07/07/2009 - Une etude menee au CUSM analyse comment mieux traiter les patients ayant subi un arret cardiaque
Deux médicaments largement utilisés pour traiter des diabètes tardifs pourraient doubler les risques d'insuffisance cardiaque, selon une étude publiée jeudi dans la revue Diabetes Care. Cette étude dirigée par Sonal Singh, professeur en médecine interne au Centre médical baptiste de l'Université Wake Forest en Caroline du Nord, a été menée auprès de 78.000 patients soignant des diabètes de type II avec de l'Avandia ou de l'Actos. Elle montre, selon ses auteurs, que la prise de ces médicaments accroît les risques d'insuffisance cardiaque de 100% et qu'un malade sur 50 traités sur une période de 26 mois en souffrira. Depuis la mise sur le marché de ces médicaments, leurs fabricants ont mis en garde les patients à risque ou avec des antécédents cardiaques, et averti que les malades qui associent ces médicaments à de l'insuline ont davantage de risques de complication. Mais, selon l'étude publiée par Diabete Cares, ces effets négatifs se produisent aussi sur des patients ne présentant aucun risque, ainsi que sur de jeunes patients.
Une supplémentation en fer pour traiter l'anémie associée à l'insuffisance cardiaque permettrait d'améliorer les symptômes et la capacité d'effort des patients, selon une étude britannique publiée dans le « Journal of the American College of Cardiology ».
Nombre de patients insuffisants cardiaques (IC) sont maintenant traités par ß-bloquants. Si la réduction de la mortalité au long cours n'est plus discutée, un tel traitement pose un problème de prise en charge en cas de décompensation,...
Le traitement de resynchronisation cardiaque (TRC) représente un tournant dans le traitement des patients souffrant d'insuffisance cardiaque sévère marquée par une dysfonction ventriculaire gauche systolique et une désynchronisation....
Dépister une dépression chez une personne victime d'une maladie cardiaque et la traiter améliore le pronostic de la pathologie cardio-vasculaire, selon l'Association américaine du coeur qui recommande son dépistage systématique pour tous les patients cardiaques hospitalisés.
L'arrêt cardiaque (AC) quelle que soit sa cause, déclenche immédiatement un ensemble de manoeuvres classiques qui constituent la réanimation cardio-respiratoire classique, celle qui est enseignée, par exemple, aux secouristes....
Chez les patients non hospitalisés, atteints d'une insuffisance cardiaque avec dysfonctionnement systolique, il a été établi que le traitement des apnées obstructives du sommeil (AOS) avait un effet bénéfique sur la fonction...
Des sessions journalières de stimulations magnétiques pourraient s'avérer bénéfiques dans le traitement des acouphènes, à en croire les résultats préliminaires d'une récente étude. Celle-ci a été menée auprès de 66 patients (39 hommes, 27 femmes,...
22/06/2007 - L'étude parue dans le journal cardiologique européen a concerné 1.676 patients qui ont été hospitalisés avec de l'angor instable ou ont eu une attaque cardiaque typique
Au cours de la réanimation des arrêts cardiaques, l'adrénaline est depuis des décennies le vasopresseur de choix. Elle est utilisée en première intention dans les asystolies ou les dissociations électro-mécaniques ou en seconde...
Pour traiter des patients souffrant d'insuffisance cardiaque, un supplément en huile de poisson riche en oméga-3 pourrait se montrer tout aussi efficace contre l'excès de cholestérol qu'un médicament, selon une nouvelle étude publiée sur le site en ligne du Lancet.
La resynchronisation cardiaque (CRT) permet de réduire le risque d'insuffisance cardiaque (IC) ou d'hospitalisation et d'améliorer la tolérance à l'exercice des patients souffrant d'une IC modérée à sévère. Il est...
La réanimation après arrêt cardiaque est de plus en plus efficace. Elle permet dans un nombre non négligeable de cas une reprise de l'activité cardiaque. Mais seulement 10 à 30 % des patients qui sortent du coma après un arrêt...
Un produit qui inhibe en partie la réponse du cerveau au stress comportemental pourrait s'avérer utile pour traiter l'alcoolisme selon une étude menée chez la souris et sur des patients qui avaient suivi récemment une cure de désintoxication.