Le 4ème Trophée BPE a débuté dans des conditions de rêve. La première nuit s'est déroulée sous spi, dans 20 nœuds de vent sur mer plate. Deux options ...
Partis mercredi 6 mai à 15h14 au large de La Rochelle (Charente-Maritime), les premiers concurrents auront mis moins de 48 heures pour rallier Gijon (Espagne) distant de 300 milles. Les conditions légères attendues lors de la première nuit se sont en fait révélées viriles avec 20/25 nœuds de vent permettant à la flotte de croquer la mi-parcours dès jeudi matin. Grand spi/grand voile haute puis spi médium/grand voile haute, les vitesses titillaient les 15/20 nœuds le tout sous une lune calée dans les voiles d’avant poussés par une houle favorable. Une nuit de rêve de l’avis de tous !
Joint par téléphone cet après-midi, le skipper de Groupe Bel expliquait rencontrer depuis ce matin des conditions de vent plus légères que prévues. Après une première nuit à 15 nœuds de moyenne, la cadence a ralenti au petit jour. Néanmoins, Groupe Bel navigue déjà au large de la Sardaigne à une vitesse de 11 nœuds.
Après les conditions que leur avait offert la première étape, et notamment l’arrivée à Algéciras, les minis 6.50 s’attendaient à naviguer encore cinq journées au près sous 40 nœuds de vent pour remonter jusqu’à Lisbonne. Mais c’est un petit vent de 20 nœuds qui les a portés jusqu’au cap Saint Vincen
Après les conditions que leur avait offert la première étape, et notamment l’arrivée à Algéciras, les minis 6.50 s’attendaient à naviguer encore cinq journées au près sous 40 nœuds de vent pour remonter jusqu’à Lisbonne. Mais c’est un petit vent de 20 nœuds qui les a portés jusqu’au cap Saint Vincen
Après les conditions que leur avait offert la première étape, et notamment l’arrivée à Algéciras, les minis 6.50 s’attendaient à naviguer encore cinq journées au près sous 40 nœuds de vent pour remonter jusqu’à Lisbonne. Mais c’est un petit vent de 20 nœuds qui les a portés jusqu’au cap Saint Vincen
Après les conditions que leur avait offert la première étape, et notamment l’arrivée à Algéciras, les minis 6.50 s’attendaient à naviguer encore cinq journées au près sous 40 nœuds de vent pour remonter jusqu’à Lisbonne. Mais c’est un petit vent de 20 nœuds qui les a portés jusqu’au cap Saint Vincen
Après les conditions que leur avait offert la première étape, et notamment l’arrivée à Algéciras, les minis 6.50 s’attendaient à naviguer encore cinq journées au près sous 40 nœuds de vent pour remonter jusqu’à Lisbonne. Mais c’est un petit vent de 20 nœuds qui les a portés jusqu’au cap Saint Vincen
Hier s’est déroulée la dernière journée de la troisième édition de l’Y’s CUP, régate internationale de Match Racing organisée par le Yachting Club de la Pointe Rouge (YCPR).
Les conditions météorologiques ont été idéales pour régater en Match Racing avec 10 à 20 nœuds de vent de Sud Est, ce qui rendait une mer parfaitement plate dans la baie de la Pointe Rouge.
Cette première journée des régates olympiques aura parfaitement illustré les difficultés du plan d’eau de Qingdao dans des conditions de vent faible. Car la brise n’a jamais dépassé 6 nœuds cet après-midi d’où l’importance énorme d’un courant traversier qui, à certains moments, atteignait 1,3 nœuds soit une proportion de près de 1 à 4 avec le vent ! Les quatre courses normalement disputées ont ainsi vu de multiples rebondissements.
Après les conditions que leur avait offert la première étape, et notamment l’arrivée à Algéciras, les minis 6.50 s’attendaient à naviguer encore cinq journées au près sous 40 nœuds de vent pour remonter jusqu’à Lisbonne. Mais c’est un petit vent de 20 nœuds qui les a portés jusqu’au cap Saint Vincente, puis un vent de secteur nord ouest pour la remontée jusqu’à Lisbonne leur permettant de tirer des bords plus longs.
Les premiers Figaristes, toujours emmenés par Gildas Morvan (Cercle Vert), évoluaient mardi à 6h00, à environ 35 milles dans l’ouest de Ouessant, sous spi, à 9-10 nœuds. Le début de soirée après Wolf Rock a été animé avec 25 nœuds de vent et une belle houle poussant les Figaro Bénéteau sur des surfs endiablés à 17 nœuds. La nuit a été magique. Du vent, des vagues sous le projecteur géant de la lune.
La première journée des Internationaux de France de Match Racing 2008 s'est déroulée dans des conditions météos capricieuses. Après de longues heures de pétole en milieu de journée, les 12 équipages engagés sur les Internationaux de France de Match Racing ont pu reprendre la compétition à 17h30 dans vent forcissant de 6 à 30 nœuds en fin de journée.
Cette nuit, au passage du front, les 45 solitaires encore en course ont vécu dans des conditions extrêmes, à la limite de la survie : 50 nœuds de vent ...
Avec un vent faible de 5 nœuds, la première manche du jour fut dure pour les nerfs de nos régatiers. Pour conclure ce Challenge Kréol Beach HP, un vent de 12 à 15 nœuds s’est levé pour le plus grand bonheur de nos skippers.