Un téléfilm soutenu par la Région veut lever tous les mystères qui entourent l’assassinat de l’opposant marocain. Les 21 et 22 janvier sur France 2.
Le fils de l'ancien opposant marocain assassiné dans des circonstances troubles revient sur les deux événements qui ont fait remonter à la surface l'«Affaire Ben Barka». A travers le livre de Shmouel Seguev, et le film récemment diffusé sur une chaîne de télévision française, Bachir Ben Barka livre son analyse, sans cacher son inépuisable désir de parvenir un jour à la vérité.
La famille de l'opposant marocain assassiné en 1965 conteste la version des faits qui y est présentée.
Medhi ben Barka, opposant au régime marocain, a été enlevé en octobre 1965 devant la brasserie Lipp, en plein centre de Paris.
L'Affaire Ben Barka, le téléfilm en deux parties diffusé la semaine dernière sur France 2, suscite la polémique en France. Ce docu-fiction, déjà déprogrammé en octobre dernier, développe une des hypothèses sur la disparition du leader marocain qui «relève de la fiction, même si elle s'appuie sur des faits historiques», comme le soulignait bien l'avertissement formulé par la chaîne française.
L'Affaire Ben Barka, le téléfilm en deux parties diffusé la semaine dernière sur France 2, suscite la polémique en France. Ce docu-fiction, déjà déprogrammé en octobre dernier, développe une des hypothèses sur la disparition du leader marocain qui «relève de la fiction, même si elle s'appuie sur des faits historiques», comme le soulignait bien l'avertissement formulé par la chaîne française.
L'Affaire Ben Barka, le téléfilm en deux parties diffusé la semaine dernière sur France 2, suscite la polémique en France. Ce docu-fiction, déjà déprogrammé en octobre dernier, développe une des hypothèses sur la disparition du leader marocain qui «relève de la fiction, même si elle s'appuie sur des faits historiques», comme le soulignait bien l'avertissement formulé par la chaîne française.
L'affaire tombe mal. Le juge Patrick Ramaël, qui instruit le dossier de la disparition en 1965 à Paris de l'opposant marocain Medhi Ben Barka, a signé lundi cinq mandats d'arrêt internationaux visant des Marocains, dont le chef de la gendarmerie royale...
L'affaire tombe mal. Le juge Patrick Ramaël, qui instruit le dossier de la disparition en 1965 à Paris de l'opposant marocain Medhi Ben Barka, a signé lundi cinq mandats d'arrêt internationaux visant des Marocains, dont le chef de la gendarmerie royale...
Quatre mandats d'arrêts internationaux émis par la France et visant notamment le chef de la gendarmerie marocaine pour la disparition de l'opposant marocain Mehdi Ben Barka en 1965 à Paris, ont été diffusés par Interpol après accord du ministère de la Justice.
45 ans après la disparition de l'opposant marocain, la justice française a donné son accord à la diffusion de ces mandats
Avec «L'affaire Ben Barka», Jean-Pierre Sinapi revient sur l'enlèvement de l'opposant marocain joué par Atmen Kélif. Un film réussi diffusé ce soir sur France 2.
Rencontré à la veille de la visite de Sarkozy au Maroc et les mandats d'arrêt internationaux demandés par le juge Ramael, Bachir Ben Barka continue de se poser des questions sur l'enlèvement et l'assassinat de son père. 42 ans après les faits, ce crime d'Etat n'a pas révélé tous ses secrets ni déterminé toutes les responsabilités. En attendant la vérité, toute la vérité, impossible pour la famille Ben Barka de faire un travail de deuil.
Rencontré à la veille de la visite de Sarkozy au Maroc et les mandats d'arrêt internationaux demandés par le juge Ramael, Bachir Ben Barka continue de se poser des questions sur l'enlèvement et l'assassinat de son père. 42 ans après les faits, ce crime d'Etat n'a pas révélé tous ses secrets ni déterminé toutes les responsabilités. En attendant la vérité, toute la vérité, impossible pour la famille Ben Barka de faire un travail de deuil.
Rencontré à la veille de la visite de Sarkozy au Maroc et les mandats d'arrêt internationaux demandés par le juge Ramael, Bachir Ben Barka continue de se poser des questions sur l'enlèvement et l'assassinat de son père. 42 ans après les faits, ce crime d'Etat n'a pas révélé tous ses secrets ni déterminé toutes les responsabilités. En attendant la vérité, toute la vérité, impossible pour la famille Ben Barka de faire un travail de deuil.