Un nouveau vaccin contre la grippe aviaire mis au point par des chercheurs américains pourrait fournir une protection plus efficace et plus durable et serait plus facile à produire que les vaccins existant, selon une étude publiée dans The Journal of infectious diseases.
Des chercheurs japonais ont affirmé lundi avoir mis au point une méthode qui pourrait conduire au développement d'un vaccin humain contre la grippe aviaire, également efficace en cas de mutations du virus.
Le vaccin anti-grippe aviaire sera produit dans les laboratoires de Sienne et bientôt aux Etats-Unis. Finalement, nous pouvons nous défendre contre le risque d'une épidémie de grippe. Le premier vaccin anti-grippe aviaire, la grippe du virus H5N1 q ...
Fabriqué par le laboratoire Sanofi Pasteur à la demande du gouvernement américain, un vaccin prototype contre le H5N1, le fameux virus responsable de la grippe aviaire, aurait démontré une efficacité de 54%. D'après ...
On se dirige de plus en plus vers une vaccination au niveau mondial contre la grippe aviaire dès lors que des chercheurs gantois sont parvenus à obtenir une immunité humaine suffisante avec des doses de vaccin extrêmement réduites.
Un groupe d'experts conseils de la Food and Drug admisnistration (FDA) a donné un avis favorable pour l'autorisation de commercialisation du premier vaccin humain contre la grippe aviaire aux Etats-Unis, même si des données récentes suggèrent une protection moins efficace que celle reportée dans l'essai clinique de 2006.
GlaxoSmithKline a indiqué hier avoir obtenu la première autorisation de commercialisation dans l'Union européenne d'un vaccin prépandémique contre la grippe aviaire, le Prepandrix. Une annonce qui a soutenu son cours de Bourse. Deux types de vaccins peuvent être utilisés en cas de pandémie de...
Une équipe de chercheurs de l'université de Pittsburgh vient d'annoncer qu'elle a synthétisé un vaccin contre la forme la plus virulente de la grippe aviaire, le virus H5N1. A l'heure actuelle,...
Le vaccin contre la grippe saisonnière pourrait protéger, au moins partiellement, contre la grippe A (H1N1), selon un article publié le 6 octobre sur le site Internet du British medical journal (en anglais et disponible en accès libre). Les chercheurs...
Les chercheurs tentent de mettre au point un vaccin protecteur contre le virus de la grippe aviaire H5 N1, toujours en circulation dans de nombreux pays.
Selon les experts de la grippe aviaire réunis à Toronto, la menace d'une épidémie mondiale reste très forte. Les industriels mettent au point un vaccin prépandémique permettant de protéger partiellement les populations.
Cela serait une avancée médicale incroyable. On se dirige de plus en plus vers une vaccination au niveau mondial contre la grippe aviaire. Des chercheurs gantois sont parvenus à obtenir une immunité humaine suffisante avec des doses de vaccin extrêmement réduites. Le nouveau vaccin de l'entreprise pharmaceutique GlaxoSmithKline est actuellement en phase de test au Centre de Vaccinothérapie (CEVAC) de l'hôpital universitaire de Gand. Les chercheurs de l'hôpital universitaire de Gand ont en effet effectué des essais sur l'homme qui ont permis de constater que le vaccin, même à des doses très faibles, protège suffisamment contre les souches connues du virus de la grippe aviaire H5N1 et qu'il protège aussi partiellement contre d'éventuelles nouvelles variantes du virus. Le manque de vaccins disponibles augmente le risque d'une nouvelle pandémie. Or, le virus de la grippe aviaire peut se transmettre, après mutation, d'homme à homme. Pour pouvoir fabriquer les vaccins nécessaires à une campagne de vaccination au niveau mondial, les spécialistes ne disposent pas d'assez de matière première pour les vaccins, à savoir de l'haemagglutinine. La capacité de production ne pouvant pas être augmentée du jour au lendemain, le défi consiste dès lors à assurer une protection efficiente avec la plus petite quantité possible de vaccin et de préférence, pour la palette la plus large possible de de variantes de H5N1, expliquent les chercheurs de l'hôpital universitaire de Gand. Or, le vaccin actu...
Le premier cas de contamination d'un être humain par la grippe aviaire avait été relaté en 1997. Depuis cette date, 170 cas d'infections ont été répertoriées, mortelles dans la plupart des cas. Une des particularités de ce virus est sa capacité à muter rapidement, rendant difficile l'élaboration d'un vaccin.
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La grippe aviaire continue de faire l'actualité en Asie et plus particulièrement au Vietnam. Les pays occidentaux se préparent en stockant des vaccins pour l'homme (voir notre article précédent), tandis que des essais de vaccins pour poulet sont en cours en Asie.
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Cela serait une avancée médicale incroyable. On se dirige de plus en plus vers une vaccination au niveau mondial contre la grippe aviaire. Des chercheurs gantois sont parvenus à obtenir une immunité humaine suffisante avec des doses de vaccin extrêmement réduites. Le nouveau vaccin de l'entreprise pharmaceutique GlaxoSmithKline est actuellement en phase de test au Centre de Vaccinothérapie (CEVAC) de l'hôpital universitaire de Gand. Les chercheurs de l'hôpital universitaire de Gand ont en effet effectué des essais sur l'homme qui ont permis de constater que le vaccin, même à des doses très faibles, protège suffisamment contre les souches connues du virus de la grippe aviaire H5N1 et qu'il protège aussi partiellement contre d'éventuelles nouvelles variantes du virus. Le manque de vaccins disponibles augmente le risque d'une nouvelle pandémie. Or, le virus de la grippe aviaire peut se transmettre, après mutation, d'homme à homme. Pour pouvoir fabriquer les vaccins nécessaires à une campagne de vaccination au niveau mondial, les spécialistes ne disposent pas d'assez de matière première pour les vaccins, à savoir de l'haemagglutinine. La capacité de production ne pouvant pas être augmentée du jour au lendemain, le défi consiste dès lors à assurer une protection efficiente avec la plus petite quantité possible de vaccin et de préférence, pour la palette la plus large possible de de variantes de H5N1, expliquent les chercheurs de l'hôpital universitaire de Gand. Or, le vaccin actu...
