Lance Armstrong, septuple vainqueur du Tour de France, s'en est pris à l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD). L'Américain dénonce des accusations scandaleuses après avoir fait l'objet d'un rapport transmis à l'UCI à la suite de son contrôle hors compétition du 17 mars.
Lance Armstrong, septuple vainqueur du Tour de France, s'en est pris à l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD). L'Américain dénonce des accusations scandaleuses après avoir fait l'objet d'un rapport transmis à l'UCI à la suite de son contrôle hors compétition du 17 mars.
Afin de couper court aux rumeurs de dopage concernant la performance de Lance Armstrong sur le Tour de France 1999, l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) a récemment proposé au coureur américain de procéder à une nouvelle analyse des échantillons prélevés durant la compétition. Proposition refusée de manière catégorique de part du Texan.
DOPAGE . Un rapport de l'AFLD pointe de nombreux dysfonctionnements dont aurait bénéficié Armstrong.
A l'initative de l'IPCT (International Pro Cyclin Teams), présidé par Patrick Lefevere, les équipes de l'élite financeront des contrôles inopinés supplémentaires hors compétition pour leurs coureurs, a décidé mardi le comité directeur de l'Union cycliste internationale (UCI). Cette mesure, qui devrait permettre 75 pc de contrôles hors-compétition supplémentaires, sera gérée par l'UCI. Les résultats des contrôles seront transmis à l'Agence mondiale antidopage (AMA) sur le modèle adopté depuis le début de la saison par la formation danoise CSC. Le plan adopté par les responsables de la fédération internationale prévoit également que tous les coureurs membres d'une équipe du ProTour seront tenus de fournir des informations précises sur leur localisation.
La lutte contre le dopage dans le cyclisme doit passer par plus de contrôles pratiqués à l'improviste et surtout hors...
Lance Armstrong, septuple et controversé vainqueur du Tour de France, renoue officiellement avec la compétition mardi en Australie au départ du Tour Down...
Lance Armstrong, une nouvelle fois présent dans l’actualité hors course en raison de son contrôle antidopage inopiné sur la côte d'Azur le mois dernier, craint d’être empêché de participer au prochain Tour de France par l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD).
Lance Armstrong revient dans le Tour de France.
Aux Etats-Unis, il est le Chef d'Etat de la planète sports. Son combat contre le cancer lui assure par ailleurs une médiatisation permanente à l'exemple de la dernière convention passée avec la Fondation Bill Clinton.
C'est un retour particulièrement risqué.
Il sera guetté dans deux domaines.
Celui de la défaite qui entacherait son retrait de la compétition sportive qu'il avait justement voulu intervenir à l'issue d'un cycle ininterrompu de victoires.
Celui du dopage car nombreux sont ceux qui veulent que des contrôles attestent du bien-fondé de leurs accusations anciennes.
C'est un sacré coup de poker.
L’Américain Lance Armstrong, septuple vainqueur du Tour de France cycliste, s'est réjoui mercredi sur la chaîne de télévision américaine MSNBC de voir que les contrôles antidopage fonctionnent, après les différentes affaires qui touchent actuellement la Grande Boucle.
C'est bien un membre de l'UCI qui a permis à L'Equipe d'étayer ses accusations contre Lance Armstrong à propos d'un dopage à l'EPO sur le Tour de France 1999.
Les questions étaient nombreuses au moment où Lance Armstrong, ce champion impitoyable et froid, avait annoncé son retour à la compétition. A 37 ans, quel était le but de son come-back sur les routes du Tour ? S'il n'a pas pu contrarier la domination de Contador, le pari est tout de même gagné.
Lance Armstrong prendra-t-il le départ du prochain Tour de France ? La question se pose tandis que l'agence française de lutte contre le dopage hésiterait à suspendre le cycliste. Elle lui reproche d'avoir enfreint le règlement...
Lance Armstrong a accusé vendredi l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) de vouloir tellement l'empêcher de courir le Tour de France qu'elle...
Armstrong, septuple vainqueur de la Grande Boucle également soupçonné de dopage, a renouvelé ses critiques du travail «de mauvaise qualité» du laboratoire français de Châtenay-Malabry. (AP)