La violence scolaire n’est pas une fatalité ! Lutter est un travail de chaque instant, dans lequel la Région s’est engagée depuis 2000. Avec une priorité : le soutien aux victimes.
Les parents sont de plus en plus victimes de la violence de leurs enfants selon « Jeunes Violences Écoute », une plateforme téléphonique et internet qui lutte contre la violence quelle émane des jeunes ou qu'ils en soient les victimes.
Chaque année, elle reçoit environ 13 000 appels et le site compte 13 000 visiteurs par mois. La plateforme téléphonique (numéro gratuit depuis un fixe) met en relation les victimes, leurs parents ou des témoins avec des juristes ou des psychologues.
Presque la moitié des appels reçus (45 %) proviennent de victimes et 70 % des appels sont émis par des adultes. Si presque deux jeunes qui appellent sur trois sont victimes, de plus en plus de parents font appel à la plateforme débordés et victimes de la violence de leurs enfants.
La directrice de « Jeunes Violences Écoute », Brigitte Cadéac a déclaré à l'AFP : « Le phénomène récent le plus significatif est que de plus en plus de parents nous appellent pour demander de l'aide parce qu'ils sont malmenés, frappés, volés ou tyrannisés par leurs propres enfants ».
Jean-Paul Huchon (président du conseil régional d'Ile-de-France) et Julien Dray (vice-président en charge de la jeunesse et de la sécurité) ont décidé de lancer aujourd'hui une campagne de sensibilisation contre la violence mettant en avant le numéro de téléphone (0800 20 22 23) et le site de « Jeunes Violences Écoute ».
Ainsi, dans le métro, les gares, les RER et sur les bus d'Ile-de-France, plus de 11 000 affiches seront mises en plac...
Pour éradiquer les violences envers les enfants en Afrique, il faudrait avant tout lutter contre la violence liée au genre, et combattre notamment le viol, qui expose les jeunes au risque de contracter le VIH/SIDA, la maltraitance en milieu scolaire et certaines pratiques traditionnelles, selon un haut responsable des Nations Unies.
Convaincue que l’échec scolaire n’est pas une fatalité, une association de Villeneuve-Saint-Georges aide des élèves de tout âge à faire leurs devoirs.
Si la violence faite aux femmes au travail est multiforme, les victimes sont confrontées à la même menace sur leur emploi. Débat ce 23 novembre.
Malgré la rareté de combats en Ituri, les populations civiles restent exposées à des niveaux élevés de violence. Après quatre années de travail médical dans la région, MSF témoigne, dans son rapport intitulé «Ituri, les civils restent les premières victimes », de la permanence des violences sexuelles et des conséquences humanitaires des opérations militaires menées en 2007 dans le cadre de la pacification.
Qu'est-ce qui provoque ces mouvements de menton du ministre ? Selon ses propres termes, « la banalisation des faits de violence », « le développement de zones de non-droit », l'impunité de « multirécidivistes de la violence scolaire ». Mais à qui la faute ? Un nouveau plan de lutte contre (...)
80% du soutien scolaire n’est pas déclaré. Soutien Adom considère que le marché noir constitue un véritable fléau. Il s’agit pourtant d’un marché en plein essor...
