Ce qui devait arriver arriva, les manisfestant anti “Gouvernement Chinois” n’ont trouvé comme seule solution dans le conflit “Chine-Tibet” d’essayer de recuperer la flamme olympique
Passage de la flamme olympique à Parisenvoyé par rue89
Par: Blog-a-la-Une.fr
Tags: Affaires, chine, flamme olympique, manisfestation, Tibet
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Tibet… bientôt un devoir [...]
La flamme olympique, copieusement chahutée dimanche à Londres par des manifestants dénonçant la répression des autorités chinoises au Tibet,...
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Le mauvais temps qui règnait ces dernières semaines à l'Everest pouvait faire espérer que la torche olympique ne passerait pas par le sommet, également point culminant du Tibet. Il n'en a rien été : la flamme olympique a atteint jeudi, il y a quelques heures, l'Everest, emmenée par une douzaine d'alpinistes.L'ascension de l'Everest a même été bloquée cette saison jusqu'au passage de la torche, des deux côtés de la frontière, pour éviter les manifestations pro-tibétaines qui ont émaillé le parcours de la flamme en dehors de la Chine. Ainsi côté népalais des soldats ont été postés jusqu'au camp II à 6500 mètres pour s'assurer qu'aucun alpiniste pro-tibétain ne pertuberait l'ascension chinoise : un alpiniste portant dans son sac une banderole pro-Tibet a même été expulsé il y a quelques jours, de même qu'un journaliste de la BBC.L'expédition chinoise pour la flamme olympique comprenait une trentaine de membres, dont une majorité d'origine tibétaine selon l'agence Chine Nouvelle. Un triste jour pour de nombreux tibétains qui après la répression des manifestations de mars à Lhassa espéraient que la flamme olympique ne brûlerait pas sur Chomolungma.
Les autorités grecques s'apprêtaient dimanche à remettre la flamme olympique aux organisateurs chinois des Jeux au cours d'une cérémonie à Athènes...
Lors d’une cérémonie solennelle organisée jeudi au Monument millénaire de Pékin, les instances dirigeantes du Comité International Olympique (CIO) ont dévoilé l'itinéraire que prendrait la flamme olympique, prélude à l’ouverture de la 29eme cérémonie du genre.
La flamme olympique a entamé mardi la semaine la plus sensible de son parcours en Chine, sous haute sécurité dans la région musulmane du Xinjiang connue pour ses tensions ethniques, avant l'étape au Tibet samedi.
A l'heure où la flamme olympique devenue torche sacrée atteint le plus haut sommet (dans l'ordre) du monde, de la Chine et du Tibet, il faut être aveugle ou membre actif du CIO pour ne pas voir la teneur politique du message de Pékin: l'Everest est chinois, comme le Tibet.
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Les autorités chinoises persistent et signent. Après moult déboires, la flamme olympique - ou son avatar résistant à la haute altitude - devrait être amenée au point culminant de la terre dans les prochains jours ou semaines. Mais le contexte atteint ici des sommets d'hypocrisie : les journalistes invités au camp de base versant tibétain sont tout simplement parqués dans un camp de mobile-homes, interdit de contact avec les alpinistes - chinois uniquement - du camp de base, lui-même clôturé. Une belle image qui remplace celle qu'aurait pu faire un américain qui du côté népalais a été expulsé du CB la semaine dernière après que les policiers népalais aient trouvé une banderole Free Tibet dans son sac. Les autorités chinoises font absolument ce qu'elles entendent des deux côtés de la frontière. Les alpinistes sont quant à eux bloqués jusqu'à 6500 m tant que les Chinois n'ont pas amené la flamme au sommet. Lundi dernier, un reporter de la BBC a également été expulsé : il avait été témoin de la visite de l'ambassadeur de Chine au camp de base de l'ascension de l'Everest sur le territoire du Népal.
Lundi, la flamme olympique sera portée dans les rues de Paris. Mais cette cérémonie devrait être perturbée par les opposants à la Chine.
Pendant cette étape controversée à Lhassa, la cérémonie a été fermée aux touristes étrangers et étroitement surveillée.
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Le voyage de presse de journalistes étrangers prévu pour couvrir l'ascension de la flamme olympique sur le mont Everest au Tibet a tourné à la farce jeudi lorsque la Chine a multiplié les obstacles à leur départ.
A Lhassa, un officiel chinois a annoncé que « le Tibet sera rouvert aux touristes étrangers sous peu ». Lors d'une conférence de presse, Palma Trily, « vice-président exécutif du Tibet » (dixit la voix officielle chinoise), a indiqué cependant que la réouverture n'aurait pas lieu immédiatement après le relais de la flamme olympique au Tibet (samedi dernier, NDLR) et n'a pas donné de date précise.Dans le même temps, une dépêche annonce que l'Everest verrait son accès et son ascension encore plus sévèrement réglementés et le nombre de visiteurs restreints en raison d'une augmentation importante de la quantité de déchets sur le Toit du Monde et dans la zone concernée.Enfin, une manifestation pro-tibétaine a eu lieu à Katmandou lors du passage de la flamme olympique à Lhassa ; 500 manifestants ont été arrêtés par la police népalaise et auraient été relâchés dans la soirée.SourcesFrench Xinhua NetLe Figaro