Quelle répercussion pour les usagers ?
L'association UFC-Que Choisir dénonce l'absence de baisse des tarifs de la téléphonie mobile entre 2003 et 2007. Que ce soit pour les communications vocales ou les SMS, les opérateurs n'ont pas vraiment baissé leurs prix, voire dans certains cas, ils les ont plutôt augmentés. Cette enquête ne s'intéresse toutefois pas aux tarifs des connexions data.
L'ARCEP a conclu que les prix de gros pratiqués par France Telecom pour la location de son réseau de téléphonie fixe aux FAI comme Free, Bouygues ou SFR étaient acceptables. Il a indiqué que le prix ne devrait pas être modifié à court terme, après une première baisse de 4 % il y a trois semaines. [Lire la suite]
Le Conseil de la concurrence est favorable à une intervention de l'Autorité de régulation (Arcep) pour faire baisser le prix de gros des SMS mais souhaite que cette baisse soit répercutée sur les prix de détail, notamment ...
Après avoir imposé une baisse des prix des communications de téléphonie mobiles à l'étranger, la Commission européenne tente d'obtenir celle des appels domestiques en s'attaquant aux frais que les opérateurs se facturent entre eux.
Les opérateurs mobiles ont été auditionnés par le gendarme des télécoms. Celui-ci doit décider, avant fin juillet, de l'ampleur de la baisse des prix de gros du mobile. Bouygues Telecom se démarque sur ce sujet de SFR et d'Orange.
La Commission européenne valide une proposition de l'Arcep, qui imposera une baisse de 18 à 30 % du prix de gros des SMS.
Alors que l'Autorité de régulation doit se prononcer, d'ici la fin juillet 2007, sur une éventuelle baisse des tarifs de gros de la téléphonie mobile, SFR s'inquiète. Le second opérateur mobile français [...]
La Commission européenne partage l’analyse de l’Arcep et lui permet de fixer à 3 centimes le tarif de gros d'un SMS contre 4,3 aujourd'hui. Mais les opérateurs restent muets sur leur intention de répercuter cette baisse sur le prix de détail.
La Commission européenne partage l’analyse de l’Arcep et lui permet de fixer à 3 centimes le tarif de gros d'un SMS contre 4,3 aujourd'hui. Mais les opérateurs restent muets sur leur intention de répercuter cette baisse sur le prix de détail.
L'étude publiée mercredi 27 février par l'UFC-Que choisir
a des chances de relancer le débat sur le manque de concurrence dans la
téléphonie mobile en France.
Bruxelles autorise l'Arcep à réguler le prix de gros des SMS. Cette première européenne n'entraînera pourtant pas automatiquement de baisse des factures des clients. Vendus en moyenne 11 centimes, les SMS ont rapporté plus de 1 milliard aux opérateurs en 2005.
Le rapport de la commission Attali pour la libération de la croissance française comporte un volet sur le secteur de lé téléphonie mobile. Un passage qui doit faire plaisir à Xavier Niel. Plus on est de fous... La commission constate en effet que depuis 2000, les prix des appels téléphoniques ont baissé en moyenne de 25 % en France. Bon chiffre ? Pas vraiment puisqu'au Royaume-Uni la baisse a atteint 57 %. Pourquoi ? Grâce à une concurrence plus
L'Arcep, l'autorité de régulation des télécoms, a annoncé une nouvelle baisse des terminaisons d'appels dans la téléphonie mobile à partir du 1er janvier, une baisse jugée insuffisante par l'association de défense des consommateurs, UFC-Que Choisir.
Bien que leurs réseaux soient amortis et qu'ils aient été condamnés pour entente illicite, les opérateurs mobiles n'ont jamais réellement baissé leurs prix, constate l'association de défense des consommateurs. Dans certains cas, la facture a même augmenté.