Le Zimbabwe va recevoir une invitation pour participer au sommet UE-Afrique des 8 et 9 décembre à Lisbonne, a annoncé mercredi le ministre portugais des Affaires étrangères, Luis Amado, au cours d'une conférence de presse à Accra.
Invité contesté du 2e sommet UE-Afrique, qui s'ouvre samedi à Lisbonne, le président zimbabwéen Robert Mugabe est arrivé dans la capitale portugaise avec une discrétion qui contraste avec la polémique déclenchée par sa présence en Europe, où il est théoriquement interdit de séjour depuis cinq ans.
A deux semaines du sommet Europe-Afrique, la présidence portugaise de l'UE veut éviter que la présence contestée du Zimbabwéen Robert Mugabe à Lisbonne n'éclipse les enjeux d'une rencontre jugée cruciale pour relancer un véritable partenariat entre les deux continents.
La présidence portugaise de l'UE veut éviter que la présence contestée du Zimbabwéen Robert Mugabe à Lisbonne n'éclipse pas les enjeux d'une rencontre jugée cruciale pour relancer un véritable partenariat entre les deux continents. Une déclaration accueillie avec étonnement dans les chancelleries européennes et parfois considérée d'ironie en Afrique.
Le président zimbabwéen Robert Mugabe a confirmé mardi qu'il assisterait au sommet UE-Afrique de décembre à Lisbonne, le premier depuis sept ans, au risque de gâcher des retrouvailles auxquelles le Premier ministre britannique Gordon Brown a d'ores et déjà annoncé qu'il ne participerait pas.
Le gouvernement mozambicain a menacé jeudi de boycotter le sommet Afrique/Union européenne, prévu en décembre à Lisbonne, si le président zimbabwéen Robert Mugabe en est exclu.
Malgré l'hostilité britannique, le Portugal a annoncé que le président du Zimbabwe serait convié à la rencontre des dirigeants d'Europe et d'Afrique, en décembre à Lisbonne.
La Chine va jouer un rôle incontournable dans le développement de l'Afrique, a soutenu mercredi à Dakar le ministre portugais des Affaires étrangères lors d'un point de presse axé sur le sommet UE-Afrique prévu à Lisbonne les 8 et 9 décembre.
A deux semaines du sommet Europe-Afrique auquel participera le président du Togo, Faure Gnassingbé, la présidence portugaise de l'UE veut éviter que la présence contestée du Zimbabwéen Robert Mugabe à Lisbonne n'éclipse les enjeux d'une rencontre jugée cruciale pour relancer un véritable partenariat entre les deux continents.
A deux semaines du sommet Europe-Afrique auquel participera le président du Togo, Faure Gnassingbé, la présidence portugaise de l'UE veut éviter que la présence contestée du Zimbabwéen Robert Mugabe à Lisbonne n'éclipse les enjeux d'une rencontre jugée cruciale pour relancer un véritable partenariat entre les deux continents.
Bruxelles, Belgique (PANA) - De nombreux parlementaires européens ont demandé jeudi au Portugal de ne pas inviter le président zimbabwéen, Robert Mugabe, au sommet Europe-Afrique prévu en décembre à Lisbonne, a-t-on appris vendredi à Bruxelles de source officielle.
Ils ont formulé cette demande à Strasbourg, en France, lors de la session plénière du Parlement européen qui s'est déroulée en présence du Premier ministre portugais, José Socrates.
Les pays africains exigent que tous les chefs d'Etat et de gouvernement du continent soient invités à ce sommet, le deuxième après celui du Caire en 2000.
Le Zimbabwe est frappé depuis 2001 par des sanctions de l'UE qui reproche au président Mugabe son programme de réforme agraire et son refus de dialoguer avec l'opposition afin de débloquer la situation politique du pays.
Le président Zimbabwéen et plusieurs dignitaires de son régime sont interdits de séjour en Europe.
Bruxelles - 13/07/2007
Les
espoirs du président zimbabwéen Robert
Mugabe d'être réélu le mois
prochain ont été ébranlés
mardi avec l'annonce de la candidature
indépendante de son ancien ministre des Finances, Simba Makoni.
Le ministre portugais des Affaires étrangères, Luis Amado, a plaidé mercredi à Dakar pour l'avènement d'une nouvelle ère dans les relations entre l'Union européenne et l'Afrique à l'issue du sommet prévu à Lisbonne les 8 et 9 décembre.
Le président Robert Mugabe a déclaré mercredi soir que le Zimbabwe n'accepterait pas d'initiatives parallèles inutiles extérieures au bloc régional de la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC) pour résoudre les crises du Zimbabwe.
Le président Robert Mugabe a déclaré mercredi soir que le Zimbabwe n'accepterait pas d'initiatives parallèles inutiles extérieures au bloc régional de la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC) pour résoudre les crises du Zimbabwe.