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Pois et féverole - Réussir les implantations de printemps - par B. GAILLARD/Delphine BOUTTET - ARVALIS-UNIP
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Actualités
Voici une compilation des sources d'information sur ce sujet :
En semis de printemps, avec peu de capacité de récupération, la réussite de l’implantation est la clé du succès.
Après celui des semences, le désherbage représente le 2ème poste des charges d’approvisionnement des cultures de protéagineux. Il n’existe malheureusement que peu de produits et les échecs de désherbage ont des conséquences sur les cultures suivantes : autant de raisons pour mettre tout en œuvre pour réussir les traitements
En cas d’interculture longue avant l’implantation d’un protéagineux de printemps derrière une céréale par exemple, la mise en place d’un couvert a pour objectif de couvrir le sol et de piéger les nitrates.
Si le choix de la parcelle n’est pas toujours possible, en fonction de la rotation il faut néanmoins tenir compte de la parcelle pour implanter un pois ou une féverole. En effet la productivité de ces deux cultures de printemps dépend fortement de la capacité du sol à se ressuyer en fin d’hiver et à fournir à la plante des réserves en eau suffisantes en fin de printemps.
Pour pallier à son manque de résistance au froid, la féverole d’hiver exige d’être semée profond (7 à 8 cm). En féverole de printemps, les exigences sont moindres mais pour des semis précoces de début février, semer à 6-7 cm de profondeur limite le risque de gel en cours de germination. A partir du 20 février, on peut semer à 5 cm de profondeur.
La dernière campagne a confirmé le potentiel de rendement de la féverole dans les limons profonds de Normandie. Dans un contexte où le marché d’exportation de cette graine vers l’Egypte s’annonce aussi favorable en 2008 qu’en 2007, cette culture mérite d’être prise au sérieux dans la réflexion sur les assolements 2007-2008. C’est le point de vue d’ARVALIS-UNIP et de la coopérative de Creully.
“Se refaire un avis objectif sur le pois, la féverole et le lupin”.
Coup de chaud, Aphanomyces, gel : des réponses existent. Les équipes Arvalis-Unip-Fnams, en collaboration avec des Chambres d’agriculture et des coopératives, mettent en place des essais et parcelles avec des agriculteurs pour adapter et sécuriser la conduite des protéagineux et maintenir ces légumineuses dans les choix des cultures possibles pour les producteurs. Que ce soit à travers les différentes espèces, pois, féverole et lupins, ou à travers les types disponibles, printemps et hiver, les options diffèrent suivant les régions.
La Normandie a l’avantage d’avoir deux ports d’exportation, d’être une terre historique de protéagineux et d’être proche des fabricants bretons d’aliments du bétail.
Que ce soit pour les protéagineux d’hiver ou les protéagineux de printemps semés tôt, l’observation des cultures à la sortie de l’hiver est indispensable, car elle permet de prendre les bonnes décisions, pour le désherbage ou la lutte contre les premiers ravageurs.
Une prairie installée au
printemps présente l’avantage d’une qualité d’herbe très tendre et de bonne valeur alimentaire pour la première année d’exploitation en pâturage, ce qui compense une production diminuée par rapport à l’implantation de fin d’été.
La récolte est souvent citée comme un point sensible et un frein au développement de la culture du pois. Or, le plus souvent, avec les variétés actuelles à bonne tenue de tige, la récolte du pois se passe bien. Elle peut même être rapide.
Antoine Lambert s’est converti à l’agriculture intégrée depuis deux ans déjà. Il explique les raisons de son choix.
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