La Préfecture des Alpes-Maritimes accueillait hier la première réunion du comité stratégique Wipro. L’occasion de rencontrer le Directeur de Wipro France pour parler des raisons qui ont poussé la multinationale indienne à prendre la décision de fermer son site de Sophia Antipolis, ainsi que des efforts que l’entreprise est prête à consentir sur le PSE et sur la convention de revitalisation.
Le comité stratégique Wipro s’est réuni pour la première fois, hier à la Préfecture des Alpes-Maritimes. L’occasion de rencontrer Claude Serra pour évoquer les objectifs de comité qu’il préside, ainsi que les avancées de cette première réunion qui s’est déroulée dans un excellent climat.
Première réunion, hier à Nice, du comité stratégique Wipro. L’occasion de rencontrer l’un des représentant du personnel, Bruno Jechoux, plutôt satisfait de certaines avancées obtenues lors de ce comité stratégique, même si sur de nombreux points, il convient encore de passer de la déclaration d’intention à des actes concrets.
Les élus du Conseil Régional sont venus hier apporter leur soutien aux salariés de Wipro, en lutte depuis la décision de la multinationale indienne de fermer son site de R&D sur Sophia Antipolis. L’occasion de rencontrer Marc Daunis pour Wipro constitue le parfait symbole de ces multinationales qui profitent de la crise en fermant certains sites alors qu’elles font des bénéfices et profitent de certaines aides importantes de l’Etat.
Annoncé par Christian Estrosi, ministre de l'Industrie, le comité stratégique Wipro est installé ce matin par le préfet. Une réunion qui devrait être animée : les salariés ont réaffirmé que la fermeture du site ne reposait sur aucune justification économique tandis que Wipro France clame qu'il n'est pas un patron voyou.
En lutte depuis la décision de la multinationale indienne de fermer son site de R&D implanté à Sophia Antipolis, les salariés de Wipro se sont rendus hier en procession à leur enterrement. Pour eux, la décision de fermeture est un véritable coup de massue asséné par surprise, d’autant plus qu’ils avaient accueilli avec enthousiasme, le rachat en 2006 de leur entreprise par le groupe indien.
Après s’être invité le matin ou ouverture du Conseil Municipal, les salariés de Wipro ont été reçus à la Préfecture vendredi après midi par Christian Estrosi qui leur a apporté son soutien, tout en dénonçant l’attitude de la multinationale indienne qui a profité du plan de relance pour empocher 3 ans de crédit impôt recherche quelques jours avant d’annoncer la fermeture du site de Sophia Antipolis. Une décision sur laquelle le Ministre de l’Industrie entend bien faire revenir la direction de Wipro.
Deux sociétés internationales du secteur des NTIC implantées sur Sophia (ILOG, spin off de l'Inria Sophia et l'Indien Wipro Technologies, présent par le rachat de NewLogic) ont annoncé la conclusion d'une alliance stratégique autour des Systèmes de Gestion de Règles Métier (BRMS).
Le comité d'entreprise de Wipro (ex NewLogic) a eu confirmation : le groupe indien a bien encaissé 5,2 M€ de crédit impôt recherche dont le règlement avait été avancé par le Plan de relance, avant de d'annoncer, 3 jours après le dernier versement, de fermer le site et de supprimer les emplois.
Les salariés de Wipro ont reçu hier le soutien des élus du Conseil Régional et du Sénateur Maire de Valbonne. L’occasion de rencontrer Jérôme Vanthournout qui conteste le bien fondé de la fermeture du site R&D de Sophia Antipolis, et réclame au moins la mise en œuvre d’un Plan de Sauvegarde de l’Emploi similaire à ceux en vigueur dans les entreprises comparables du secteur.
Le ministre de l'Industrie Christian Estrosi a jugé vendredi inadmissible que le groupe indien d'électronique Wipro envisage de fermer son site Wipro NewLogic de Sophia Antipolis, la technopole des Alpes-Maritimes, alors qu'il a bénéficé d'aides publiques.L'attitude des dirigeants de Wipro n'est...
Le ministre de l'Industrie Christian Estrosi a convoqué la direction européenne du géant indien Wipro la semaine prochaine à Paris sur le sort de son entreprise NewLogic de Sophia Antipolis, dans les Alpes-Maritimes, menacée de fermeture malgré le récent octroi de cinq millions d'euros d'aide publique.
Mauvaise nouvelle pour le secteur microélectronique de la technopole : la société indienne Wipro, implantée en décembre 2005 sur Sophia à travers le rachat de la société autrichienne NewLogic, envisage de cesser ses activités sur le site. 65 emplois sont en jeu.
La situation s'envenime autour de la fermeture du site de Wipro à Sophia, décidée en juin et effective en octobre. Les 61 ingénieurs licenciés se mobilisent. Ils reçoivent aujourd'hui Patrick Allemand, premier vice-président du Conseil régional en présence de Marc Daunis, sénateur maire de Valbonne.
En bref. Un accord aurait été trouvé entre Wipro et la soixantaine de salariés concernés par la fermeture de son site de R&D basé à Sophia Antipolis. Une enveloppe d'environ dix millions deuros aurait été débloquée.