Verhofstadt a rencontré hier Jean-Pierre Hansen et Etienne Davignon à propos du dossier Suez-GDF.La pression monte avant la date butoir du 20 septembre.
La crise gouvernementale étant résolue, Guy Verhofstadt a pu se replonger dans le dossier énergétique lié au projet de fusion entre Suez et Gaz de France (GDF). Il a ainsi rencontré vendredi, d'abord les ministres régionaux de l'Energie, ensuite les responsables de Suez, Jean-Pierre Hansen et Etienne Davignon.
Après plusieurs mois de silence, les autorités belges ont remis le dossier Suez-GDF dans leur agenda. Guy Verhofstadt a eu une réunion mardi avec les ministres régionaux de l'Energie au terme de laquelle ils ont adopté une position commune sur la fusion et les problèmes de concurrence qu'elle pose en Belgique.
L'annonce triomphante faite mercredi par Guy Verhofstadt selon laquelle il avait obtenu une "golden share" dans le futur ensemble Gaz de France-Suez lors de son entretien avec Nicolas Sarkozy a laissé sur leur faim les observateurs des dossiers énergétiques. S'agit-il d'une simple promesse de la part du président français ? S'il y a un engagement ferme, peut-on parler d'une victoire pour les Belges ?
Guy Verhofstadt a réuni, jeudi en fin d'après-midi, les ministres-présidents des trois Régions et les présidents de parti à propos de l'OPA de Suez sur Electrabel. Visiblement, cette rencontre n'a pas permis de faire avancer le dossier.
Le premier ministre Guy Verhofstadt a été reçu mercredi à l'Elysée par le président français Nicolas Sarkozy. Le chef de gouvernement a notamment plaidé la cause des consommateurs belges en matière d'énergie. Il a également soutenu l'idée d'une Europe de la défense.
Guy Verhofstadt et Nicolas Sarkozy ont évoqué la fusion GDF-Suez. La Belgique a obtenu une 'golden share' (action veto) pour...
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Le gouvernement belge et Suez (maison-mère d'Electrabel) sont parvenus mercredi à un "accord de principe" sur les mesures à prendre dans le cadre du projet de fusion entre Suez et Gaz de France. La "Pax electrica II", négociée depuis des mois avec quelques ruptures de dialogue, est donc sur le point de se concrétiser.
Cela s'appelle une visite express. Guy Verhofstadt était lundi à Paris pour présenter son livre «Les Etats-Unis d'Europe» et surtout pour rencontrer d'abord Dominique de Villepin à Matignon, ensuite Jacques Chirac à l'Elysée. Il a parlé un peu moins de 40 minutes avec le Premier ministre français.
Le gouvernement belge, emmené par Guy Verhofstadt, a donc rencontré jeudi soir Gérard Mestrallet et Jean-François Cirelli, les patrons des groupes français Suez et de GDF sur la voie d'une fusion qui donnera naissance à l'un des leaders européens dans le domaine de l'énergie.
Gérard Mestrallet, le PDG de Suez, Jean-Pierre Hansen, le patron d'Electrabel et Etienne Davignon ont rencontré hier les membres du «kern» à propos de l'OPA de Suez sur Electrabel. L'objectif était de définir une «pax electrica». On sait que les principales familles politiques du pays sont d'accord avec le principe d'apporter les titres détenus par les communes dans Electrabel (4,57 pc) à l'offre de Suez.
Le Premier ministre Guy Verhofstadt a indiqué lundi qu'il comptait entamer dans les prochains jours les négociations avec Suez et Gaz de France dans le but d'ouvrir le marché belge de l'énergie.
Les négociations entre le gouvernement belge et le groupe Suez (maison mère d'Electrabel) sont dans une phase finale. Le Premier ministre Guy Verhofstadt rencontre normalement ce mardi Jean-Pierre Hansen, administrateur délégué d'Electrabel et mercredi les ministres régionaux.
Deux heures. C'est le temps qu'aura duré la réunion organisée hier par le ministre de l'Energie Marc Verwilghen (VLD) pour refaire le point sur les Pax Electrica I et II, ces accords conclus entre le gouvernement Verhofstadt et Suez (maison-mère d'Electrabel) pour améliorer la concurrence sur le marché belge de l'énergie.
Alors que la Belgique a conclu un accord avec Suez sur les modalités de sa fusion avec GDF, la Commission a prévenu le gouvernement de Guy Verhofstadt qu'il ne pouvait empiéter sur ses compétences en matière de contrôle des fusions.
Louis Michel a déclaré jeudi soir lors de l'émission Terzake sur la chaîne flamande Canvas que Guy Verhofstadt doit être Premier ministre, et ce même si le MR est plus fort en sièges que l'Open Vld. Pour lui, Verhofstadt est l'un des plus forts leade[...]
