La récolte est souvent citée comme un point sensible et un frein au développement de la culture du pois. Or, le plus souvent, avec les variétés actuelles à bonne tenue de tige, la récolte du pois se passe bien. Elle peut même être rapide.
Coup de chaud, Aphanomyces, gel : des réponses existent. Les équipes Arvalis-Unip-Fnams, en collaboration avec des Chambres d’agriculture et des coopératives, mettent en place des essais et parcelles avec des agriculteurs pour adapter et sécuriser la conduite des protéagineux et maintenir ces légumineuses dans les choix des cultures possibles pour les producteurs. Que ce soit à travers les différentes espèces, pois, féverole et lupins, ou à travers les types disponibles, printemps et hiver, les options diffèrent suivant les régions.
“Se refaire un avis objectif sur le pois, la féverole et le lupin”.
Le choix des variétés est un compromis entre l’assurance d’une variété connue et bien référencée et la recherche de la nouveauté “qui fera la différence”. S’y ajoute cette année le souci de commander tôt ses semences, pour être sûr d’avoir le choix.
Pour bien considérer la rentabilité du pois, il ne suffit pas de comparer sa marge à celle des autres cultures. Il est important de pousser l’analyse à l’échelle de la rotation en distinguant les effets précédents. Non seulement les protéagineux ne nécessitent pas d’engrais azotés, mais ils permettent aussi de maximiser la marge du blé qui suit en améliorant son rendement et en réduisant ses besoins en intrants.
Pour bien considérer la rentabilité du pois, il ne suffit pas de comparer sa marge à celle des autres cultures. Il est important de pousser l’analyse à l’échelle de la rotation en distinguant les effets précédents. Non seulement les protéagineux ne nécessitent pas d’engrais azotés, mais ils permettent aussi de maximiser la marge du blé qui suit en améliorant son rendement et en réduisant ses besoins en intrants.
En cas d’interculture longue avant l’implantation d’un protéagineux de printemps derrière une céréale par exemple, la mise en place d’un couvert a pour objectif de couvrir le sol et de piéger les nitrates.
L'analyse de l’IFPC, Institut Français des Productions Cidricoles, sur la récolte 2009 de fruits à cidre.
coton chocolat pois vanille superbe9 euros le mètre en 140 cm de large
coton noir pois vanille superbe9 euros le mètre en 140 cm de large
coton blanc pois taupe (magnifique)9 euros le mètre en 140 cm de large épuisé
coton gros pois noirs [...]
Au terme de la 13eme étape du Tour de France, vendredi, l'Italien Franco Pellizotti (Liquigas) s'emparera du maillot à pois de meilleur grimpeur.
Ingrédients (pour 4 personnes) :- 300 g de pois chiches en bocal- 1 c. à c. de cumin- Le jus de 1 citron- 1 c. à c. d'ail haché- 1 c. à s. de cannelle- 1 c. à s. de persil haché- 3 c. à s. d'huile d'olive- Sel - Poivre blancTechnique :1. Eplucher les pois chiches : pour ce, jeter les pois chiches dans une grande quantité d'eau bouillante, dès la reprise de l'ébullition les égoutter puis les passer sous l'eau froide pour arrêter la cuisson ; retirer la peau en pressant les pois chiches sous les doigts.2. Faire étuver durant 2 minutes l'ail avec le cumin et la cannelle dans l'huile d'olive ; ajouter les pois chiches et le citron, couvrir d'eau à mi-hauteur ; laisser cuire 10 minutes ; rectifier l'assaisonnement.3. Servir tiède ou froid saupoudré de persil et accompagné de pains pita coupés en 2 et grillés.
Le coureur finlandais de la formation Française des Jeux, Jussi Veikkanen, portera le maillot à pois, lundi lors de la troisième étape après être arrivé en tête au sommet de trois des quatre difficultés de la deuxième étape.
Après celui des semences, le désherbage représente le 2ème poste des charges d’approvisionnement des cultures de protéagineux. Il n’existe malheureusement que peu de produits et les échecs de désherbage ont des conséquences sur les cultures suivantes : autant de raisons pour mettre tout en œuvre pour réussir les traitements
Semer des usines d’engrais azotés dans vos champs. Avec un prix de l’engrais azoté qui a quasiment doublé en l’espace de cinq ans, les protéagineux peuvent valoriser leur rôle de légumineuse dans les rotations et réduire les factures d’engrais azotés. A plus de 1 € l’unité, en 5 ans l’augmen-tation nette des charges pour une culture recevant 180 unités d’azote atteint les 100 euros par hectare : surcoût qui n’affecte pas les protéagineux.