Au large des côtes brésiliennes, à trois jours (au pire) de l’arrivée à Rio, 55 marins venus du monde entier pour en découdre avec les éléments sont pratiquement en panne, attendant non pas Godot, mais qu’une brise salvatrice daigne les tirer, ne serait-ce que pour quelques instants, du profond ennui où ils se trouvent depuis près d’une semaine….