RWE, le numéro deux allemand de l'énergie, ne réussira pas de sitôt à doubler son grand rival Eon. Alors que ce dernier s'apprête à parachever la reprise d'Endesa, RWE manque d'opportunités de rachat. Et l'annonce du départ du président Harry Roels en février 2008 risque bien de paralyser le groupe d'Essen pendant un an.