Les représentants du gouvernement malien et du groupe touareg du 23-mai de la région de Kidal (nord du Mali), réunis depuis jeudi à Alger avec la médiation de l'Algérie, ont convenu de mesures de confiance en vue de reprendre prochainement le dialogue sur les questions substantielles.
Les représentants du gouvernement malien et du groupe touareg du 23-mai de la région de Kidal (nord du Mali), réunis depuis jeudi à Alger avec la médiation de l'Algérie, ont convenu de mesures de confiance en vue de reprendre prochainement le dialogue sur les questions substantielles.
Les représentants du gouvernement malien et du groupe touareg du 23-mai de la région de Kidal (nord du Mali), réunis depuis jeudi à Alger avec la médiation de l'Algérie, ont convenu de mesures de confiance en vue de reprendre prochainement le dialogue sur les questions substantielles.
Après une période d'affrontements armés observés il y a quelques jours, le gouvernement malien et la rébellion touareg, représentée par l'Alliance démocratique du 23 mai pour le changement, se sont mis d'accord hier à Alger pour cesser les hostilités armées reprises il y a quelques jours.
Le gouvernement et les principaux mouvements rebelles touareg du Mali ont conclu lundi à Alger un accord sur l'arrêt des hostilités afin de relancer un processus de paix mis à mal par de récents enlèvements et attaques dans le nord-est du Mali.
A l'issue de la réunion entamée vendredi à Alger
A l'issue de la réunion entamée vendredi à Alger
A l'issue de la réunion entamée vendredi à Alger
Bamako - Le gouvernement et les principaux mouvements rebelles touareg du Mali ont conclu un accord sur l'arrêt des hostilités afin de relancer un processus de paix mis à mal par de récents enlèvements et attaques dans le nord-est du pays. Le texte a été signé à Alger. Les deux délégations représentant le gouvernement malien et l'Alliance démocratique du 23 mai pour le changement (représentant les principaux mouvements rebelles touareg) sont parvenues à un accord sur l'arrêt des (...)
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Actualité
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Depuis lundi dernier, aucun coup de feu ne doit plus être échangé entre l'armée malienne et les rebelles touaregs de l'Alliance démocratique pour le changement. Sous les auspices de l'Algérie, le gouvernement et l'ADC sont parvenus à un accord portant essentiellement sur un cessez-le-feu.
L'Algérie organise les négociations entre les parties en conflit au Mali avec l'espoir de parvenir à un accord de paix.Le gouvernement malien et un des mouvements d'opposition touaregs, l'Alliance démocratique du 23 mai pour le changement, négocient depuis vendredi à Alger en Algérie un accord qui ouvrirait la voie au rétablissement de la paix et la sécurité au nord du pays, dans la région de Kidal.
Le gouvernement de Bangui et la dernière rébellion encore active en Centrafrique, l'Armée populaire pour la restauration de la démocratie (APRD), ont signé vendredi à Libreville un accord de paix qui ouvre théoriquement la voie à un règlement général de la crise centrafricaine.
Les représentants du gouvernement malien et du groupe touareg du 23-mai de la région de Kidal (nord du Mali), réunis depuis jeudi à Alger avec la médiation de l'Algérie, ont convenu de «mesures d'urgence nécessaires au rétablissement de la confiance et à la création des conditions favorables à la reprise du dialogue dans un proche avenir sur les questions substantielles», a annoncé à l'APS une source diplomatique.
Les représentants du gouvernement malien et du groupe touareg du 23-mai de la région de Kidal (nord du Mali), réunis depuis jeudi à Alger avec la médiation de l'Algérie, ont convenu de «mesures d'urgence nécessaires au rétablissement de la confiance et à la création des conditions favorables à la reprise du dialogue dans un proche avenir sur les questions substantielles», a annoncé à l'APS une source diplomatique.
Les représentants du gouvernement malien et du groupe touareg du 23-mai de la région de Kidal (nord du Mali), réunis depuis jeudi à Alger avec la médiation de l'Algérie, ont convenu de «mesures d'urgence nécessaires au rétablissement de la confiance et à la création des conditions favorables à la reprise du dialogue dans un proche avenir sur les questions substantielles», a annoncé à l'APS une source diplomatique.