Le ministre français des Affaires étrangères Bernard Kouchner a appelé jeudi à Copenhague les pays riches à partager plus le fardeau avec les pays en développement dans la lutte contre le réchauffement climatique et à être leurs partenaires de développement.
Le président américain a appelé vendredi les leaders de la planète à des «actes» plutôt que des «postures» pour lutter contre le réchauffement climatique. Mais pays riches et pays émergents campent toujours sur leurs positions.
» DOSSIER SPÉCIAL - Le sommet de Copenhague
» Climat : les propositions des trois principaux acteurs
Le président américain a appelé vendredi les leaders de la planète à des «actes» plutôt que des «postures» pour lutter contre le réchauffement climatique. Mais pays riches et pays émergents campent toujours sur leurs positions.
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Les pays en développement ont une responsabilité partagée avec les pays les plus riches pour sauver la planète du changement climatique et de la pauvreté, a souligné lundi à Genève le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon.
L'aide au développement requiert un effort supplémentaire des pays riches pour permettre aux pays les plus pauvres de s'adapter au changement climatique, ont estimé les principaux intervenants aux Journées européennes du développement, qui se concluent vendredi à Lisbonne.
L'Indien Rajendra Pachauri, président du Giec, estime que la réticence de pays en voie de développement, tels la Chine et l'Inde, à signer un accord global pour réduire les émissions de carbone, vient du fait que les pays riches ne montrent pas la voie, dans une interview au quotidien britannique The Guardian.
M. Pachauri juge ainsi que trop de pays riches, dont les Etats-Unis, n'ont pas réussi à...
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Une déclaration appelant les pays riches à agir pour éliminer la pauvreté en Afrique, a été adoptée ce lundi, à l'occasion d'une réunion des Nations unies consacrée au développement du continent. ...
A huit mois de la réunion internationale sur le climat de Copenhague, les 27 chefs d'Etat européens, réunis le 20 mars, n'ont pas réussi à s'accorder sur le montant de l'aide aux pays en développement dans la lutte contre le changement climatique.
La Commission européenne dévoilera jeudi prochain ses propositions sur le financement international de la lutte contre le réchauffement de la planète, une base pour préparer la position commune que l'UE défendra à la conférence climatique de Copenhague en décembre.
La réunion de haut niveau sur les besoins de développement de l'Afrique s'est achevée lundi à New York en présidence du nouveau ministre des Affaires étrangères du Togo, Kofi Esaw. Les pays riches ont été appelés par l'ONU à honorer la promesse faite en 2005 de doubler leur aide à l'Afrique, alors que le cataclysme subi par les marchés financiers mondiaux suscite l'incertitude sur l'avenir économique du monde.
Les pays riches, priés d'aller plus loin dans la réduction des émissions de gaz à effet de serre, ont été mis sur la sellette mercredi à l'occasion de la deuxième journée de débats organisés par l'Assemblée générale de l'ONU sur le changement climatique.« Les pays développés ont une responsabilité...
Les pays riches ont été mis sur la sellette mercredi à l'occasion de la deuxième journée de débats organisés par l'Assemblée générale de l'ONU sur le changement climatique.
Le président brésilien Luiz Ignacio Lula a exhorté mardi les pays riches, notamment les Etats-Unis, à prendre leur juste part des efforts de réduction des émissions de CO2 avant le sommet sur le climat de Copenhague, mais est resté très discret sur ses propres objectifs.
Le fossé numérique entre pays riches et pays pauvres continue de se creuser, l'internet à haut débit restant peu accessible dans les pays en développement, a indiqué mercredi la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced).
Alors que 28% des pays développés devraient disposer de l'internet à haut débit en 2008, seuls 3% des pays en développement jouiront de cette...
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La conférence de Bali sur le réchauffement climatique le mois prochain devra essentiellement discuter du prix que les pays riches devront payer pour la défense de l'environnement, a estimé mardi le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva.Il est nécessaire que les pays riches sachent qu'à Bali nous allons discuter sérieusement du prix que les pays riches doivent payer pour que les pays plus pauvres puissent préserver leurs forêts, a déclaré Lula lors de la cérémonie de présentation du rapport du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) sur la lutte contre le réchauffement climatique.Personne ne convaincra un pauvre, de quelque pays que ce soit, de ne pas couper un arbre s'il n'a pas en échange le droit au travail, à la nourriture. C'est la contrepartie à payer pour qui est responsable à 70% des émissions de gaz à effet serre, a dit le président brésilien.Selon Lula, 85% de l'énergie électrique brésilienne est renouvelable et propre et 45% de toute l'énergie brésilienne est propre. C'est pourquoi nous n'avons pas de leçons à recevoir. Nous sommes disposés au dialogue, mais pas à accepter des mesures imposées, a-t-il dit.Le président brésilien a suggéré la suppression des taxes sur les ventes d'éthanol et également une taxe sur les ventes de pétrole.Selon le rapport du PNUD, la lutte contre le réchauffement global coûtera environ 1,6% du PIB mondial jusqu'en 2030 et ce montant devrait être pris en charge surtout par les pays riches. Selon Lula, ce rapport p...