Hervé Morin, ministre de la défense était à bord du porte-avions Charles de Gaulle du 25 au 26 novembre 2009.
Victime d'un problème sur son appareil propulsif, le porte-avions Charles de Gaulle restera immobilisé à quai pendant, au moins, quatre à six mois. C'est ce qu'a indiqué ce matin Hervé Morin sur l'antenne de RMC. La réponse du ministre de la Défense s'est voulue laconique. Et pour cause : il ne s'agit que d'une estimation.
Le ministre de la Défense Hervé Morin a confirmé dimanche que la situation budgétaire rendait «difficile» la construction d'un second bâtiment pour suppléer le Charles de Gaulle.
Le ministre de la Défense Hervé Morin a confirmé dimanche que la situation budgétaire rendait «difficile» la construction d'un second bâtiment pour suppléer le Charles de Gaulle.
« Il s'agirait d'un accident de vol », a déclaré le ministre de la Défense, Hervé Morin, vendredi 25 septembre, en fin de matinée, à propos des deux Rafale du porte-avions Charles-de-Gaulle qui se sont abîmés en Méditerranée la veille, en fin de journée.
Les travaux à bord du porte-avions Charles de Gaulle se poursuivent. Pour l'entretien de la presse de freins, le savoir-faire des américains a été sollicité.
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Charles de Gaulle R91
Le samedi 15 novembre au matin, le porte-avions Charles de Gaulle qui vient tout juste de reprendre la mer, navigue à cinquante nautiques au sud de Porquerolles, dans le cadre de la première phase des essais contractuels qui permettront de valider les travaux conduits à bord pendant les quinze mois de son indisponibilité périodique d'entretien et de réparations (IPER).
A bord du porte-avions Charles de Gaulle, les travaux de l'IPER se poursuivent pendant l'été. Ainsi, on procède actuellement au remontage des lignes de mouillage.
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A bord du porte-avions Charles de Gaulle, les travaux de l'IPER se poursuivent pendant l'été. Ainsi, on procède actuellement au remontage des lignes de mouillage.
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A bord du porte-avions Charles de Gaulle, les travaux de l'IPER se poursuivent pendant l'été. Ainsi, on procède actuellement au remontage des lignes de mouillage.
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A bord du porte-avions Charles de Gaulle, les travaux de l'IPER se poursuivent pendant l'été. Ainsi, on procède actuellement au remontage des lignes de mouillage.
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Le porte-avions Charles-de-Gaulle a de nouveaux soucis : un groupe réducteur sur une ligne d'arbre vibre de manière anormale. Les ingénieurs vont devoir "réaligner" l'ensemble et ces travaux pourraient durer jusqu'à trois mois. Le groupe réducteur est une sorte de...
Sans électronique à bord, le Charles-de-Gaulle ne serait qu'un géant vulnérable, livré à lui-même au milieu des océans. Incapable de détecter un ennemi, ou de répondre à une attaque. L'image est à peine caricaturale.
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« Tir imminent, tir imminent ! ». Les coursives du porte-avions résonnent de l'écho de la dernière alerte. Il ne s'agit pas là du lancement d'une fusée mais bien d'un exercice de catapultage. Pourtant, le Charles de Gaulle n'est-il pas toujours en IPER (Interruption Périodique pour Entretien et Réparation) ?
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Depuis 2003, le lycée Charles de Gaulle de Sète et le porte-avions éponyme entretiennent des liens privilégiés manifestés par la signature d'un partenariat, l'organisation de rencontres annuelles et l'accueil de stagiaires lycéens à bord. Après une période de relative accalmie en 2007-2008 - l'IPER du porte-avions empêchant de fait toute visite - ces liens ont été renoués avec vigueur dès le début de 2009.
