La croissance américaine pourrait chuter de 0,5 % en 2008 .Pour que le système inventé par les architectes de l'innovation financière fonctionne, deux conditions devaient être réunies : la hausse perpétuelle des prix de l'immobilier - hypothèse illusoire - et...
Une étude des économistes de la Réserve fédérale américaine jette un pavé dans la mare des prévisionnistes : avec l'effet papy boom, la croissance américaine ralentirait beaucoup plus que prévu d'ici dix ans. Et avec elle, l'emploi ainsi que les bénéfices des entreprises.
La crise financière américaine pourrait elle faire chuter de façon vertigineuse les assistances et revenus de la LNH cette saison? (Journal de Montréal)
La croissance américaine du premier trimestre a été révisée en baisse à 0,6% en rythme annuel, au lieu de 1,3% annoncé précédemment. C'est le taux de croissance le plus faible aux Etats-Unis depuis le quatrième trimestre ...
La croissance américaine du premier trimestre a été révisée en baisse à 0,6% en rythme annuel, au lieu de 1,3% annoncé précédemment. C'est le taux de croissance le plus faible aux Etats-Unis depuis le quatrième trimestre ...
La croissance américaine devrait rester « modérée » d'ici la fin de l'année, a estimé mercredi Ben Bernanke, le patron de la réserve fédérale américaine (Fed). Il a présenté devant le Congrès les prévisions de ...
La croissance américaine devrait rester « modérée » d'ici la fin de l'année, a estimé mercredi Ben Bernanke, le patron de la réserve fédérale américaine (Fed). Il a présenté devant le Congrès les prévisions de ...
La croissance américaine a légèrement ralenti entre les deux trimestres : selon la première estimation donnée vendredi par le département du commerce, le PIB a progressé de 3,4% en rythme annualisé au deuxième trimestre, ...
Mauvaise suprise pour les économistes : l'activité américaine n'a progressé que de 1,1% au quatrième trimestre, son plus faible taux de croissance depuis 2002. Principaux responsables : le ralentissement de la demande interne et l'accélération des importations.
La croissance américaine a été révisée en hausse au troisième trimestre. Elle s'est finalement établie à 2,2%, alors que l'estimation initiale était de 1,6%. Ceci grâce à des importations moins élevées que prévu, et à un ...
Après -0,3 point au deuxième trimestre, le PIB devrait chuter aux 3e et 4e trimestres. Mais, jeudi dernier, le ministre du Budget a déclaré : Par nature, la France n'est pas en récession. 1 % de croissance sur l'ensemble de l'année, ce n'est pas une récession, c'est une très (...)
La croissance américaine a fortement décéléré au troisième trimestre, s'établissant à 1,6% en rythme annuel. Cause principale de cette contre-performance : la chute des investissements faits par les ménages dans le secteur immobilier, qui a atteint 17,4%.
La banque centrale américaine (Fed) s'apprête à réviser à la baisse ses prévisions de croissance, même si le plan de relance massive signé la semaine dernière pourrait éviter la récession à la première économie mondiale.
La Fed doit procéder à ces révisions très attendues dans les minutes de sa réunion des 30 et 31 janvier, qui seront publiées mercredi.
Le président de la banque centrale Ben...
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par Glenn Somerville WASHINGTON (Reuters) - La croissance économique américaine a redémarré au deuxième trimestre, grâce notamment à l'accélération des investissements des entreprises...
C'est le taux de croissance le plus faible aux Etats-Unis depuis le quatrième trimestre 2002. Les analystes tablaient sur une hausse de 0,8% du PIB, après 2,5% au trimestre précédent.
Le département du commerce explique la révision à la baisse par deux principaux facteurs : une détérioration plus marquée que prévu de la balance commerciale, et une réduction des stocks dans lesquels les entreprises ont puisé plutôt que de produire.
Le déficit commercial a amputé la croissance d'un point de PIB. Les Américains ont plus importé que prévu au premier trimestre, tandis que leurs exportations ont reculé. La réduction des stocks a coûté un point de croissance elle aussi.
L'économie américaine reste tirée par la consommation des ménages malgré le choc de l'immobilier résidentiel, indique le département du commerce.
Ce dernier a continué sa chute, accusant son sixième trimestre consécutif de baisse. La Réserve fédérale a averti mercredi que la correction du secteur pourrait durer plus longtemps que prévu. Elle pourrait continuer à peser sur la croissance au second semestre 2007.
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