Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), Luis Moreno-Ocampo, a appelé vendredi le gouvernement du Soudan à arrêter le président soudanais Omar el-Béchir, qui fait l'objet d'un mandat d'arrêt pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité au Darfour.
Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), Luis Moreno-Ocampo, a demandé lundi aux juges de la CPI d'émettre un mandat d'arrêt contre le...
Le Conseil de sécurité de l'ONU a voté jeudi la prolongation d'un an du mandat de la force paix ONU-Union africaine (Minuad) au Darfour après avoir débattu de l'épineuse question d'une possible inculpation du président soudanais Omar el-Béchir pour génocide.
L'ambassadeur du Soudan à Dakar, Son excellence Abu Bakr Hussein Ahmed Abdel Daeim, appelle les Etats africains à exprimer leur solidarité au président El Béchir visé par une demande de mandat d'arrêt, formulée par le procureur Luis Moreno-Ocampo de la Cour pénale internationale (Cpi). « Si les Africains sont solidaires et la Oumah islamique mobilisée, les juges pourraient revoir leur copie », a insisté Abu Bakr Hussein Ahmed Abdel Daeim qui animait hier un point de presse à Dakar.
L'ambassadeur du Soudan à Dakar, Son excellence Abu Bakr Hussein Ahmed Abdel Daeim, appelle les Etats africains à exprimer leur solidarité au président El Béchir visé par une demande de mandat d'arrêt, formulée par le procureur Luis Moreno-Ocampo de la Cour pénale internationale (Cpi). « Si les Africains sont solidaires et la Oumah islamique mobilisée, les juges pourraient revoir leur copie », a insisté Abu Bakr Hussein Ahmed Abdel Daeim qui animait hier un point de presse à Dakar.
L'émission d'un mandat d'arrêt international visant le président soudanais, Omar El Béchir, pourrait avoir «un impact très négatif» sur le processus de paix au Darfour, province de l'ouest du Soudan en conflit armé depuis 2003, a affirmé mardi le commissaire à la paix et à la sécurité de l'Union africaine (UA), Ramtane Lamamra.
La délégation du Conseil de sécurité en Afrique a reçu hier l'acceptation sans condition du Soudan, y compris par la voix de son Président, Omar El-Béchir, pour le déploiement de la force hybride des Nations Unies et de l'Union africaine au Darfour.
La Cour pénale internationale (CPI) annoncera demain si elle lance ou non un mandat d'arrêt contre le président soudanais Omar El Béchir, accusé de crimes de guerre, de crimes contre l'humanité et de génocide au Darfour par le procureur. La décision de la CPI sera rendue publique à 14h00, lors d'une conférence de presse de la greffière de la Cour Sylvana Arbia et de la porte-parole Laurence Blairon dans les locaux du tribunal à La Haye.
Le président soudanais Omar el-Béchir, menacé d'un mandat d'arrêt international pour génocide au Darfour, s'est posé hier en homme de paix, au second jour d'une visite sous très haute sécurité dans cette immense province en proie à la guerre civile.
La Haye - Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) Luis Moreno-Ocampo va demander ce lundi l'inculpation du président soudanais Omar el-Béchir pour des crimes contre des civils commis ces cinq dernières années au Darfour (ouest du Soudan), selon des sources concordantes. Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon, s'est dit très préoccupé par cette mesure. M. Moreno-Ocampo a annoncé jeudi qu'il allait présenter lundi de nouvelles « preuves » de crimes commis dans cette région (...)
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Actualité
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swissinfo/Radio Suisse Internationale
Le président soudanais Omar el-Béchir, objet d'un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale, s'est joint jeudi à une grande manifestation de soutien à sa cause à Khartoum, a constaté un...
L'étau se resserre contre le président soudanais Omar El Bechir, contre lequel le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), l'Argentin Luis Moreno-Ocampo, vient d'émettre un mandat d'arrêt international pour « génocide » au Darfour soudanais. Pour l'heure, la procédure enclenchée par la Cpi se trouve au stade de l'accusation ; il appartiendra aux juges [...]
L'acteur
américain George Clooney, fervent défenseur de la
cause du Darfour, a exhorté jeudi le président
soudanais Omar el-Béchir à permettre le
déploiement complet de la force ONU-Union africaine
dans sa province occidentale.
La Cour pénale internationale a émis le 4 mars un mandat d'arrêt contre le président soudanais pour «crimes de guerre» et «crimes contre l'humanité» au Darfour. Un crime de lèse-majesté, estiment certains africains. L'inculpation du président soudanais Omar El Béchir par la Cour pénale internationale (Cpi) le 4 mars ne fait pas l'unanimité. Au moment où les Occidentaux applaudissent des deux mains l'action du procureur Luis Moreno-Ocampo, les Africains et leurs soutiens crient à l'indignation. L'Union africaine, la Ligue arabe, la Chine et la Russie ont toutes dénoncé la démarche interventionniste de la cour de La Haye et déploré le mépris affiché par la juridiction envers la souveraineté, la stabilité, la sécurité et l'intégrité territoriale des Etats.
La Cour pénale internationale a émis le 4 mars un mandat d'arrêt contre le président soudanais pour «crimes de guerre» et «crimes contre l'humanité» au Darfour. Un crime de lèse-majesté, estiment certains africains. L'inculpation du président soudanais Omar El Béchir par la Cour pénale internationale (Cpi) le 4 mars ne fait pas l'unanimité. Au moment où les Occidentaux applaudissent des deux mains l'action du procureur Luis Moreno-Ocampo, les Africains et leurs soutiens crient à l'indignation. L'Union africaine, la Ligue arabe, la Chine et la Russie ont toutes dénoncé la démarche interventionniste de la cour de La Haye et déploré le mépris affiché par la juridiction envers la souveraineté, la stabilité, la sécurité et l'intégrité territoriale des Etats.