Cette première journée des régates olympiques aura parfaitement illustré les difficultés du plan d’eau de Qingdao dans des conditions de vent faible. Car la brise n’a jamais dépassé 6 nœuds cet après-midi d’où l’importance énorme d’un courant traversier qui, à certains moments, atteignait 1,3 nœuds soit une proportion de près de 1 à 4 avec le vent ! Les quatre courses normalement disputées ont ainsi vu de multiples rebondissements.
Comme la première, cette deuxième journée de régates olympiques a parfaitement respecté le programme prévu avec sept manches disputées : 2 pour les Finn et Yngling et trois pour les rapides 49er qui faisaient leur entrée en lice. Que le vent soit plus ou moins fort – il flirtait avec les 9 nœuds pour les ronds des Yngling et Finn au large et à 5 nœuds voire moins lors de la dernière manche pour les 49er qui régataient devant la Marina –, les comités donnent les départs. Dans des conditions auxquelles les concurrents doivent parfois s’habituer mais sans que l’intensité sportive n’en paraisse atténuée. Chacun sachant désormais devoir s’adapter aux sortilèges de la Mer Jaune dont les courants, on l’a dit hier, ne sont pas les moindres.
Avec un vent faible de 5 nœuds, la première manche du jour fut dure pour les nerfs de nos régatiers. Pour conclure ce Challenge Kréol Beach HP, un vent de 12 à 15 nœuds s’est levé pour le plus grand bonheur de nos skippers.
Après les conditions que leur avait offert la première étape, et notamment l’arrivée à Algéciras, les minis 6.50 s’attendaient à naviguer encore cinq journées au près sous 40 nœuds de vent pour remonter jusqu’à Lisbonne. Mais c’est un petit vent de 20 nœuds qui les a portés jusqu’au cap Saint Vincen
Après les conditions que leur avait offert la première étape, et notamment l’arrivée à Algéciras, les minis 6.50 s’attendaient à naviguer encore cinq journées au près sous 40 nœuds de vent pour remonter jusqu’à Lisbonne. Mais c’est un petit vent de 20 nœuds qui les a portés jusqu’au cap Saint Vincen
Après les conditions que leur avait offert la première étape, et notamment l’arrivée à Algéciras, les minis 6.50 s’attendaient à naviguer encore cinq journées au près sous 40 nœuds de vent pour remonter jusqu’à Lisbonne. Mais c’est un petit vent de 20 nœuds qui les a portés jusqu’au cap Saint Vincen
Après les conditions que leur avait offert la première étape, et notamment l’arrivée à Algéciras, les minis 6.50 s’attendaient à naviguer encore cinq journées au près sous 40 nœuds de vent pour remonter jusqu’à Lisbonne. Mais c’est un petit vent de 20 nœuds qui les a portés jusqu’au cap Saint Vincen
Après les conditions que leur avait offert la première étape, et notamment l’arrivée à Algéciras, les minis 6.50 s’attendaient à naviguer encore cinq journées au près sous 40 nœuds de vent pour remonter jusqu’à Lisbonne. Mais c’est un petit vent de 20 nœuds qui les a portés jusqu’au cap Saint Vincen
Après des jours sans vent, Valence en a trop. Eole souffle à près de 24 nœuds mardi après-midi. Les régates ont été retardées.
Joint par téléphone cet après-midi, le skipper de Groupe Bel expliquait rencontrer depuis ce matin des conditions de vent plus légères que prévues. Après une première nuit à 15 nœuds de moyenne, la cadence a ralenti au petit jour. Néanmoins, Groupe Bel navigue déjà au large de la Sardaigne à une vitesse de 11 nœuds.
Après les conditions que leur avait offert la première étape, et notamment l’arrivée à Algéciras, les minis 6.50 s’attendaient à naviguer encore cinq journées au près sous 40 nœuds de vent pour remonter jusqu’à Lisbonne. Mais c’est un petit vent de 20 nœuds qui les a portés jusqu’au cap Saint Vincente, puis un vent de secteur nord ouest pour la remontée jusqu’à Lisbonne leur permettant de tirer des bords plus longs.
Cinq superbes manches ont pu être lancées sur le magnifique plan d'eau sicilien du Trapani Grand Prix : une mer assez dure et une brise frisant les 25 nœuds samedi, des vagues toujours courtes mais moins abruptes et un vent de 15 à 20 nœuds dimanche.