Le Sénat français a adopté la nouvelle version de l'amendement autorisant le recours à des tests ADN pour contrôler le regroupement familial. Il a accepté le texte en dépit du trouble provoqué par ce dispositif, y compris à droite. Le texte prévoit, pour éviter qu'un chef de famille ne découvre à cette occasion qu'il n'est pas le père biologique de son enfant, que le test recherche une filiation déclarée avec la mère du demandeur. Le gouvernement, qui a prévu d'inscrire ce dispositif (...)
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Actualité
Le Sénat a adopté dans la nuit de mercredi à jeudi une version expurgée de l'amendement controversé autorisant le recours aux tests ADN pour les candidats au regroupement familial, lors de l'examen du projet de loi sur la maîtrise de l'immigration.
Le texte voté à l'initiative du président de la commission des Lois, Jean-Jacques Hyest, prévoit, pour éviter qu'un chef de famille ne découvre à cette occasion qu'il n'est pas le père biologique de son enfant, que le test recherche une filiation déclarée avec la mère du demandeur.
En outre, il encadre le processus, en obligeant les agents diplomatiques ou consulaires à saisir le tribunal de grande instance de Nantes, pour qu'il statue (...) sur la nécessité de faire procéder à une telle identification, de façon à mettre la procédure en conformité avec le droit commun.
Le gouvernement, qui a prévu d'inscrire ce dispositif dans un cadre expérimental d'une durée maximum de 18 mois, a fait adopter un sous-amendement précisant que ces analyses génétiques sont réalisées, à la demande du candidat au regroupement familial, aux frais de l'Etat.
Une douzaine de sénateurs d'autres groupes ont voté avec la gauche contre cet article, qui a été adopté par 176 voix (l'UMP représente 159 voix, y compris celle du président de séance qui, traditionnellement ne participe pas au vote), contre 138 (PS, PSF et radicaux de g...
Le Sénat a adopté dans la nuit de mercredi à jeudi une version expurgée de l'amendement controversé autorisant le recours aux tests ADN pour les candidats au regroupement familial, lors de l'examen du projet de loi sur la maîtrise de l'immigration.
Le texte voté à l'initiative du président de la commission des Lois, Jean-Jacques Hyest, prévoit, pour éviter qu'un chef de famille ne découvre à cette occasion qu'il n'est pas le père biologique de son enfant, que le test recherche une filiation déclarée avec la mère du demandeur.
En outre, il encadre le processus, en obligeant les agents diplomatiques ou consulaires à saisir le tribunal de grande instance de Nantes, pour qu'il statue (...) sur la nécessité de faire procéder à une telle identification, de façon à mettre la procédure en conformité avec le droit commun.
Le gouvernement, qui a prévu d'inscrire ce dispositif dans un cadre expérimental d'une durée maximum de 18 mois, a fait adopter un sous-amendement précisant que ces analyses génétiques sont réalisées, à la demande du candidat au regroupement familial, aux frais de l'Etat.
Une douzaine de sénateurs d'autres groupes ont voté avec la gauche contre cet article, qui a été adopté par 176 voix (l'UMP représente 159 voix, y compris celle du président de séance qui, traditionnellement ne participe pas au vote), contre 138 (PS, P...
Le Conseil constitutionnel a validé sous certaines réserves l'amendement proposant le recours aux tests ADN pour les candidats au regroupement familial mais a retoqué celui autorisant les statistiques ethniques. Le Conseil a notamment rappelé que la filiation de l'enfant étranger...
Adopté à l'Assemblée la semaine dernière dans le projet de loi sur l'immigration, l'amendement autorisant les tests ADN dans le cadre du regroupement familial continue de faire des remous... à droite plutôt qu'à gauche. Alors que les sénateurs doivent s'emparer du texte le 2 octobre, le ministre de...
La commission des lois du Sénat a supprimé l'amendement instaurant le recours possible à des tests ADN dans le cadre du regroupement familial. La décision devra être confirmée en séance plénière, le 2 octobre, par le Sénat.
La Commission des lois du Sénat avait rejeté la semaine dernière l'amendement Mariani instaurant la possibilité de tests ADN pour les candidats au regroupement familial. Le Sénat examine à nouveau l'amendement en session mardi.
La Commission des lois du Sénat avait rejeté la semaine dernière l'amendement Mariani instaurant la possibilité de tests ADN pour les candidats au regroupement familial. Le Sénat examine à nouveau l'amendement en session mardi.
Dans un article de l'Agence de presse française (AFP), on apprend que « Le Sénat a adopté dans la nuit de mercredi à jeudi une version expurgée de l'amendement controversé autorisant le recours aux tests ADN pour les candidats au regroupement familial ». Il s'agissait de l'examen du (...)
Paris, le mercredi 3 octobre 2007 ? L'actuel débat parlementaire concernant un amendement autorisant le recours aux tests ADN pour confirmer la filiation des étrangers vivant en France souhaitant bénéficier du regroupement familial...
Supprimé. La Commission des lois du Sénat ne s'est pas embarrassée longtemps de l'article du projet de loi sur l'immigration qui prévoit la possibilité de recourir à des tests génétiques pour permettre le regroupement familial.
L'amendement qui instaurait la possibilité de tests éventuels pour le regroupement familial a été supprimé par la Commission des lois.
Le dispositif, voté cette nuit, s'inscrira dans un cadre expérimental d'une durée maximum de 18 mois. Ces analyses génétiques seront réalisées, à la demande du candidat au regroupement familial, « aux frais de l'Etat ».
Le dispositif, voté cette nuit, s'inscrira dans un cadre expérimental d'une durée maximum de 18 mois. Ces analyses génétiques seront réalisées, à la demande du candidat au regroupement familial, « aux frais de l'Etat ».