La rébellion tamoule est acculée dans une minuscule bande de territoire. Selon l'armée sri-lankaise, Il ne reste plus qu'un noyau de combattants autour du chef historique des «Tigres tamouls».
Plusieurs mois après la fin du sanglant conflit qui l'a opposé aux Tigres tamouls, le gouvernement sri-lankais a annoncé, samedi, qu'il autoriserait tous les civils déplacés à quitter les camps de réfugiés où ils étaient parqués.
L'armée de l'air sri-lankaise a annoncé avoir abattu un avion des Tigres tamouls
Le président du Sri Lanka a promis cette semaine une victoire militaire totale et rapide sur les rebelles séparatistes tamouls qui subissent une déroute militaire sans précédent.
Plus de 3.700 civils tamouls au Sri Lanka ont fui vendredi et samedi la zone de guerre où s'affrontent l'armée gouvernementale et un dernier carré de rebelles séparatistes tamouls dans le nord, a affirmé la radio publique.
De son côté, l'armée sri-lankaise affirme voler de victoire en victoire... Hier, elle s'est emparée de Chalaï, la dernière base navale des rebelles tamouls du LTTE (Tigres de libération de l'Eelam tamoul). Mardi, elle avait pris le contrôle du bunker du chef des Tigres et de la dernière piste d'aviation des rebelles dans le nord de l'île. Désormais, les ultimes carrés rebelles sont acculés sur 200 km2 de jungle dans le nord-est de l'île.
Alors qu'une vague d'émotion monte à l'étranger --le pape a appelé au respect du droit humanitaire et 20.000 personnes ont manifesté pour les Tamouls en Europe-- le Premier ministre sri-lankais Ratnasiri Wickremanayake a tendu la main aux combattants des Tigres. Des groupes de gens participant à des activités terroristes dans le nord sont prêts à se rendre. C'est une sage décision et nous sommes disposés à les accueillir , a-t-il déclaré au Parlement.
Les affrontements actuels se déroulent dans une zone où sont pris au piège environ 200 000 civils tamouls. Des centaines ont été tué...
Conflit au Sri lanka. Il semble bien que la longue guerre qui oppose l'armée sri lankaise aux Tigres de Libération de l'Elam Tamoul (L.T.T.E) tire à sa fin. Notamment parce que le 18/05 le gouvernement annonçait la mort du chef incontesté des Tigres tamouls, Velupillaï Prabhakara. Mais pour comprendre ce conflit, il faut remonter loin dans le passé. En effet, depuis la décolonisation du Sri Lanka, en février 1948, des tensions sociales et ethniques opposent régulièrement (...)
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Tribune Libre
Au moins deux officiers de l'armée de l'air du Sri Lanka ont été tués et 32 autres personnes blessées dans un probable attentat suicide perpétré...
Le chef des Tigres tamouls a été tué, lundi, par l'armée sri lankaise. La veille, les rebelles tamouls avaient reconnu leur défaite après 37 ans de conflit.
Les rebelles tamouls du Sri Lanka ont accusé dimanche l'armée d'avoir tué plus de 2.000 civils dans des bombardements depuis samedi, ce qu'ont démenti les militaires, tandis que Colombo bruisse de...
Au moins 90 personnes, parmi lesquelles 38 soldats sri-lankais, ont été tuées et des centaines d'autres blessées mercredi au cours de violents combats entre l'armée et les rebelles séparatistes tamouls dans le nord du pays.
L'inquiétude quant à la sécurité des dizaines de milliers de civils pris entre les feux des Tigres tamouls et les forces armées du gouvernement du Sri Lanka n'a cessé de croître dans le monde.
Les Tigres séparatistes tamouls ont viré à la secte armée. Ils succombent aujourd'hui moins aux assauts de Colombo qu'à leur isolement général.
Il s'agit d'un revers très important pour les Tamouls, après 37 ans de conflit séparatiste. Mais la violence est toujours là : un attentat a encore fait deux morts vendredi à Colombo.
L'armée sri-lankaise se dit prête à accorder l'amnistie aux rebelles Tamouls déposant les armes. En Europe, les manifestations de soutien aux Tigres se multiplient.
Les rebelles tamouls du Sri Lanka ont été "totalement battus", a déclaré mardi le président Rajapakse dans un discours au Parlement.
Les rebelles tamouls du Sri Lanka annoncent avoir cessé le combat contre l'armée gouvernementale, admettant ainsi leur défaite militaire au terme de 37 ans de conflit séparatiste.