Vingt-sept personnes, dont dix militaires et 17 assaillants, ont été tuées et 31 blessées mercredi au cours d'une attaque de bandits armés, des rebelles touareg, dans l'extrême nord-est du Mali, a annoncé le ministère malien de la Défense.
L'armée malienne a attaqué lundi des positions du groupe rebelle touareg dirigé par Ibrahim Ag Bahanga, dans le nord du pays, faisant des morts et huit prisonniers, a-t-on appris auprès de l'armée malienne.
La cause des rebelles touareg nigériens est similaire à celle des touareg du nord du Mali : ils réclament tous une juste et équitable répartition des retombées des énormes ressources puisées dans leur sous-sol.
La cause des rebelles touareg nigériens est similaire à celle des touareg du nord du Mali : ils réclament tous une juste et équitable répartition des retombées des énormes ressources puisées dans leur sous-sol.
Sept otages ont été libérés vendredi matin par le groupe d'Ibrahim Ag Bahanga, un geste visant à prouver la bonne foi du rebelle touareg malien, qui détient encore une vingtaine de personnes dans les environs de Tinzaouatène, une zone désertique dans le nord-est du Mali.
Le chef rebelle touareg Ibrahim Ag Bahanga a libéré mardi 44 militaires, les derniers que son groupe retenait dans le nord du Mali, selon le gouvernement malien, qui affirme avoir aussi relâché tous les prisonniers touareg qu'il détenait, marquant une avancée vers la paix.
Vingt rebelles touareg ont été tués et plusieurs blessés après l'attaque d'un convoi de ravitaillement de l'armée le 2 juin dans la région de Kidal (nord-est), a annoncé samedi le gouvernement malien.
La situation au Mali tend vers l'apaisement. Pas plus tard que la semaine dernière, plusieurs centaines des rebelles touaregs qui s'affrontent avec l'armée régulière dans le nord de ce pays, acceptent de quitter le maquis pour la ville de Kidal (nord-est) afin d'intégrer les premières unités spéciales avant fin décembre. Selon l'AFP qui cite un membre du comité de suivi de l'accord de paix d'Alger, signé en juillet 2006 entre les rebelles et le gouvernement maliens, ces unités spéciales seront chargées d'assurer la sécurité d'une partie du nord du Mali sous le commandement de l'armée régulière.
La situation au Mali tend vers l'apaisement. Pas plus tard que la semaine dernière, plusieurs centaines des rebelles touaregs qui s'affrontent avec l'armée régulière dans le nord de ce pays, acceptent de quitter le maquis pour la ville de Kidal (nord-est) afin d'intégrer les premières unités spéciales avant fin décembre. Selon l'AFP qui cite un membre du comité de suivi de l'accord de paix d'Alger, signé en juillet 2006 entre les rebelles et le gouvernement maliens, ces unités spéciales seront chargées d'assurer la sécurité d'une partie du nord du Mali sous le commandement de l'armée régulière.
L'armée malienne a attaqué mardi une base d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) dans le nord du pays, près de l'Algérie, faisant plusieurs...
Le dimanche 26 août dernier, quinze soldats maliens ont été pris en otages par un groupe de rebelles dont le chef serait Ibrahim Ag Bahanga. Ce dernier est un ex-rebelle touareg malien qui a trouvé refuge chez les rebelles touareg du Niger.
Le dimanche 26 août dernier, quinze soldats maliens ont été pris en otages par un groupe de rebelles dont le chef serait Ibrahim Ag Bahanga. Ce dernier est un ex-rebelle touareg malien qui a trouvé refuge chez les rebelles touareg du Niger.
Le gouvernement et les principaux mouvements rebelles touareg du Mali ont conclu lundi à Alger un accord sur l'arrêt des hostilités afin de relancer un processus de paix mis à mal par de récents enlèvements et attaques dans le nord-est du Mali.
Les rebelles touaregs font preuve d'une agressivité et d'une hardiesse qui laissent croire qu'ils sont sûrs de leur force. Ils effectuent des harcèlements réguliers dont les conséquences sont désastreuses pour les forces armées régulières.
Les rebelles touaregs font preuve d'une agressivité et d'une hardiesse qui laissent croire qu'ils sont sûrs de leur force. Ils effectuent des harcèlements réguliers dont les conséquences sont désastreuses pour les forces armées régulières.