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Blogosphèriques
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Actualités
Voici une compilation des sources d'information sur ce sujet :
Décidément les projets pédagogiques de blogs autour de la veille et de l'IE fleurissent ! Au moment où je notais ceux de l'EGE jeudi (cf post), voici maintenant que se présentent ceux du Master...
Après les coups de gueule blogosphériques dépités de Jean Véronis (pour qui les blogs C'est un peu à l'écriture ce que le fast food est à la restauration. Vite écrit, vite lu, vite commenté... et vite oublié) et de Jean-Michel...
Noble tâche que celle entreprise par mes fréquentations blogosphériques pour la sauvegarde du mot flandrin. Je m'empresse donc de joindre ma voix à la leur car j'aime le flandrin, moi aussi. Je l'aime en politicien comme Samantdi, en dandy comme Otir, en épistolier comme Élisabeth et je pourrais même l'aimer rien que pour la gaudriole.
Ah, « gaudriole », ce mot-là aussi je veux le sauver de l'oubli. Mieux, je veux non pas sauver le mot seul, mais le mot e...
Est-ce un roman, un récit, une évocation ? Peu importe la question du genre puisque Bergounioux a le don de la langue, celle qui déplace les arbres dans les forêts et captive les bêtes.
Si vous voulez savoir ce qu'est un écrivain, plongez dans ce petit ouvrage. Vous ne le lirez pas rapidement, pas plus qu'on ne boit cul sec un vieil Armagnac.
Comment parler de Miette sans trahir cette oeuvre originale qui ne ressemble pas aux autres ?
On y entend une voix. Celle d'un homme qui vit sur un plateau du centre de la France, dans une région âpre, de terre dure, de lichens, de vent et de rochers. Cet homme est un passeur, il prête sa voix à ceux qui ont vécu là juste avant lui. Une famille des temps pas si anciens, ceux du début du XXème siècle, avant l'électricité pour tous et les tracteurs. Quand les paysans n'étaient pas encore devenus des agriculteurs. Du temps des haies dans les champs.
Pour autant, on ne lit pas un roman régionaliste parfumé à la violette et à l'ardoise.
Aucune intrigue ne fait tourner avidement la page pour savoir ce qui se passera au prochain chapitre.
On écoute seulement la voix, envoûté, sans se retourner, on suit le pas du marcheur qui trace les contours tantôt flous tantôt précis des personnages : Miette et ses quatre enfants, Baptiste, Octavie, Lucie et Adrien.
Toute la vie se passe là, et pourtant ce ne sont pas des vies minuscules mais des vies de géants. Les hommes fourbissent les armes qui modifient la terre et ses paysages,...
Voilà encore une lecture née de mes échanges blogosphériques.
Comme je passais une délicieuse après-midi parisienne en compagnie de Fauvette et son mari Corbillo, nous évoquions nos plaisirs de lecture. Corbillo, avait été marqué par le récit d'Une femme à Berlin, et par association d'idées, évoqua Le Quart, cet unique roman de Nikos Kavvadias, un Grec né en Mandchourie en 1910, qui fit mille métiers avant de devenir un poète reconnu dans son pays.
Je n'avais jamais entendu parler de lui.
Quelques jours plus tard, Fauvette et Corbillo me firent envoyer par la voie postale le roman en question, et je le mis en haut de ma Pile à Lire.
Eh bien, je dois dire qu'il ne m'a pas laissée indifférente.
Au fur et à mesure de ma lecture, l'idée s'ancrait en moi que c'était un livre pour les mecs, ce qui ne témoigne pas d'une grande profondeur d'analyse de ma part, mais cette idée s'impose à moi avant toute autre.
Ce texte âpre suit un fil directeur assez ténu : embarqués sur un bateau, deux marins devisent pendant le quart et évoquent leurs expériences passées tout en suivant l'avancée d'une maladie vénérienne contractée par un jeune pilotin qu'ils ont pris sous leur protection et qu'ils feront soigner en débarquant.
De fait, ce sont des voix que l'on entend, des voix dans la nuit, celles d'hommes sans scrupules mais non sans humanité. J'ai été souvent mal à l'aise en lisant leurs aventures. Les souvenirs échangés se situent dans des bordels sordides, dans des ports où l'on ex...
Ayant ces derniers jours suivi assidûment l'affaire d'un mariage annulé par le Tribunal de Lille pour raison que la mariée aurait menti au sujet de sa virginité, qualité essentielle, j'étais impatiente de suivre l'émission Du grain à moudre sur France-Culture.
Y intervenaient en effet deux membres actifs de la blogosphère : Maître Eolas, qui a défendu avec force effets de manche la validité de cette annulation et Caroline Fourest, connue pour ses positions féminines et rédactrice en chef de Pro-Choix.
Pour ma part, ma position avant d'écouter l'émission était la suivante, comme je l'ai écrit tout à l'heure en commentaire chez Kozlika : Je continue à penser : quelle horreur, nous voici de retour au moyen âge avec une répudiation avalisée par des juges et j'insiste bien sur l'interjection quelle horreur! car je suis choquée par le fait qu'on puisse considérer que la virginité est une qualité essentielle de la femme, aux yeux de la loi, qualité sur laquelle la femme se devrait de dire la vérité et qui, en cas de défaut constaté (par pénétration lors de la nuit de noces) aboutirait à l'annulation du mariage.
Je n'ai pas trop envie d'entrer dans des débats juridiques et sibyllins où de doctes esprits m'expliquent ce que veut dire qualité essentielle : je crois que tout le monde a compris ce jugement dans le sens que je reformule précédemment. C'est la raison pour laquelle il a déclenché cette levée de boucliers et c'est pourquoi il fallait le remettre en caus...
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Via L'oeil de mouche: Il y a un conseil, une remarque classique et si vraie que c'est l'une des règles blogosphèriques, comme quoi il ne faut pas écrire sur son blocage d'écriture. D'abord parce que c[...]
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