ADN, provenant de différents arbres et insectes, à la base d'une carotte glaciaire de deux kilomètres dans le sud du Groenland.A leur grande surprise, l'analyse de ces échantillons vieux de 450.000 à 900.000 ans a révélé une grande variété de plantes et d'arbres, comme les conifères, ainsi que des insectes dont des papillons, des araignées et des puces.Les précédentes estimations dataient la forêt boréale au Groenland avant la glaciation à 2,4 millions d'années.Les températures du Groenland quand la forêt boréale recouvrait son territoire allaient de 10 degrés Celsius en été à moins 17 degrés Celsius en hiver.Cette recherche indique aussi que la glace du Groenland, dont l'épaisseur actuelle dépasse deux kilomètres, s'est largement maintenue durant la période interglaciaire, il y a 116.000 à 130.000 ans, quand les températures étaient 5 degrés Celsius plus chaudes qu'aujourd'hui. Les océans était alors montés de 5 à 6 mètres au-dessus de leur niveau d'aujourd'hui.Si nos calculs sont exacts, cela veut dire que la couche de glace recouvrant le sud du Groenland est plus stable qu'on ne le pensait, souligne Eske Willerslev, de l'université de Copenhague (Danemark), l...
Des échantillons d\'ADN de plantes et d\'insectes extraits des parties les plus profondes de la calotte glaciaire du Groenland témoignent de l\'existence d\'une flore et faune riches au cours du million d\'années passées, selon une étude publiée jeudi dans la revue Science.
Les auteurs de l\'étude ont prélevé ces fragments d\'ADN, provenant de différents arbres et insectes, à la base d\'une carotte glaciaire de deux kilomètres dans le sud du Groenland. A leur grande surprise, l\'analyse de ces échantillons vieux de 450.000 à 900.000 ans a révélé une grande variété de plantes et d\'arbres, comme les conifères, ainsi que des insectes dont des papillons, des araignées et des puces. Les précédentes estimations dataient la forêt boréale au Groenland avant la glaciation à 2,4 millions d\'années.
Les températures du Groenland quand la forêt boréale recouvrait son territoire allaient de 10 degrés Celsius en été à moins 17 degrés Celsius en hiver. Cette recherche indique aussi que la glace du Groenland, dont l\'épaisseur actuelle dépasse deux kilomètres, s\'est largement maintenue durant la période interglaciaire, il y a 116.000 à 130.000 ans, quand les températures étaient 5 degrés Celsius plus chaudes qu\'aujourd\'hui. Les océans étaient alors montés de 5 à 6 mètres au-dessus de leur niveau actuel. \Si nos calculs sont exacts, cela veut dire que la couche de glace recouvrant le sud du Groenland est plus stable qu\'on ne le pensait\, souligne Eske Willerslev, de l\'université...
Des échantillons d\'ADN de plantes et d\'insectes extraits des parties les plus profondes de la calotte glaciaire du Groenland témoignent de l\'existence d\'une flore et faune riches au cours du million d\'années passées, selon une étude publiée jeudi dans la revue Science.
Les auteurs de l\'étude ont prélevé ces fragments d\'ADN, provenant de différents arbres et insectes, à la base d\'une carotte glaciaire de deux kilomètres dans le sud du Groenland. A leur grande surprise, l\'analyse de ces échantillons vieux de 450.000 à 900.000 ans a révélé une grande variété de plantes et d\'arbres, comme les conifères, ainsi que des insectes dont des papillons, des araignées et des puces. Les précédentes estimations dataient la forêt boréale au Groenland avant la glaciation à 2,4 millions d\'années.
Les températures du Groenland quand la forêt boréale recouvrait son territoire allaient de 10 degrés Celsius en été à moins 17 degrés Celsius en hiver. Cette recherche indique aussi que la glace du Groenland, dont l\'épaisseur actuelle dépasse deux kilomètres, s\'est largement maintenue durant la période interglaciaire, il y a 116.000 à 130.000 ans, quand les températures étaient 5 degrés Celsius plus chaudes qu\'aujourd\'hui. Les océans étaient alors montés de 5 à 6 mètres au-dessus de leur niveau actuel. \Si nos calculs sont exacts, cela veut dire que la couche de glace recouvrant le sud du Groenland est plus stable qu\'on ne le pensait\, souligne Eske Willerslev, de l\'université...
Des carottes de glace prélevées en Sibérie sur le glacier du Belukha par une équipe suisso-russe ont révélé une hausse de température de 2,5 degrés Celsius au cours des 150 dernières...
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