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Maroc : l'interdiction de l'hebdomadaire Nichane et la fermeture du site

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Voici une compilation des sources d'information sur ce sujet :

Maroc : l'interdiction de l'hebdomadaire Nichane et la fermeture du site... ()

L'hebdo arabophone Nichane a été interdit et son site Internet aurait été fermé par son hébergeur, tandis que son responsable Driss Ksikes et l'auteur d'un article Sanaa Al Aji seraient convoqués devant la justice marocaine en janvier prochain. Ce...

Maroc: saisie de l'hebdomadaire Nichane pour "non respect dû au roi"... ()

RABAT - Le gouvernement marocain a ordonné samedi la saisie de l'hebdomadaire arabophone marocain Nichane (indépendant) notamment pour manquement au ...

Maroc: Pour "manquement au respect" dû au roi... ()

Rabat, Maroc - Le gouvernement marocain a saisi les derniers numéros de deux hebdomadaires indépendants pour avoir publié des articles manquant de respect dû au roi Mohammed VI et contenant des expressions contraires à la moralité publique . Le directeur de Tel-Quel et de sa publication jumelle arabophone Nichane (Direct), Ahmed Reda Benchemsi, a été convoqué samedi au commissariat central de Casablanca (sud de Rabat) sur instruction du Parquet, selon un communiqué du ministère marocain de l'Intérieur, publié à Rabat. Nichane , selon le ministère, a également publié des articles émettant des doutes sur le prophète Mahomet et portant atteinte à la moralité publique et aux bonnes mœurs. Il s'agit de la deuxième fois en un an que les autorités marocaines saisissent Nichane , hebdomadaire paraissant en Darija (dialecte arabe marocain). Son ancien directeur, Driss Ksikes a démissionné après deux mois de suspension pour avoir publié des blagues sur l'Islam, le sexe et la politique. Au Maroc, critiquer le roi et émettre des doutes sur son titre de Commandeur des croyants ou sur l'appartenance au Maroc du Sahara occidental est passible de peines de prison. En outre, le directeur et un journaliste de l'hebdomadaire Al- Watan sont inculpés après la pub...

Au Maroc, une "hérésie juridique" au secours du roi... ()

Sonder le peuple sur son roi est un sacrilège. Les Marocains l'ont découvert le 1er août quand la police a investi, à Casablanca, les locaux de l'imprimerie de "TelQuel" et de sa version arabophone "Nichane".

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