Toujours en lice pour la déconstruction de l'ex-porte-avions Clemenceau, Veolia Propreté annonce l'implantation, à Bordeaux, d'une filière de démantèlement de navires. Par arrêté en date du 23 janvier, la préfecture de la Gironde a autorisé l'entreprise à exploiter un centre de démantèlement de bateaux et de valorisation de matériaux à Bassens, sur le Port Autonome de Bordeaux.
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Actualité de la mer
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Démantèlement des navires
Veolia Environnement va exploiter un centre de démantèlement de bateaux à Bassens, près de Bordeaux (sud-ouest de la France), qui pourra accueillir des navires militaires, a annoncé le groupe d'eau et de déchets lundi.
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Actualité de la mer
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Démantèlement des navires
Le groupe Veolia crée sur le site de Bassens un centre de démantèlement de vieux navires. La cale sèche permet de recevoir le Clemenceau.
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Bâtiments
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Démantèlement des navires
Quelques semaines avant la désignation de l'industriel chargé de gérer la fin de vie du porte-avions Clemenceau, Veolia Propreté a annoncé la création à Bordeaux d'un centre de démantèlement de vieux bateaux, qui pourra notamment accueillir les navires militaires. L'industriel est en effet candidat, ainsi que son concurrent Suez, et trois autres sociétés, à la déconstruction de la coque de l'ancien porte-avions. Lequel patiente au port de Brest depuis deux ans, après plusieurs semaines d'errance en mer pour tenter d'aller se faire désamianter en Inde.
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Bâtiments
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Démantèlement des navires
Le site a la particularité de comprendre une cale sèche en excellent état permettant le démantèlement de navires de grande taille. Le terrain attenant à la cale sera utilisé pour les opérations de préparation des matières métalliques issues du démantèlement en vue de leur expédition par voie d'eau vers les filières de valorisation.
Localement, ce nouveau site signifie le développement d'une activité porteuse d'expertise technique dans les services à l'environnement, la création d'emplois et l'augmentation de l'activité portuaire. C'est pourquoi il a bénéficié, depuis son origine, d'un soutien appuyé des différentes parties prenantes locales (Communes, Région, associations, Port Autonome de Bordeaux,..).
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Le site a la particularité de comprendre une cale sèche en excellent état permettant le démantèlement de navires de grande taille. Le terrain attenant à la cale sera utilisé pour les opérations de préparation des matières métalliques issues du démantèlement en vue de leur expédition par voie d'eau vers les filières de valorisation.
Localement, ce nouveau site signifie le développement d'une activité porteuse d'expertise technique dans les services à l'environnement, la création d'emplois et l'augmentation de l'activité portuaire. C'est pourquoi il a bénéficié, depuis son origine, d'un soutien appuyé des différentes parties prenantes locales (Communes, Région, associations, Port Autonome de Bordeaux,..).
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À l'instar de l'affaire très médiatisée du Porte-avion Clemenceau, le démantèlement des navires reste problématique dans le monde et notamment en Europe où les députés du Parlement souhaitent une rationalisation rapide de toute la filière.
Alors qu'officiellement rien n'est encore annoncé, c'est l'entreprise française Veolia Propreté qui obtiendrait le marché du démantèlement de l'ex-porte-avions Clémenceau.
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Bâtiments
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Démantèlement des navires
L'inexistence de volontarisme de la part de l'Etat et la difficulté de rassembler diverses compétences conduisent à l'impossibilité de mettre en place une véritable filière française de déconstruction des navires. Le cas du Clémenceau. La déconstruction des navires est inséparable d'un préalable, leur dépollution. Celle-ci recouvre plusieurs expertises lesquelles méthodiquement rassemblées pourraient donner naissance à un savoir faire globalisé et opérationnel. Le (...)
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Développement Durable en débat
L'affaire du Clémenceau témoigne de l'inexistence d'une filière française de dépollution des navires L'inexistence de volontarisme de la part de l'Etat et la difficulté de rassembler diverses compétences conduisent à l'impossibilité de mettre en place d'une véritable filière française de déconstruction des navires. Le cas du Clémenceau. La déconstruction des navires est inséparable d’un préalable, leur dépollution. Celle-ci recouvre plusieurs (...)
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Publication définitive
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Pollution, déchets
Sur une trentaine de bâtiments désarmés, une douzaine de vielles coques sont en attente de démantèlement. Alors que la destruction de l'ex-frégate Lucifer, à Cherbourg, a été attribuée au groupe Suez, le résultat de l'appel d'offres concernant la déconstruction de l'ancien Clemenceau sera connu d'ici la fin du printemps.
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Bâtiments
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Démantèlement des navires
Traitera-t-on l'ex-Clemenceau à Gand en Belgique ou à Bassens près de Bordeaux ? L'association écologique Robin des Bois descend en flèche la solution française portée par Veolia.
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Bâtiments
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Démantèlement des navires
Selon l'AFP, les Etats membres de l'Organisation maritime internationale (OMI) ont adopté le 15 mai à Hongkong, la première convention internationale sur le démantèlement des navires de commerce en fi...
La création d'une filière française de démantèlement de navires en fin de vie, annoncée à l'issue du Grenelle de la Mer, pourrait être l'occasion d'en finir avec l'exportation sans garanties de carcasses polluées vers l'Asie.
Chaque année entre 200 et 600 grands navires marchands sont démolis et voués au marché rentable de la ferraille. La capacité européenne étant insuffisante pour le recyclage de ses grands navires, de n...
