Qu'il s'agisse des Airbus ou d'équipements nucléaires, les transferts technologiques avec la Chine soulèvent des craintes. Certains évoquent une déperdition de valeur ajoutée. D'autres suggèrent de murer les frontières. Pourtant tout comme la recherche et l'innovation, le transfert technologique participe de la compétitivité d'une entreprise.
Qu'il s'agisse des Airbus ou d'équipements nucléaires, les transferts technologiques avec la Chine soulèvent des craintes. Certains évoquent une déperdition de valeur ajoutée. D'autres suggèrent de murer les frontières. Pourtant tout comme la recherche et l'innovation, le transfert technologique participe de la compétitivité d'une entreprise.
Jouant le rôle de «trait d'union» entre les secteurs de production, de formation et de recherche, les pôles technologiques ne cessent, en Tunisie, de soutenir les orientations nationales avant-gardistes tendant à promouvoir l'innovation technologique, les secteurs à forte valeur ajoutée tels que les Technologies de l'information et de la communication (TIC), d'autant plus qu'il contribuent à diffuser l'économie numérique et du savoir ainsi que la valorisation des résultats de la recherche scientifique et l'impulsion de l'employabilité.