Le risque de lymphome malin non-Hodgkinien est augmenté au cours des maladies auto-immunes telle que lupus, Sjögren et polyarthrite rhumatoïde. Les causes de ces augmentations de fréquence ne sont pas connues. Les médicaments y...
Les personnes qui mangent trop ou ont une activité physique insuffisante présentent un risque accru de lymphome non Hodgkinien, selon un article paru dans la revue « American Journal of Epidemiology ».
Les maladies auto-immunes (MAI) sont définies comme l'ensemble des manifestations pathologiques qui résultent d'une perte de la tolérance physiologique aux composantes du soi. Elles impliquent l'existence dans le répertoire...
Une association a été suspectée entre dermatite atopique et survenue d'un lymphome non Hodgkinien à l'âge adulte et le rôle de l'utilisation d'immunosuppresseurs locaux est toujours débattu dans ce contexte.
Une étude...
Près d'un tiers des patients atteint de polyarthrite rhumatoïde (PR) n?atteint pas le score ACR20 sous anti-TNF alpha. Parallèlement, environ 30 % des malades arrêtent leur anti-TNF au cours de la première année de traitement...
La leucémie lymphoïde chronique (LLC) est l'hémopathie maligne la plus fréquente chez l'adulte, et elle s'accompagne d'un risque accru de cancer secondaire, tumeurs solides ou hémopathies (lymphome malin non Hodgkinien,...
Les radiations ionisantes, certains produits chimiques et le tabagisme représentent les principaux carcinogènes chez l'homme. Avec l'amélioration des traitements et de la survie à long terme pour les patients atteints d'hémopathies,...
Les résultats du registre français RATIO montrent que l'augmentation du risque de lymphome chez les patients sous anti-TNF ne diffère pas significativement de celui de la population atteinte de maladie inflammatoire sévère, mais...
On sait aujourd'hui que le tabagisme est un facteur de risque de polyarthrite rhumatoïde (PR) dont il conditionne aussi la sévérité, chez les patients qui ont des anticorps anti-CCP et un terrain génétique particulier intéressant...
La polyarthrite rhumatoïde (PR) est un rhumatisme inflammatoire chronique. Sa physiopathologie repose en partie sur une surproduction de cytokines pro inflammatoires (anti TNF alpha, IL1 bêta et IL6) responsables à long terme d'une...
Les inhibiteurs du TNF-alpha sont de plus en plus utilisés dans le traitement de la polyarthrite rhumatoïde (PR) réfractaire au traitement conventionnel. Cette stratégie thérapeutique relativement nouvelle a-t-elle une influence...
Les patients qui souffrent de polyarthrite rhumatoïde ont un risque cardiovasculaire majoré, ce qui n?est pas un scoop. La question reste cependant de savoir dans quelle mesure le traitement peut influer sur ce risque. Pour y répondre...
Les complications cardiovasculaires au cours de la polyarthrite rhumatoïde (PR) ou du lupus érythémateux aigu disséminé (LEAD) ne sont pas exceptionnelles. Elles sont liées en partie à ces maladies elles-mêmes, mais aussi à...
Classiquement, le pronostic cardiovasculaire de la polyarthrite rhumatoïde (PR) est assombri par des facteurs de risque traditionnels et d'autres, qui seraient plus spécifiques de ce rhumatisme inflammatoire chronique.
La situation...
En général, la polyarthrite rhumatoïde (PR) n?est pas considérée comme un facteur de risque quant à la survenue d'une maladie veineuse thrombo-embolique (MVTE). Pourtant, ce rhumatisme inflammatoire chronique s'accompagne...