Au Forum de l'Asie-Pacifique à Sydney, le président américain George Bush suit une stratégie qui consiste à tenter de rallier des pays à un nouveau cycle de conférences sur le climat, très différent de l'actuel protocole de Kyoto.
Climat : Bush essaie de rompre son isolement titre Le Monde du 2 juin. C'est le gouvernement G. W. Bush qui n'a pas signé le protocole de Kyoto, c'est lui aussi qui a autorisé des forages pétroliers dans des zones protégées en Alaska. Il est également revenu une fois élu à la (...)
L'administration Bush a demandé une discussion globale à la suite de la publication du rapport du Giec.
Le résultat du sommet de Montebello ne s'est pas fait attendre. Le Canada ne respectera pas ses engagements sur Kyoto.Obéissant sagement aux VRP des compagnies pétrolières Calderon et Bush, Harper vient de choisir l'affrontement avec sa chambre, où il est pourtant minoritaire.Sa politique, désindustrialisation, transformation du Canada en émirat et en fournisseur de matière première se poursuit.Le non respect du protocole de Kyoto entrainera donc une augmentation de 34 % des émissions à l'horizon 2012, par rapport à 2010, pour...
Le président américain George W. Bush a assuré qu'il voulait travailler avec (le G8) à un accord post-Kyoto sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Je suis venu avec la ferme volonté de travailler avec vous à un accord post-Kyoto e[...]
L'accord trouvé au G8, en réaffirmant le rôle essentiel de l'ONU, a levé l'hypothèque qui pesait sur le cadre futur des négociations internationales de protection du climat et peut aider à la survie du Protocole de Kyoto au-delà de 2012.
Le président américain George W. Bush cherche surtout avec sa dernière initiative sur le climat mercredi à contrer les efforts en cours au Congrès pour adopter un projet de loi limitant les émissions de gaz à effet de serre, selon ses détracteurs comme ses partisans.
M. Bush a annoncé lors du plus long discours fait sur le sujet depuis 2002 que le nouvel objectif de son administration était...
[[ Pour consulter la suite de l'article et accéder aux compléments d'info en vidéo et aux infographies, cliquez sur le titre ]]
Le responsable chargé des questions climatiques au sein de l'administration américaine a accusé mardi des intérêts particuliers de vouloir tirer parti de la controverse entourant le Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (Giec).Todd Stern, qui négocie au nom des Etats-Unis dans la recherche d'un accord pour succéder au protocole de Kyoto sur le climat, a minimisé les récen
Il est de bon ton en Europe et en France en particulier de critiquer les américains pour avoir refusé encore récemment à Bali de s'engager à limiter leurs émissions de gaz à effet de serre en reconnaissant Kyoto[BRK] (il est trop tard pour le signer maintenant !) et surtout en refusant de s'engager dans un Kyoto II que l'Europe appelle de ses voeux. Heureusement, au dela de GW Bush et du gouvernement américain, l'organisation fédérale du pays permet à chaque état et à leurs leaders de (...)
-
Publication définitive
/
Terre, climat
Une trentaine de pays réunis en Suède pour un sommet informel sur le réchauffement climatique ont souhaité jeudi la création d'une feuille de route en décembre à Bali, où auront lieu des négociations sur l'après-Kyoto.
Que restera-t-il du protocole de Kyoto après le sommet de Copenhague ? Le nom, la forme, la philosophie générale ou seulement quelques bribes ? A deux mois du rendez-vous de la planète sur le climat, le sujet déchaîne les passions à Bangkok.
Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a appelé mardi la communauté internationale à faire tout son possible pour sceller un nouvel accord sur le climat d'ici à 2009, et le faire entrer en vigueur avant l'expiration du protocole de Kyoto en 2012.
Plusieurs rapports de médias anglo-saxons confirment ce mercredi qu'Henry Paulson, Secrétaire américain au Trésor, et l'administration Bush,...
Le président américain, qui a toujours été opposé au protocole de Kyoto sur la réduction d'émissions de gaz à effet de serre, avance à nouveau l'idée d'un accord mondial avant la fin de son mandat en janvier 2009.
Si le sérieux de la nouvelle initiative du président américain George W. Bush sur le climat a été mis en exergue par des Etats comme le Japon et la Grande-Bretagne, d'autres pays, notamment en Europe, n'ont pas hésité à déplorer son manque d'ambition.