Le cessez-le-feu signé le week-end entre le gouvernement ougandais et les rebelles de l'Armée de résistance du seigneur place désormais le processus de paix ougandais sur les rails et va contribuer à la stabilité de la région des Grands Lacs.
Le gouvernement ougandais a accordé une amnistie aux derniers rebelles de l'Armée de Résistance du seigneur (LRA). Une amnistie qui, selon les rebelles de la LRA, ne leur garantit pas de s'échapper aux mandats d'arrêts lancés par la Cour pénale Internationale (CPI) contre leurs leaders. La réserve de cette rébellion pourrait mettre à mal ce processus de paix ougandais. Raison pour laquelle un analyste invite la LRA au strict respect de ces accords signés.
Le Conseil de sécurité a condamné « énergiquement » lundi les attaques récentes des rebelles ougandais de l'Armée de résistance du Seigneur (LRA) et les a appelés à signer et à respecter « sans tarder » l'Accord de paix final, négocié avec le gouvernement ougandais et conclu grâce au Processus de paix de Juba.
Un an après l'ouverture de pourparlers de paix historiques entre le gouvernement ougandais et la rébellion de l'Armée de résistance du seigneur (LRA), les violences ont cessé dans le nord de l'Ouganda sans perspective à court terme d'accord politique global.
Pour la première fois depuis qu'elle a pris les armes, il y a près de vingt ans, l'Armée de résistance du Seigneur (LRA) a envoyé une délégation de paix à Kampala. Malgré tout, les rebelles et le gouvernement ougandais restent diamétralement opposés sur la question cruciale des inculpations prononcées par la Cour pénale internationale à l'encontre des principaux leaders de la LRA.
Au moment où le gouvernement ougandais et les rebelles de l'armée de la résistance du seigneur(LRA) négocient un accord de paix , le chef rebelle Joseph Kony qui est sous mandat de la Cour pénale Internationale (CPI)a quitté la République démocratique du Congo pour la Centrafrique. En dépit de ce déplacement, plus d'une personne estiment que M. Kony doit réparer les dommages causés aux jeunes enrôlés de force dans la rébellion et aux filles devenues esclaves sexuelles.
Le processus de paix en Ouganda semblait en lambeaux lundi au lendemain d'une opération militaire régionale contre le principal camp de la rébellion de l'Armée de résistance du Seigneur (LRA) dans le nord de la République démocratique du Congo (RDC).
Le chef des rebelles ougandais de l'Armée de résistance du Seigneur (LRA), Joseph Kony, signera jeudi au Soudan un accord de paix historique avec le gouvernement de Kampala, a déclaré mercredi le principal médiateur, Riek Machar.
Ça sent le roussi dans le camp des rebelles ougandais. Le numéro deux de la rébellion ougandaise de l'Armée de résistance du Seigneur (LRA), Vincent Otti, est porté « disparu » depuis début octobre dernier après une dispute divisant ce mouvement à propos de l'avenir des pourparlers de paix avec le gouvernement ougandais. A en croire un haut responsable du Mouvement populaire de libération du Soudan (SPLM) cité hier mercredi par AFP, depuis le mois dernier les rebelles de la LRA vivent à couteaux tirés : un groupe de combattants fidèles au chef de la LRA Joseph Kony souhaitent abandonner les combats et se rendre. Cependant, les alliés d'Otti veulent poursuivre la lutte.
Le Secrétaire général s'est dit « encouragé » par la visite officielle de la délégation de l'Armée de résistance du Seigneur (LRA) à Kampala, où elle doit y rencontrer officiellement le gouvernement pour poursuivre les pourparlers de paix.
La communauté humanitaire en Ouganda a appelé aujourd'hui le gouvernement et l'Armée de résistance du Seigneur (Lord's Resistance Army, LRA) à conclure le plus vite possible un accord final pour mettre fin à un conflit de 20 ans.
Un rapport du Haut-Commissariat aux droits de l'homme publié aujourd'hui indique que la population du nord de l'Ouganda considère que le gouvernement partage la responsabilité de la situation avec l'Armée de Résistance du Seigneur (Lord's Resistance Army, LRA).
Le chef de l'Armée de résistance du seigneur (LRA), Joseph Kony, ne s'est pas présenté à la cérémonie de signature de l'accord de paix avec le gouvernement ougandais, a constaté RFI. Cette cérémonie a été organisée, le samedi 29 novembre 2008 à Ri-Kwangba, à la frontière du Soudan et de la République démocratique du Congo (RDC).
Les pourparlers de paix entre le gouvernement ougandais et les rebelles de l'Armée de résistance du seigneur (LRA) devraient en principe reprendre ce 15 janvier 2008. Mais rien n'est sûr, car, le régime Museveni dément d'abord l'information selon laquelle il aurait exercé des pressions sur le mouvement rebelle afin de signer l'accord de paix au 31 janvier 2008.
La Mission des Nations Unies en République démocratique du Congo (RDC) se félicite de l'excellente collaboration entre les autorités congolaises et son unité Désarmement, démobilisation, rapatriement, réintégration et réinsertion (DDRRR), qui a abouti à la libération et au transfert à la MONUC, de M. Patrick Opiyo Makis, officier dans l'Armée de libération du Seigneur (LRA), mouvement rebelle ougandais, et de son épouse Joyce Nora, jeudi 25 octobre à Kinshasa.