Les États et les industriels chargés de déployer le futur système de navigation par satellites sont parvenus à s’entendre sur la répartition des pôles d’activité. La France hérite du siège social, l’Allemagne et l’Italie des centres opérationnels.
Les États et les industriels chargés de déployer le futur système de navigation par satellites sont parvenus à s'entendre sur la répartition des pôles d'activité. La France hérite du siège social, l'Allemagne et l'Italie des centres opérationnels.
Mauvaise nouvelle pour Toulouse. Le siège de la concession de Galileo et les 150 emplois directs qui allaient avec ne verra peut-être jamais le jour sur la zone de Montaudran...
Le siège du concessionnaire du futur système européen de navigation par satellite sera implanté à Toulouse, a déclaré Philippe Douste-Blazy, ministre français des Affaires étrangères. Cette entité aura des responsabilités ...
C'est un échec cuisant pour le partenariat public-privé qui devait développer le réseau européen de géolocalisation par satellite, Galileo.
Le Parlement européen a donné son feu vert au projet Galileo, système européen de navigation par satellite qui doit être déployé d’ici 2013 pour concurrencer le Global Positioning System (GPS) américain.
Le projet de règlement fixant les modalités d’exécution du programme a été approuvé par 607 voix contre 36 et huit abstentions après avoir fait l’objet [...]SHARETHIS.addEntry({ title: Feu vert du Parlement européen au projet Galileo, url: http://www.publictenders.be/feu-vert-du-parlement-europeen-au-projet-galileo/ });
Les difficultés de financement et les rivalités entre Etats qui bloquaient le démarrage du programme Galileo viennent d'être levées grâce à l'implication de l'ESA et de la Commission européenne.
Galileo, projet titanesque d'un équivalent européen au système de géolocalisation satellite américain GPS, prend de plus en plus les atours d'un serpent de mer. La mobilisation décrétée par Bruxelles pour accélérer sa mise en oeuvre se heurte aux intérêts industriels divergents des 27...
Le premier satellite du système de géolocalisation européen Galileo a été mis en orbite mercredi 28 décembre.
Les ministres de l'Économie européens se sont parvenus a s'entendre sur le financement de Galileo, futur rival du système de géolocalisation américain GPS. Le budget, désormais à 100% public, s'appuiera sur des fonds de l'UE non utilisés, principalement dans les secteurs de l'agriculture et la concurrence.
Galileo - le futur concurrent européen du GPS américain - est dans l'impasse. Géré par un consortium d'entreprises privées, le calendrier n'est pas respecté. Aussi, la Commission européenne envisage de le transformer en un projet public, pris en charge par l'Union européenne.
Le lancement du second satellite du réseau européen de géolocalisation devrait avoir lieu en mars 2008, et non en décembre 2007 comme initialement prévu.
Le financement du projet européen de géolocalisation par satellite, désormais à 100% public, pourrait s'appuyer sur des fonds non utilisés du budget de l'UE.
Dans le cadre du Défi Innovation, les premières années ont monté plus de 70 avant-projet ou idées de nouveaux produits et services s'appuyant sur le programme de géolocalisation européen. Vainqueur : le projet Time Explorer suivi de Navy Safe, une super balise Argos.
La Commission européenne a dévoilé, le 7 janvier, le nom des groupes industriels choisis pour développer une partie des composants de Galileo, le programme européen de radionavigation par satellite appelé à rivaliser avec le GPS américain. ...